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Graham Greene
Stamboul Train
EN ANGLAIS – Near new condition – Published in 1932 as an ‘entertainment’, Graham Greene’s gripping spy thriller unfolds aboard the majestic Orient Express as it crosses Europe from Ostend to Istanbul.
Weaving a web of subterfuge, murder and politics along the way, the novel focuses upon the disturbing relationship between Myatt, the pragmatic Jew, and naive chorus girl Coral Musker as they engage in a desperate, angst-ridden pas-de-deux before a chilling turn of events spells an end to the unlikely interlude. Exploring the many shades of despair and hope, innocence and duplicity, Stamboul Train offers a poignant testimony to Greene’s extraordinary powers of insight into the human condition.
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Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Notre homme à la Maison-Blanche
Comment un petit gangster d’origine italienne, Sam Giancana, a-t-il pu décider de faire assassiner John F. Kennedy qu’il avait pourtant contribué à faire élire cinq ans plus tôt ? De quelles complicités a-t-il bénéficié au sein d’une CIA traumatisée par l’échec de « la baie des Cochons » ? Pourquoi Jack Ruby, l’assassin de Lee H. Oswald, avait-il ses entrées au siège de la police de Dallas ? Notre homme à la maison-blanche – c’est ainsi que Sam Giancana appelait le président- nous montre pour la première fois la mafia vue de l’intérieur et dévoile le mystère qui régnait depuis près de trente ans autour de cette tragédie. Faisant ses débuts dans le Chicago de la prohibition dominé par Al Capone, Sam Giancana reculera devant aucun moyen pour construire son empire dont les frontières s’étendront bien au-delà des États-Unis dans les années 60. Cette description assez effrayante du double jeu entre le pouvoir et le crime organisé, qui va bouleverser l’opinion, bouscule bien des légendes. On y découvre une haute société où le père d’un futur président fait allégeance à l’un des parrains du Milieu, s’engageant au nom de son fils pour sauver sa propre vie. Hollywood apparaît aussi comme un monde sous influence : les relations étroites de Sam Giancana avec Frank Sinatra ou Marilyn Monroe en témoignent. On ne commence pas ce livre sans le terminer : au-delà des révélations, c’est en effet le mythe d’une époque, d’une dynastie, et d’une certaine Amérique qui s’effondre. Chuck Giancana, soixante-dix ans, directeur d’hôtel puis promoteur, ne fut jamais mêlé directement aux affaires de son frère aîné, Sam, dont il était cependant le confident. Samuel M. Giancana est le neveu du gangster. Il a trente-six ans et a fondé une société de relations publiques.
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