Paolo Cifarelli
Se perfectionner en italien
Vendu sans CD – Se perfectionner en italien Par Paolo Cifarelli Une nouvelle approche : utile, réaliste et efficace Deux compétences différentes et complémentaires sont nécessaires pour celles et ceux qui veulent progresser et se perfectionner en italien : – bien se faire comprendre – bien comprendre ses interlocuteurs. La présente méthode développe de façon spécifique ces deux aptitudes et permet : – de vous exprimer clairement dans une langue simple, – de bien comprendre les expressions idiomatiques et les tournures plus compliquées utilisées par vos interlocuteurs. De nombreuses formules et citations complétent certaines leçons et vous entraînent de façon stimulante à perfectionner votre compréhension.
Vous aimerez aussi
Arménie 1915 – Un génocide exemplaire
Quand ce livre parut pour la première fois en 1975, c'était aussi la première fois que le génocide subi par le peuple arménien en 1915 était relaté en français. Ce fait historique a pourtant encore bien du mal à trouver sa place dans l'histoire du XXe siècle, même si depuis quelques années un mouvement puissant l'a fait reconnaître de tous… à l'exception des auteurs du crime ! La République turque continue toujours en effet de nier la responsabilité de ses prédécesseurs jeunes turcs, au point d'avoir maintenu comme délit dans son code pénal – même révisé récemment pour faciliter son adhésion à l'Union européenne – le seul fait de nommer le génocide arménien. Aussi n'est-il pas indifférent que l'Année de l'Arménie en France ait accordé son label à la réédition d'un ouvrage précurseur sur ce génocide que la loi française a reconnu comme tel en 2001. C'était aussi l'occasion de revenir, par une réflexion historique et politique inédite, sur tous les développements de la question arménienne en France depuis les années soixante jusqu'à aujourd'hui.
Les démons de Barton House
La première fois que j'ai vu Harwood j'étais à Kinshasa. La deuxième fois, j'étais en Sierra Leone en tant que correspondante de guerre. Puis, des années plus tard j'ai croisé son chemin en Irak et, chaque fois, dans son sillage, des corps de femmes violées, lacérées. Des meurtres mis sur le compte de « dommages collatéraux ». Alors j'ai su. Il s'est senti traqué. J'ai été séquestrée pendant trois jours. Puis relâchée. Sans explication… Pour moi, il n'existait qu'un seul refuge possible pour tout oublier : un manoir isolé au cœur de la campagne anglaise. Je me demande encore comment j'ai pu être aussi bête.
L’amour est fou
Et si Alba revenait ? C’est la question que pose Aline à Marc, en tremblant. Elle a quarante-deux ans, Mars vingt-cinq, ils s’aiment, veulent un enfant. Lui-même est encore un enfant pour qui l’avenir n’est qu’un jeu virtuel, un passe-temps. Marc c’est un peu mon double, mon âme damnée, dans une autre vie. Il a perdu sa mère à dix-huit ans, sa première femme. Tous les jours il la perd un peu plus en se perdant lui-même. Il ne voit plus Cathy, sa petite sœur aveugle, il fuit Tim, l’éternel copain, il ne travaille pas. Il essaierait bien d’établir un dialogue avec son père, mais il est si peu naturel en face de lui. Alba c’est la jeunesse de Marc, une ancienne petite-amie, mais aussi la fille d’Aline. Elle a disparue depuis cinq ans sans motif apparent. Il se passerait quoi, si elle revenait, dans le cœur de Marc ? Elle appelle un matin. Tu m’as manqué, dit-elle. L’amour est fou.
Mignonne, allons voir …
» Qui est Ségolène Royal ? Elle ressemble parfois à une Fée bleue effleurant de sa baguette magique les mannequins de bois d’un pays exténué. Parle-t-elle un langage secrètement religieux à une France orpheline de ses croyances ? Est-elle un virus qui s’attaque simultanément à trois familles désorientées – les marxistes, les libertaires, les socialistes ? Manifeste-t-elle, après François Mitterrand, l’inconscient de droite de la gauche ? Peut-être un jour se retournera-t-on sur le moment Ségolène, en se demandant comment pareil engouement a frappé les esprits à la manière d’une insolation. Mais tout symptôme énonce une vérité. Allons voir de plus près ce que cette rose nous dit. »