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Johanna Lindsey
Surrender my love
Wrongly branded a spy, the dark and handsome Viking lord Selig Haardrad suffered greatly in the dungeons of Lady Erika of Gronwood. And as he hung in chains, his magnificent body wracked with pain and fever, one thought sustained him: revenge! A Viking’s Vengence. Now Destiny’s great wheel has turned–and Selig’s exquisite, honey-haired tormentor has been delivered into the Norseman’s hands. Now it is Selig who is the master, bound and determined to break the proud spirit of his captive « ice queen » and to conquer her with passion’s sword — never dreaming that his own heart will be vanquished by sensuous desire. . .and victorious love.
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The cereal murders
Thanks to her recent adventures in Dying for Chocolate, Goldy Bear, the premier caterer of Aspen Meadow, Colorado, is no stranger to violence — or sudden death. But when she agrees to cater the first College Advisory Dinner for Seniors and Parents at the exclusive Elk Park Preparatory School, the last thing she expects to find at the end of the evening is the battered body of the school valedictorian. Who could have killed Keith Andrews, and why? Goldy’s hungry for some answers — and not just because she found the corpse. Her young son, Arch, a student at Elk Park Prep, has become a target for some not-so-funny pranks, while her eighteen-year-old live-in helper, Julian, has become a prime suspect in the Andrews boy’s murder. As her investigation intensifies, Goldy’s anxiety level rises faster than homemade donuts. . .as she turns up evidence that suggests that Keith knew more than enough to blow the lid off some very unscholarly secrets. And then, as her search rattles one skeleton too many, Goldy learns a crucial fact: a little knowledge about a killer can be a deadly thing.
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Enquête sur les ripoux de la côte
Derrière sa riante façade méditerranéenne, la paisible Provence, dont la culture, l’histoire, la population ne devraient inspirer que sympathie, dessine une sorte de triangle des Bermudes qui aspire les embrouilles dans un siphon maléfique où la corruption impose sa loi. Sommets du triangle maudit, trois pôles urbains paraissent rivaliser dans la course à l’enrichissement de multiples prévaricateurs: à l’ouest, Marseille, métropole enclavée, prisonnière de ses mythes, de sa mauvaise réputation; au sud, Toulon, avec sa ville basse dénommée le « petit Chicago », claquemurée entre rade et collines brûlées; à l’est, Nice la belle, ses vitrines et sa gestion latine à l’ancienne, dispensatrice de menus privilèges: son ex-maire héréditaire, Jacques Médecin, arrêté dans son asile urugayen, affronte en 1994 l’humiliation d’une extradition pour détournement de fonds publics.
J’allais vous dire… Journal apocryphe d’un président
« On n'a pas été avare de commentaires sur ce J'allais vous dire… qui reparaît aujourd'hui. On s'est beaucoup interrogé sur l'identité de l'auteur avant qu'elle ne fût connue. On s'est souvent demandé si l'ouvrage était favorable au président de la République ou si, au contraire, il était un réquisitoire accablant contre lui. On a généralement négligé le reste, qui est l'essentiel à mes yeux. Et le reste, tout le reste, est littérature. […] Au fil des jours qui font date entre le 10 mai 1981 et le 28 mars 1993 […], j'ai pensé qu'avec cette matière, en suivant sa manière, on aurait les éléments rassemblés d'un portrait psychologique qui jetterait sur les événements une lumière vraie. On aura aussi quelquefois le sentiment de la justification. La cause en est dans le genre que j'ai choisi, non dans mes intentions. Chacun en jugera. »