Francis Blanche
Signé Francis Blanche
« Signé francis blanche » est une anthologie de ses meilleurs gags et de ses textes les plus drôles.
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Les soupers du Prince
Il est des gens à qui la vie réserve bien des surprises. Tenez, Édouard Blanvin, trente-deux ans, beau gosse, passionné par les bagnoles. Et pas n’importe lesquelles s’iouplaît ! Des tractions avant qu’il bichonne amoureusement comme les petites nénettes qui » raffolent de sa gueule d’amour de gentil voyou « . Un jour, sa chère môman lui révèle qu’il est le fils du défunt prince de Montégrin. Doudou serait donc Édouard Ier. De la banlieue grise au château d’opérette, il n’y a qu’un pas. Doudou le franchit allègrement. La grande vie commence. Les surprises et les ennuis aussi… !
Anatomie de l’amant de ma femme
A trop fréquenter la littérature, il arrive qu’on tombe dedans. Lecteur invétéré, époux d’une écrivaine nantie d’un petit renom, architecte en rupture de plans, le héros de ce premier roman n’est pas avare de confidences sur son grand projet : écrire un livre, lui aussi. Mais son écran d’ordinateur ne se remplit que d’images qui ralentissent son travail tout en accélérant son flux sanguin…Les affres de la création deviennent de terribles compagnons dont on se distrait d’un poignet actif. Alors, le jour où par ennui ou par dépit, notre homme commet l’incorrection de parcourir le journal intime de sa femme, il en est puni par une découverte qui porte un nom : Léon, et par une révélation : c’est un amant hors normes. Affolé, vexé mais stimulé, il se lance dans une enquête qui a tout d’une quête : pourquoi chez lui sexualité et littérature sont-elles autant liées ? Cet amateur de théories cocasses s’épanche et nous entraîne, l’air de rien, dans la dernière des grandes aventures : celle qui mène à soi.
L’année la plus c…
Pourquoi L’Année la plus c…? Et pourquoi pas ? Il y a déjà eu, en 1967, Le Jour le plus c.. de Pierre Dac. Après presque un demi-siècle, il est grand temps de ne pas laisser cette anthologie solitaire. Mais trouver environ 364 jours, tous plus c… les uns que les autres, n’est pas si facile. Si Pierre Dac, du haut de là, n’a pu écrire la préface, ô miracle !, dans les premiers pas bien trempés de Normal Ier, la réalité s’est mise à dépasser la fiction. Le gibier s’est avéré abondant, peu farouche et même très bavard. Pour le distinguer, il suffit de suivre la maxime des Tontons Flingueurs : « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Dans un style magistralement couacophonique, ce livre en c… majeure et sans bémol, ni dur d’ailleurs, retrace la période féconde entre le printemps 2012 et le début 2014.
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