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Karin Slaughter
Skin privilege
En Anglais In a stifling jail cell in a run-down Georgia town, detective Lena Adams sits in self-imposed silence, bruised, angry, and the only suspect in a horrific murder that left a woman incinerated beyond recognition. A hundred miles away, police chief Jeffrey Tolliver receives the call.
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Mu par une logique impénétrable, le nez rivé à ses dossiers mystérieux, Brano Sev, inspecteur de la Sécurité d’État, est l’œil du Parti au sein de la Brigade criminelle, dans la Capitale d’une république socialiste. Mais en 1966, tout ça c’est du passé pour le major Sev, impliqué dans un meurtre en Autriche. Sa hiérarchie l’expédie dans sa ville natale, pour enquêter sur un probable agent double. Cette investigation le ramènera à Vienne où, en pleine Guerre froide, se presse une nuée d’espions de tous bords. Abandonné par ses ” camarades “, coincé entre Est et Ouest, Brano Sev connaîtra – pour la première fois – la tentation de faire passer sa vie personnelle avant son devoir patriotique.
L’élégance du Hérisson
“Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai.”
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Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot “racaille” est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.
Le plaisir sans les kilos
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