- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The King of Torts
John Grisham
The King of Torts
En anglais – The office of the public defender is not known as a training ground for bright young litigators. Clay Carter has been there too long and, like most of his colleagues, dreams of a better job in a real firm. When he reluctantly takes the case of a young man charged with a random street killing, he assumes it is just another of the many senseless murders that hit D.C. every week. As he digs into the background of his client, Clay stumbles on a conspiracy too horrible to believe. He suddenly finds himself in the middle of a complex case against one of the largest pharmaceutical companies in the world, looking at the kind of enormous settlement that would totally change his life–that would make him, almost overnight, the legal profession’s newest king of torts…
Vous aimerez aussi
Tout doit disparaître
« Quel meilleur passeport qu'une carte de presse tendue au bon moment? Quoi de plus fascinant que la montée en puissance des médias ? Assez de romantisme! journaliste: telle était incontestablement ma destinée… » Un jeune homme naïf entreprend son ascension dans la société de communication. Engagé comme critique musical, il révèle des goûts bizarres qui irritent les spécialistes de la culture. Jeté en pâture aux rédactrices d'un magazine féminin, il ne comprend rien à l'esprit des superwomen. Reconverti dans le fait divers, il enquête dans les camps de nudistes, les parcs de loisirs, avant d'échouer dans la presse pornographique… Un roman vif, drôle et cruel.
La confession
Un innocent va être exécuté, seul un assassin peut le sauver…
Donté Drumm, jeune Afro-Américain de vingt-sept ans, n’a plus que quelques jours à vivre. Après huit années passées dans le couloir de la mort, il va être exécuté pour un crime qu’il n’a pas commis. Ce n’est pas lui qui a enlevé, violé et tué une pom-pom girl de son lycée de Sloan, au Texas : des aveux lui ont été extorqùés par des policiers racistes et son procès a été une pure mascarade.
Tandis que son avocat multiplie les appels pour tenter de le sauver, un pasteur de Topeka, à six cents kilomètres de là, reçoit la visite d’un certain Travis Boyette qui revendique avoir perpétré ce meurtre odieux. Multirécidiviste, atteint d’une tumeur cérébrale, il dit vouloir épargner un innocent. Les avocats, les juges, le gouverneur se laisseront-ils convaincre ? Donté Drumm sera-t-il sauvé ? La route est longue pour rétablir la vérité surtout quand ils sont nombreux à refuser de l’entendre.
L’engrenage
Trois juges… Trois anciens notables déchus… Trois hommes vieillissants enfermés dans la même prison. On se souvient à peine du motif de leur condamnation. Ils passent leur temps dans la bibliothèque du camp de détention à écrire et à lire du courrier.
Et ils écrivent beaucoup… D’étranges lettres, adressées à des correspondants qui n’ont rien en commun, sauf d’avoir commis la même erreur : répondre à une petite annonce passée dans un journal homosexuel. Parmi eux, se trouve un certain M. Konyers. Les trois juges le devinent torturé par ses penchants refoulés, cultivé… et fortuné. Mais ce qu’ils ne savent pas encore, c’est que derrière ce mystérieux M. Konyers se cache l’homme que la CIA a choisi pour être le prochain président des Etats-Unis.
L’Allée du Sycomore
Seth Hubbard n’a confiance en personne. Atteint d’un cancer, il se pend à un sycomore après avoir laissé un dernier testament. Ce document va plonger ses enfants désormais adultes, sa femme de ménage noire et l’avocat Jake Brigance dans un conflit juridique aussi brutal et dramatique que le procès pour meurtre qui avait exacerbé les tensions raciales dans le comté de Ford, trois ans auparavant. Pourquoi Seth Hubbard veut-il léguer presque toute sa fortune à son employée ? La maladie a-t-elle affecté ses facultés de jugement ? Et quel rapport tout cela a-t-il avec cette parcelle de terre qu’on appelait autrefois Sycomore Row ? Un superbe roman où le déchaînement des passions humaines ouvre le chemin d’une possible rédemption. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Dominique Defert.