- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Se soigner seul sans peur, les pouvoirs de l’homéopathie
Docteur Philippe Picard
Se soigner seul sans peur, les pouvoirs de l’homéopathie
Oui, vous soigner seul, sans peur, c’est possible. Simple, efficace, sans danger ni effets secondaires toxiques, l’homéopathie est aujourd’hui la meilleure approche en auto-médication. Elle inaugure une nouvelle attitude devant les problèmes de santé que vous pouvez rencontrer. Tenant compte de l’ensemble des réactions de votre organisme, elle a une grande importance dans la véritable prévention des maladies en général. Cependant, dans un premier temps, vous apprendrez à résoudre efficacement des problèmes quotidiens tels que les piqûres d’abeille, les rhumes, les grippes … Ainsi, 25 années de pratique médicale permettent au Docteur P. Picard de vous conseiller et de répondre à toutes vos questions. Il vous explique comment réagir et pourquoi …
Vous aimerez aussi
La méthode Gesta
Naturelle, efficace, simple et facile à appliquer, La Méthode Gesta qui a permis aux plus grandes vedettes de retrouver la ligne et la grande forme s’adresse à tous : hommes et femmes, grignoteurs, boulimiques, « victimes » de repas d’affaire, fumeurs qui veulent arrêter de fumer sans prendre du poids, mais aussi aux surmenés, aux anorexiques, à tous ceux dont le métabolisme est perturbé. Basée sur une alimentation énergétique, contrairement aux régimes classiques, La Méthode Gesta permet de rester dynamique. La Méthode Gesta, évitant les privations inutiles, privilégie la notion de plaisir. Redécouvrir les saveurs et le bienfait des bans produits consommés dans de bonnes conditions est la clef d’un savoir-manger qui favorise le bien-être corporel.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Vos rêves vous parlent
Chaque rêve est unique, comme chacun d’entre nous. Oui, baroques, loufoques, choquants, terrifiants, sombres ou empreints de sérénité, tels sont les rêves qui peuplent nos nuits. L’objectif de ce livre est de guider le lecteur dans l’interprétation de ses rêves, cette « voie royale de la connaissance de l’inconscient », selon Freud. Comment ? En accueillant vos rêves, en les notant, en les reconnaissant (Rêve-surligneur ? Rêve-révélateur ? Rêve-avertissement ? Rêve-encouragement ? Ou rêve-incitation ?), en suggérant les bonnes questions à se poser en fonction des thèmes, en guidant les associations d’esprit, etc. Dans nos rêves, notre inconscient réclame. À nous de l’écouter pour mieux vivre.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.