Vincent Pinel
Techniques du cinéma
Le cinéma est un art. Un art indissociable des techniques qui le rendent possible. De la prise de vues au mixage en passant par la prise de son, le montage ou l’étalonnage, chaque étape de la création d’un film fait appel à des techniques, à des supports, à des outils à partir desquels l’œuvre prend corps. Vincent Pinel fait le point sur les instruments, les principes et les procédés relatifs à l’image et au son qui, depuis la chambre noire jusqu’au numérique, sont à la disposition du cinéaste. Il donne à comprendre les différents stades de l’élaboration d’une œuvre ciné¬ matographique, depuis son projet jusqu’à sa diffusion.
Vous aimerez aussi
Nostradamus – Historien et prophète
Fin d'une civilisation, la Peur de l'Occident, Un monde qui meurt, autant de titres qui, depuis peu, fleurissent chez les libraires et dans la presse. Cette fois, un traducteur sérieux fait parler un vrai prophète et, paradoxalement, un véritable historien : Nostradamus. Grâce à un travail acharné et à une méthode rigoureuse, où le rationnel l'emporte toujours sur le jugement personnel et l'imagination, Jean-Charles de Fontbrune extirpe des quatrains de Nostradamus…
Tanamera 2
Julie Soong et Johnnie Dexter… Entre eux est née une passion impétueuse, totale, et interdite. Interdite parce que Johnnie est anglais, Julie chinoise, et que Singapour, en ces années 30, pèse sur eux de toute la tyrannie de ses préjugés, de ses tabous raciaux. Alors, puisque le mariage leur est à jamais refusé, ils s’engagent, follement, dans une liaison secrète, fragile, exaltante, périlleuse… Dans leur sillage, le lecteur, fasciné d’abord par les multiples splendeurs de Singapour, sera bientôt emporté au travers d’un tumultueux demi-siècle d’histoire. Dans la tourmente de l’invasion japonaise, que sont devenus les amants fugitifs ? La victoire de la liberté saura-t-elle être aussi la leur ?
Marie de Médicis
Elle est grande, elle est hautaine, elle a le teint très blanc, un double menton, mauvais caractère, 27 ans déjà. En l’an 1600, Marie de Médicis épouse Henri IV. C’est un mariage d’argent : les Médicis sont une richissime famille de banquiers florentins devenus grands-ducs de Toscane. C’est un mariage politique : le Pape et l’Espagne veulent amarrer la France au catholicisme après 45 ans de troubles et de guerres religieuses. Entre Henri IV et Marie de Médicis, la vie conjugale devient souvent un enfer. Maîtresses, scènes de ménage, histoires d’argent ; Sully arbitre comme il peut. Quand Henri IV est assassiné, son fils Louis XIII n’a que 8 ans et demi. Marie de Médicis devient Régente. Elle met la France au pillage pour acheter la tranquillité des nobles, remplir les poches de ses favoris Leonora Galligaï et Concino Concini, et satisfaire une passion sans frein pour les diamants…
L’église verte
Dans un village de France, on découvre un homme qui vient de nulle part : un homme sans nom, sans famille, sans passé, ou, du moins, se prétendant tel. Il semble avoir vécu un certain temps caché au cœur de la forêt, cette « église verte « , ultime refuge pour ceux qui veulent fuir leurs semblables… Ou eux-mêmes. Quel est son secret ? Hymne vibrant à la nature – dont Hervé Bazin, obstiné campagnard, parle mieux que personne, en connaisseur et en poète – L'Eglise verte nous interroge : en fin de compte, qu'est-ce qu'un homme ? Un état civil ? Un animal civilisé ? Un être obligatoirement social ? Classés, fichés, bureaucratisés, sommes-nous encore libres différents, solitaires, vraiment nous-mêmes ?