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Peter Driscoll
Spear Head
This is a fast-paced thriller full of violence, intrigue and passion. It draws a portrait of modern South Africa and centres round the figure of the imprisoned leader of the People’s Congress, Nelson Kumalo. The author has also written The Wilby Conspiracy.
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Saisissant sous un angle inhabituel des lieux et des paysages familiers, la photographie aérienne en bouleverse les aspects traditionnels, élargit notre champ visuel, change les perspectives. Ainsi, Yann Arthus-Bertrand nous fait découvrir une vieille demeure cachée dans la verdure, fait apparaître une mosaïque de petits jardins enchanteurs ou nous montre les jeux délicats du soleil sur les courbes majestueuses de la Seine. Nous sommes invités à revisiter cette région, réputée pour la douceur de sa lumière et l'exceptionnelle beauté de ses châteaux. Mais c'est aussi une région dynamique, où les architectures les plus audacieuses savent s'intégrer à un paysage verdoyant. Toute en nuances, Ile-de-France se prête à merveille aux talents du photographe, habile à en dresser une cartographie subtile.
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C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »
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« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
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