- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The hours
Michael Cunningham
The hours
In 1920s London, Virginia Woolf is fighting against her rebellious spirit as she attempts to make a start on her new novel. A young wife and mother, broiling in a suburb of 1940s Los Angeles, yearns to escape and read her precious copy of Mrs Dalloway. And Clarissa Vaughan steps out of her smart Greenwich village apartment in 1990s New York to buy flowers for a party she is hosting for a dying friend. The Hours recasts the classic story of Woolf’s Mrs Dalloway in a startling new light. Moving effortlessly across the decades and between England and America, this exquisite novel intertwines the worlds of three unforgettable women.
Vous aimerez aussi
Le compte à rebours
Le compte à rebours est en marche. Si rien ne vient l’interrompre, le Front national arrivera au pouvoir. L’antilepénisme ne suffira pas à l’arrêter. Car nous sommes déjà entrés dans l’après-Le Pen, et le Front national sera beaucoup plus dangereux sans son leader actuel. Alors, regardons les choses en face: la poussée de l’extrême droite n’est que l’expression politique d’une crise générale, pour la contenir il faut s’attaquer aux vrais problèmes de notre société. A la crise sociale d’abord, dont témoigne cruellement ce nouveau prolétariat de chômeurs et d’exclus toujours plus sensibles à la démagogie de l’extrémisme, à la crise financière aussi, entretenue par un déficit budgétaire qui oscille entre 15 et 20% d’une année sur l’autre, à la crise de l’immigration enfin, empoisonnée par les jeux pervers de la politique. Autant de rouages qui font tourner la machine infernale. La France est-elle victime du nouveau capitalisme mondial? Je ne le crois pas. Elle est mieux armée qu’aucun autre pays pour y résister, il ne tient qu’à elle de s’en protéger et d’en profiter tout à la fois. Notre malheur, c’est ce “modèle français” qui cache sous de beaux principes l’égoïsme, le conservatisme, l’impuissance et la plus brutale injustice. Le compte à rebours n’est pas une fatalité. A tout moment les Français peuvent se ressaisir et l’arrêter. Pour éviter l’intolérable, j’ai choisi de dire les vérités qui déplaisent. Voici comment nous pourrions parer au pire, et même gagner le meilleur.
Dead Hunter 2 – Du plomb dans la cagoule
Vivant, Hunter était un garçon plutôt violent, puis son assassinat l’a vraiment vexé ! Alors imaginez un peu : ramené à la vie par un savant fou mais pas con, notre zombie a plutôt la haine… Vaut mieux être son pote, ce qui n’est pas le cas des Sudistes irréductibles ni des maraudeurs du Ku Klux Klan… Et quand il aime pas, Hunter, il cause pas ! Il cogne ! Il fracasse ! Il étripe ! Il massacre ! Bref, ça va chier pour l’K.K.K. et c’est bien fait pour leurs sales gueules d’encagoulés ! Dead Hunter est un western fantastique où se mêlent violence, magie noire et humour du même ton ! Sorciers indiens, shérifs zombies, villes fantômes et saloons hantés sont au programme de ces nouveaux mystères de l’Ouest. Tacito fait voler en éclats les codes du western et invente un nouveau genre qui doit tout autant aux feuilletons télé qu’aux jeux de rôles.
Coulez le Barracuda !
2002. L'Extrême-Orient est près de l'embrasement depuis que le Japon s'estime menacé par le jeune État de Grande-Mandchourie, composé de territoires arrachés à l'ex-URSS et à la Chine. Mandatés par l'ONU, les Etats-Unis instaurent un blocus naval. L'US Navy se heurte alors aux sous-marins japonais Destiny. Réfractaire aux lourdeurs de la machine de guerre américaine, l'amiral Pacino, bien connu des lecteurs d' Opération Seawolf et du Sous-marin de l'Apocalypse, comprend vite qu'il n'existe qu'un moyen de ramener le Japon dans le concert des nations : réduire à néant ses visées guerrières. A l'aide de deux sous-marins de type-Seawolf, le Piranha et le Barracuda, il se lance alors dans une mission presque impossible…
Regent’s Park
Mary Jargo décide de quitter son ami Alistair qui lui a reproché, avec violence, d'avoir fait un don de moelle osseuse à un inconnu atteint de leucémie. Elle est hébergée par un vieux couple d'aristocrates qui lui confient, le temps d'un voyage à l'étranger, la garde de leur chien et de leur maison situé près de Regent's-Park. Grâce à l'association de don d'organes, Mary va faire connaissance de Léo, l'homme qu'elle a sauvé. Contrairement à Alistair, qui ne cesse d'ailleurs de la poursuivre, Léo est doux, fragile, attentif. Il lui ressemble tant qu'il pourrait bien être l'homme qu'elle a toujours attendu.

