Paolo Cifarelli
Se perfectionner en italien
Vendu sans CD – Se perfectionner en italien Par Paolo Cifarelli Une nouvelle approche : utile, réaliste et efficace Deux compétences différentes et complémentaires sont nécessaires pour celles et ceux qui veulent progresser et se perfectionner en italien : – bien se faire comprendre – bien comprendre ses interlocuteurs. La présente méthode développe de façon spécifique ces deux aptitudes et permet : – de vous exprimer clairement dans une langue simple, – de bien comprendre les expressions idiomatiques et les tournures plus compliquées utilisées par vos interlocuteurs. De nombreuses formules et citations complétent certaines leçons et vous entraînent de façon stimulante à perfectionner votre compréhension.
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La jeune fille à la perle
La jeune et ravissante Griet est engagée comme servante dans la maison du peintre Vermeer. Nous sommes à Delft, au dix-septième siècle, l'âge d'or de la peinture hollandaise. Griet s'occupe du ménage et des six enfants de Vermeer en s'efforçant d'amadouer l'épouse, la belle-mère et la gouvernante, chacune très jalouse de ses prérogatives. Au fil du temps, la douceur, la sensibilité et la vivacité de la jeune fille émeuvent le maître qui l'introduit dans son univers. À mesure que s'affirme leur intimité, le scandale se propage dans la ville… Un roman envoûtant sur la corruption de l'innocence, l'histoire d'un cœur simple sacrifié au bûcher du génie.
Alexandre et Alestria
Elle, c’est Alestria, l’enfant sauvage devenue reine des Amazones. Celles qui chevauchent les steppes, aiment la guerre, combattent les hommes et n ont pas peur de la mort. Lui, c’est Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, né à Pella en 356 avant J-C. Ayant soumis l’Asie Mineure et la Perse, vainqueur de Darius, il ne lui manque qu’une reine pour asseoir son empire absolu. Une reine à sa mesure ou à sa démesure qu’il rencontre sous les traits d’un guerrier invincible dans l’immense steppe de Mongolie.
Arménie 1915 – Un génocide exemplaire
Quand ce livre parut pour la première fois en 1975, c'était aussi la première fois que le génocide subi par le peuple arménien en 1915 était relaté en français. Ce fait historique a pourtant encore bien du mal à trouver sa place dans l'histoire du XXe siècle, même si depuis quelques années un mouvement puissant l'a fait reconnaître de tous… à l'exception des auteurs du crime ! La République turque continue toujours en effet de nier la responsabilité de ses prédécesseurs jeunes turcs, au point d'avoir maintenu comme délit dans son code pénal – même révisé récemment pour faciliter son adhésion à l'Union européenne – le seul fait de nommer le génocide arménien. Aussi n'est-il pas indifférent que l'Année de l'Arménie en France ait accordé son label à la réédition d'un ouvrage précurseur sur ce génocide que la loi française a reconnu comme tel en 2001. C'était aussi l'occasion de revenir, par une réflexion historique et politique inédite, sur tous les développements de la question arménienne en France depuis les années soixante jusqu'à aujourd'hui.
Deux ou trois choses à vous dire
Notre pays a encore une chance de recoller à la marche du monde et de retrouver son rang. La France a rendez-vous avec les autres, tous les autres, de l’Est à l’Ouest : il n’est pas trop tard pour faire de ce rendez-vous un moment de reconquête. Mais cela ne pourra se faire qu’à deux conditions. Il nous faudra d’abord accepter la nécessaire remise en cause que nous fuyons depuis tant d’années. Tracer ensemble un projet collectif dans lequel chacun se reconnaisse et par lequel chacun retrouve l’espoir. Ne pas se contenter de défendre ses anciennes conquêtes mais en préparer d’autres, ne pas se crisper sur ses avantages devenus caducs mais adapter ses exigences aux transformations de la planète, ne pas refuser la mondialisation mais s’en servir, la tordre vers des progrès nouveaux. Il nous faudra ensuite accepter de passer quelques années difficiles, mais nécessaires, comme l’ont fait tous nos partenaires.