- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Spear Head
Peter Driscoll
Spear Head
This is a fast-paced thriller full of violence, intrigue and passion. It draws a portrait of modern South Africa and centres round the figure of the imprisoned leader of the People’s Congress, Nelson Kumalo. The author has also written The Wilby Conspiracy.
Vous aimerez aussi
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny.
Le grand livre du ciel, tout en couleurs
Le ciel lointain , le ciel proche, la vie dans le ciel … 383 pages de photos, de dessins, d’explications …
Véritable encyclopédie de notre ciel. Les phénomènes atmosphériques, le climat de la préhistoire, les planètes, l’aviation, les animaux de l’air ….. et tellement d’autres thèmes.
Le destin d’une femme
A travers le destin d’une femme, Célia, et les espoirs provoqués par un nouveau médicament, c’est l’univers de la santé publique qui est ici mis en cause et si laboratoires et hôpitaux sont américains, les situations sont universelles et les problèmes ceux de chacun. Célia est séduisante et ambitieuse, elle lutte pour s’imposer dans les milieux fermés de la recherche médicale. Résolue à faire carrière dans un monde d’hommes, elle ne l’est cependant pas à tout prix. Son métier la passionne, mais elle n’hésite pas à dénoncer magouilles et corruptions au sein de la société pharmaceutique qui l’emploie. Elle veut tout, même le bonheur et, là aussi, elle va réussir.
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »