- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The man within
Graham Greene
The man within
En Anglais – Graham Greene’s first published novel tells the story of Andrews, a young man who has betrayed his fellow smugglers and fears their vengeance. Fleeing from them, with no hope of pity or salvation, he takes refuge in the house of a young woman, also alone in the world. Elizabeth persuades him to give evidence against his accomplices in court, but neither she nor Andrews is aware that to both criminals and authority, treachery is as great a crime as smuggling. The first step in a brilliant career, The Man Within offers a foretaste of Green’s recurring themes of religion, the individual’s struggles against cynicism, and the indifferent forces of a hostile world. This Penguin Classics edition features an introduction by Jonathan Yardley.
Vous aimerez aussi
Le cri du hibou
Robert Forestier semble avoir toujours été la proie du malheur. Une suppression, un mariage raté, l’ont fait fuir New York et l’ont amené à installer dans une petite ville de Pennsylvanie, où il a trouvé un travail qui lui permet de vivre. Cependant, le vide affectif qu’il ressent le pousse à observer une jeune fille par sa fenêtre, sans qu’elle le sache. Il la regarde aller et venir, recevoir son fiancé, vivre sa vie de tous les jours, et ces images lui apportent un bien être dont il ne peut plus se pousser. Jusqu’au jour où, accidentellement, il la rencontre… Et le malheur, qui semblait l’avoir oublié, viendra frapper ceux qui l’approprieront, sans que lui-même soit épargné, jusqu’au cauchemar final qu’il ne pourra éviter.
Les Diaboliques
« Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Il n'y en a pas une seule à qui on puisse dire le mot de « Mon ange » sans exagérer. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, – si elles sont des anges, c'est comme lui, – la tête en bas, le… reste en haut ! » – Il fallut près de vingt-cinq ans à Barbey pour le voir paraître : il y travaillait déjà en 1850. À la fin de la Commune, Barbey revint en Normandie. Il y acheva le livre en 1873.
La bâtarde
Une femme descend au plus secret de soi, et elle raconte avec une sincérité intrépide, comme s’il n’y avait personne pour l’écouter. » Rien ne résume mieux le récit de Violette Leduc que cette phrase empruntée à la préface où Simone de Beauvoir présente l’auteur et son œuvre. Car La Bâtarde est une autobiographie sans fard et sans remords, une « tranche de vie » de trente années taillée dans le siècle de telle sorte que les deux dernières guerres y sont englobées. Trente ans qui font de l’enfant illégitime un auteur capable de retenir l’attention de grands écrivains contemporains. L’éveil à la vie que raconte Violette Leduc, c’est aussi l’éveil d’une vocation littéraire – un apprentissage qui aboutit à pratiquer l’art d’écrire les sensations glanées au cours d’une marche toujours solitaire bien qu’il y ait eu une Isabelle, une Hermine, un Gabriel pour faire avec elle un bout de la route, et aussi un ange : Fidéline, pour mettre en toile de fond à cette histoire brûlante un peu de ciel bleu découpé dans leur tablier.
Les diaboliques
(Reliure toile ornée de l’éditeur) – Qui est donc Alberte, cette jeune femme étrange, en apparence si réservée et pourtant capable de séduire le beau soldat qu’hébergent ses parents ? plus encore, de braver tous les interdits pour satisfaire ses désirs ? Quel terrible crime cache le bonheur éclatant du comte et de la comtesse de Savigny ? Dans ces récits, le mal rôde, le diable est partout… Prenez garde, il pourrait bien vous subjuguer !