Francis Blanche
Signé Francis Blanche
« Signé francis blanche » est une anthologie de ses meilleurs gags et de ses textes les plus drôles.
Vous aimerez aussi
Inconsolable et gai
Vous savez pas quoi? Il y a deux nuits, j’ai rêvé que ma mère prenait le pouvoir, ici, en France. Le cauchemar. J’en ai repissé au lit. (…) Mitterrand était exilé à l’île d’Yeu et on ramenait les cendres du maréchal Pétain au Panthéon. On répudiait ma femme, on confiait l’éducation de mes enfants mineurs à Marie-France Garaud, et je me remariais, en quatrième noce, avec Line Renaud.(Oh ! non, Maman, ça c’est trop!)… » G.B.
Des rimes et des rames
Ce recueil de poèmes a été édité dans le cadre d’un concours organisé par La RATP et comprend tous les finalistes. Le poème « Autocritique » de Jean-Pierre Develle y figure. Cet auteur a publié des recueils de poèmes qui ont une caractéristique tragi-comique.
QU’EST-CE QUI NE VA PAS SUR TERRE ?
C’est le chat dit la souris
C’est le lion dit la gazelle
C’est le loup dit l’agneau
C’est l’homme dit l’homme.
(Jean-Pierre Develle)
Le manuel des premières fois
Perdre votre virginité. Manger des escargots. Faire tourner les tables. Vous suicider. Coucher avec la femme du voisin. Gifler un nain. Rencontrer un extra-terrestre. Organiser une partouze. Assassiner un inconnu… Grâce à ce manuel, vous allez enfin oser franchir le pas. Commentées et expliquées comme si vous y étiez, vous trouverez ici toutes les premières fois dont vous rêvez (et même celles auxquelles vous ne vous attendez pas, mais qui peuvent vous tomber dessus à tout moment). Ainsi vous n’aurez plus aucune crainte. Et vous pourrez vous lancer en toute confiance, les yeux fermés ! Grâce au « Manuel des premières fois », c’est la vraie vie qui commence enfin. Chic alors !
Comment se débarrasser d’un ado d’appartement
En 2006, Anne de Rancourt, mère admirable de quatre jeunes adolescents, faisait rire la France entière (et certains pays adjacents) avec un inénarrable pamphlet : Comment élever un ado d’appartement ? Cinq ans plus tard, lesdits ados enfin élevés (mal) et devenus grands (dadais) refusent de quitter le cocon familial. L’auteure au bord de la « crise de mère » ne sait plus alors à quel saint se vouer pour enrayer leur « tanguysme » chronique. Il faut que jeunesse se casse ! C’est pourquoi elle imagine des stratagèmes pervers pour les persuader d’aller voir ailleurs « si elle y est ». Il faudra qu’elle leur « pourrisse grave » la vie et qu’elle s’immisce entre autres dans leurs fêtes rituelles pour qu’ils se décident enfin à ouvrir un œil sur ce qui les attend hors du cocon familial. Mais leur mère si aimante acceptera-t-elle de les laisser partir ? C’est tout le paradoxe de ce livre aussi drôle qu’émouvant.

