- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The cider house rules
John Irving
The cider house rules
First published in 1985 by William Morrow, The Cider House Rules is John Irving’s sixth novel. Set in rural Maine in the first half of the twentieth century, it tells the story of Dr. Wilbur Larch—saint and obstetrician, founder and director of the orphanage in the town of St. Cloud’s, ether addict and abortionist. It is also the story of Dr. Larch’s favorite orphan, Homer Wells, who is never adopted.
Vous aimerez aussi
Destinée
Au premier regard, ils surent qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Pourtant tout les opposait. Il était à la tête d’un immense empire joaillier, il ne comptait plus ses conquêtes. Elle arrivait d’Angleterre avec son seul sourire, son mystère et sa jeunesse. Hélène a subjugué Edouard de Chavigny. Il lui offre son amour et l’entraîne dans un tourbillon de luxe et de volupté. Il ignore encore les sombres manigances du destin… Quelque temps après, Hélène disparaît. Fou de douleur, Edouard met tout en oeuvre pour la retrouver. Tâche délicate, car désireuse d’échapper à son douloureux passé, Hélène s’est forgé une nouvelle identité.
19 Purchase street
Le Haut Conseil, trust financier tout-puissant, a fait main basse sur la Mafia et la manipule à sa guise. Ce sont des milliards de dollars provenant du jeu, de la drogue, de la prostitution… qui affluent vers lui. De l'argent sale que le Haut Conseil, organisation fantastique, univers de ruse, de férocité, aux règles strictes et terrifiantes, sait à la perfection « blanchir ». Tout tourne parfaitement bien jusqu'au jour où une bavure est commise : un meurtre atroce, aux conséquences mal calculées. La guerre des clans est aussitôt ouverte dans laquelle un homme, assoiffé de vengeance, va s'infiltrer pour frapper avec une audace et une imagination foudroyantes. Mais, comme lui, ses adversaires sont très forts et impitoyables… Mené à un train d'enfer, 19, Purchase Street est un formidable thriller, dur, violent, mais aussi rempli d'amour et d'humour, d'une précision et d'une crédibilité totales.
Un lit dans l’hexagone
Une passion aussi violente qu’inattendue s’abat sur deux êtres que tout sépare, hormis un certain sens de l’humour et de la comédie. Elle n’attend rien, sinon de conserver sa chambre d’hôpital, d’y languir paisiblement jusqu’à la fin de ses jours. Une gentille petite vie de mort après avoir enduré toutes les calamités du siècle (Auschwitz, goulag, exil…). Lui, son psy, est un célibataire endurci, débordant de jeunesse, d’énergie, et aux appétits vigoureux. Il pratique de multiples sports, trouve son plaisir tantôt du côté des filles, tantôt du côté des garçons. Leur amour s’insinue lentement, comme certaines maladies, presque à leur insu. Un amour sous forme de guérilla, sans merci, entre la force d’inertie d’une malade et la volonté forcenée du médecin de la tirer de là. « Vous m’avez possédé par exaspération », dira-t-il plus tard. Ils vivront, vieilliront dans la stupeur de leur passion, persuadés que le saut qu’ils ont fait du « je » au « nous » est la plus grande distance que des êtres aient jamais parcourue.
Scrupules
Sans grâce, rejetée par son entourage, malheureuse, Billy est la parente pauvre d'une des meilleures familles de Boston. Son séjour d'une année à Paris la métamorphose en jeune femme séduisante. De retour à New York, elle savoure sa nouvelle vie avec avidité, jusqu'à son mariage avec le milliardaire Ellis Ikehorn. Jouissant du pouvoir illimité que donnent l'argent et la beauté, Billy crée à Beverly Hills une boutique de luxe, Scrupules, où se côtoient les célébrités du monde du cinéma, de la haute finance et de la mode. La petite paria mal aimée de Boston prend enfin sa revanche…