- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Taxi girl – Vous êtes libre ?
Laudec, Cauvin
Taxi girl – Vous êtes libre ?
Vous êtes libre ? est le volume 1 de la série Taxi Girl par Raoul Cauvin et Laudec, paru en 1994. Selon Bande Dessinée Info, il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Dupuis.
Vous aimerez aussi
Ces enfants d’ailleurs
Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur Tomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Tomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus… Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
Mon seigneur et maître
Tehmina Durrani à 21 ans lorsqu'elle tombe amoureuse de Mustapha Khar, le « Lion du Penjab ». II a vingt ans de plus qu'elle, il est l'un des hommes politiques les plus influents du Pakistan. Longtemps, il vont symboliser le couple moderne idéal. Unis dans leur combat auprès de la famille Bhutto, complices en amour… Personne ne soupçonne qu'en privé, Tehmina vit un véritable enfer ; que son mari la trompe, l'humilie, la bat avec une violence et une cruauté inouïes. Conditionnée par son éducation, anéantie par la souffrance, Tehmina s'est tue longtemps. Un jour, pourtant, elle a décidé de briser le silence et de conquérir sa liberté. Malgré la peur, les difficultés, les représailles, elle a lutté. Pour elle, pour les autres femmes, pour que certains hommes cessent d'être des geôliers et de bourreaux…
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.