- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The King of Torts
John Grisham
The King of Torts
En anglais – The office of the public defender is not known as a training ground for bright young litigators. Clay Carter has been there too long and, like most of his colleagues, dreams of a better job in a real firm. When he reluctantly takes the case of a young man charged with a random street killing, he assumes it is just another of the many senseless murders that hit D.C. every week. As he digs into the background of his client, Clay stumbles on a conspiracy too horrible to believe. He suddenly finds himself in the middle of a complex case against one of the largest pharmaceutical companies in the world, looking at the kind of enormous settlement that would totally change his life–that would make him, almost overnight, the legal profession’s newest king of torts…
Vous aimerez aussi
L’insoumis
Sebastian Rudd n’est pas un avocat comme les autres. Il travaille dans un van aménagé, avec des vitres blindées, le wifi, un petit réfrigérateur, des fauteuils de cuir, une cache pour ses pistolets et un chauffeur armé jusqu’aux dents. Il n’a pas de cabinet, ni d’associés, ni de partenaires. Sa petite entreprise ne compte qu’un seul employé : son chauffeur, qui fait office également de garde-du-corps, d’assistant juridique, de confident et de caddy quand il va jouer au golf.
L’idéaliste
Aux Etats-Unis, les facultés de droit ont en leur sein de sacrées personnalités: Rudy Baylor est l’un d’eux. Etudiant brillant et travailleur, son origine modeste en fait un paria courant les petits boulots pour payer ses études, survivant sur le fil du rasoir. C’est pourtant lui qui, sitôt son diplôme en poche, sera à l’origine d’un procès retentissant, dont le scandale éclaboussera l’une des plus grosses compagnies d’assurances. A travers une description sans concession de l’Amérique contemporaine, de paumés de toutes sortes, de femmes battues, de vieillards désemparés, John Grisham nous entraîne une nouvelle fois dans une aventure haletante au cœur de laquelle Rudy se débat face au cynisme sans limite du système.
La confession
Un innocent va être exécuté, seul un assassin peut le sauver…
Donté Drumm, jeune Afro-Américain de vingt-sept ans, n’a plus que quelques jours à vivre. Après huit années passées dans le couloir de la mort, il va être exécuté pour un crime qu’il n’a pas commis. Ce n’est pas lui qui a enlevé, violé et tué une pom-pom girl de son lycée de Sloan, au Texas : des aveux lui ont été extorqùés par des policiers racistes et son procès a été une pure mascarade.
Tandis que son avocat multiplie les appels pour tenter de le sauver, un pasteur de Topeka, à six cents kilomètres de là, reçoit la visite d’un certain Travis Boyette qui revendique avoir perpétré ce meurtre odieux. Multirécidiviste, atteint d’une tumeur cérébrale, il dit vouloir épargner un innocent. Les avocats, les juges, le gouverneur se laisseront-ils convaincre ? Donté Drumm sera-t-il sauvé ? La route est longue pour rétablir la vérité surtout quand ils sont nombreux à refuser de l’entendre.
L’Insoumis
Sebastian Rudd n’est pas un avocat comme les autres. Il travaille dans un van aménagé, avec des vitres blindées, le wifi, un petit réfrigérateur, des fauteuils de cuir, une cache pour ses pistolets et un chauffeur armé jusqu’aux dents. Il n’a pas de cabinet, ni d’associés, ni de partenaires. Sa petite entreprise ne compte qu’un seul employé : son chauffeur, qui fait office également de garde-du-corps, d’assistant juridique, de confident et de caddy quand il va jouer au golf. Sebastian vit seul au sommet d’un gratte-ciel, dans un appartement de petite taille mais protégé comme une forteresse, où trône un billard ancien. Il est amateur de bourbon premium et porte toujours une arme sur lui. Sebastian défend des gens qui font fuir les autres avocats : un junkie tatoué, membre selon la rumeur d’une secte satanique, accusé d’avoir enlevé et tué deux petites filles ; un chef mafieux sanguinaire, dans le couloir de la mort ; un habitant ayant tiré sur une équipe du SWAT alors qu elle donnait l’assaut dans sa maison et se trompait d’adresse. Pourquoi accepter ces clients ? Parce qu’il considère que toute personne poursuivie en justice a droit à un procès équitable ; et pour ce faire, Sebastian est prêt à franchir la ligne jaune de temps en temps. Il exècre l’injustice, n’aime ni les compagnies d’assurances, ni les banques, ni les grosses sociétés. Il se méfie des gens de pouvoir, à tous les niveaux, et fait fi des règles et de l’éthique. Avec Sebastian Rudd, John Grisham dresse le portrait d’un personnage haut en couleur, outrancier, extravagant, mais avec une justesse de ton et une humanité sans pareilles.