- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The cement garden
Ian Mc Ewan
The cement garden
In this tour de force of psychological unease – now a major motion picture starring Charlotte Gainsbourg and Sinead Cusack – McEwan excavates the ruins of childhood and uncovers things that most adults have spent a lifetime forgetting or denying. « Possesses the suspense and chilling impact of Lord of the Flies. » Washington Post Book World.
Vous aimerez aussi
Olivier Rameau -9- La caravelle de n’importe où
Dany (le dessinateur) et Greg (le scénariste) ont un beau jour convenu que le mot » rêveur » était injustement bafoué par les gens trop raisonnables qui, bien souvent, rendent le monde si ennuyeux. Alors, Greg et Dany ont décidé de donner au rêve ses lettres de noblesse. Ils l’ont concrétisé. Rêverose, le pays où tout est possible existe désormais. C’est là que vivent Olivier, Colombe, M. Pertinent et tous les autres. Rejoignez-les…
Vivre mince et belle
Gérard Debuigne est médecin, spécialisé en phytothérapie et en nutrition.
The human factor
En Anglais – A leak is traced to a small sub-section of SIS, sparking off the inevitable security checks, tensions and suspicions. The sort of atmosphere where mistakes could be made? For Maurice Castle it is the end of the line anyway and time for him to retire with his African wife, Sarah. The Human Factor is Greene’s most extensive attempt to incorporate into fiction what he had learned of espionage when recruited by MI6 during World War II . . . What it offers is a veteran excursion into Greene’s imaginative world . . . Sometimes seen as a brooding prober into the dark recesses of the soul where sins and scruples alike fester, he is equally at home in sending a narrative careering along at break-neck pace . . . Raising the demarcation line between ‘serious’ fiction and fast-plotted entertainment, Greene ensures that components of both jostle energizingly together in his pages.” –from the Introduction by Peter Kemp —
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant.