- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Spear Head
Peter Driscoll
Spear Head
This is a fast-paced thriller full of violence, intrigue and passion. It draws a portrait of modern South Africa and centres round the figure of the imprisoned leader of the People’s Congress, Nelson Kumalo. The author has also written The Wilby Conspiracy.
Vous aimerez aussi
Mes nuits sont plus belles que vos jours
Un homme, une femme, un hôtel, les draps d’un lit, la chaleur d’un mois de juillet, la lune et la mer: avec ces seuls éléments, Raphaële Billetdoux construit son roman qui a la rigueur d’une tragédie antique, où trois nuits sont toute une vie. Mes nuits sont plus belles que vos jours est le roman d’une rencontre. Toute rencontre est un risque ; à la première minute, aux premiers mots échangés, l’histoire, déjà est en marche. Chez Raphaële Billetdoux, violence et sensualité se confondent dans ce style qui est le sien, tout en couleurs et en éblouissements.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »
Oscar and Lucinda
En anglais – Peter Carey’s Booker Prize winning novel imagines Australia’s youth, before its dynamic passions became dangerous habits. It is also a startling and unusual love story…Oscar is a young English clergyman who has broken with his past and developed a disturbing talent for gambling. A country girl of singular ambition, Lucinda moves to Sydney, driven by dreams of self-reliance and the building of an industrial Utopia. Together this unlikely pair create and are created by the spectacle of mid-nineteenth century Australia…Peter Carey’s visionary brilliance, and his capacity to delight and surprise, propel this story to its stunning conclusion.
L’absence
… Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, son pas hésitant, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son cœur trop lent, son cœur d'enfant blessé, blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré… « Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence… »