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Arthur Hailey
The money-changers
En Anglais – The “New York Times” Number One bestseller from 1976 is back in this great new package. As the day begins at First Mercantile American Bank, so do the high-stake risks, the public scandals, and the private affairs. It is the inside world where secret million-dollar deals are made, manipulated, and sweetened with sex by the men and women who play to win.
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Les excès de la passion
Benoît Travail, un ancien ouvrier agricole est devenu un riche propriétaire viticole. Âpre au gain, jouisseur, il n'aime que sa vigne et les “virées” occasionnelles à Lyon. D'où lui vient sa fortune ? Trafics sur les récoltes ? Gisèle, sa femme, Mariette la belle-sœur délurée et aguicheuse. Cécile, sa fille, secrète, docile, peu expansive. Mais une multinationale va s’implanter dans ce petit milieu viticole. Des Soyeux de Lyon , les Pignet, ont racheté la Rippe qui va devenir “château la Rippe”. Les passions se déchaînent autour de l'argent : grèves, luttes syndicales … Jean Jordan, journaliste et romancier, en sera le témoin.
Promesse
Nous sommes au cours de la cinquième année de la guerre sino-japonaise, c'est aussi l'année de Pearl Harbour. “Lorsque nous apprendrons que le peuple des américains est entré en guerre à nos côtés, dit un des héros de cette histoire, cela nous donnera à tous la force de tomber sur l'ennemi, de le chasser du pays.” Hélas, Pearl Harbour est une défaite écrasante … Faut-il donc renoncer à la promesse de la liberté ?
A passage to India
En Anglais – A Passage to India (1924) is a novel by English author E. M. Forster set against the backdrop of the British Raj and the Indian independence movement in the 1920s. It was selected as one of the 100 great works of 20th century English literature by the Modern Library[1] and won the 1924 James Tait Black Memorial Prize for fiction.[2] Time magazine included the novel in its “All Time 100 Novels” list.[3] The novel is based on Forster's experiences in India, deriving the title[4] from Walt Whitman's 1870 poem “Passage to India”[5] in Leaves of Grass. The story revolves around four characters: Dr. Aziz, his British friend Mr. Cyril Fielding, Mrs. Moore, and Miss Adela Quested. During a trip to the fictitious Marabar Caves (modeled on the Barabar Caves of Bihar),[6] Adela thinks she finds herself alone with Dr. Aziz in one of the caves (when in fact he is in an entirely different cave), and subsequently panics and flees; it is assumed that Dr. Aziz has attempted to assault her. Aziz's trial, and its run-up and aftermath, bring to a boil the common racial tensions and prejudices between Indians and the British who rule India.
Lettre ouverture à tout le monde
On connaît mon impatience et mon esprit prophétique : il y aura bientôt de cela une bonne dizaine d’années que je prêchai dans le désert une Parole tout à fait incongrue. J’osais « attaquer » le Monde ! Mes amis tremblèrent pour mon courage. Mes non-amis se réjouirent de mon suicide. Comme j’ai, dans le crime, l’esprit de récidive, je décidai de batifoler autour du Monde et de planter à cet animal d’amusantes banderilles. Comment ? Eh bien en écrivant des lettres à n’importe qui (au Roi d’Espagne, à des petites filles, au Pape, à ma concierge, etc.) en prenant bien soin de jouer les obsédés et d’avoir un leitmotiv présent dans toutes mes lettres et qui serait le journal le Monde. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, j’en avais depuis trois mois terminé avec mon exercice et déjà déposé mes fléchettes chez mon éditeur, lorsque Michel Legris expédia sur l’orgueilleux vaisseau amiral de la presse française une héroïque salve (le Monde tel qu’il est) qui sema la panique sur le pont et fit trembler ses mâtures. Partout, dès lors, ce fut comme un grand soupir et l’on entendit même des applaudissements. Enfin le Monde était secoué. Enfin Le Monde vulnéré n’était pas invulnérable. Enfin le désert ou je prêchais naguère se peuplait. Il ne me restait plus qu’à rappliquer avec mes « lettres » et qu’à danser, comme un garnement, autour du Leviathan blessé. Voici mes entrechats et mes pointes. Je danse mon époque, ses mœurs, ses mines, ses modes et ses manies en m’amusant à toujours retomber sur mes pieds. Ou, plutôt, vieil obsédé que je suis, sur les pieds du Monde. Jean Cau.

