- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The orange mocha-chip frapuccino years
Ross O'Carroll-Kelly
The orange mocha-chip frapuccino years
En anglais – Part of a cult series of books, the eponymous hero of Paul Howard’s tale is a boorish, snobbish, chauvinistic individual with a distinctly below-average IQ. The story opens with this postmodern hero out on the streets awaiting the next unpleasant incident to come along and trip him up.
Vous aimerez aussi
Irak – La ruée vers l’or
Alain Coutte fut à 18 ans l'un des plus jeunes pilotes professionnels au monde et compte à son actif plus de 3 000 heures de vol. Ayant passé plus de 17 ans de sa vie dans des groupes français de négoce et de commerce international de premier plan où il exerça des fonctions de dirigeant, il parle couramment plusieurs langues étrangères. Épris de justice, il se définit comme un homme libre de tout intérêt, de toute idée préconçue, de toute idéologie et de toute appartenance politique ou religieuse.
La société d’émancipation du pied
En Chine, au XVIIIe siècle, l’histoire de la vie d’une femme peut se résumer à l’histoire de ses pieds. C’est ce qu’incarne May, héroïne de La Société d’émancipation du pied, qui a dû souffrir de la mutilation de cet appendice ô combien érotique, « résumé de la beauté féminine ».
Jusqu’au bout du Sentier
Milieu des années 80 : Myriam Sitbon débarque du Maroc à Paris. Dans l'effervescence du Sentier, elle trouve des parents, des amis, l'homme de sa vie et la chaleur d'une communauté qui lui font oublier l'exil. La petite Juive de Casablanca se sent chez elle dans cette ruche extraordinaire agitée par les révolutions de la mode et se lance avec succès dans l'aventure de la confection et des magasins de cuir. Mais son itinéraire va l'entraîner un jour dans un monde de violence, d'extorsions, de chantage qu'elle ne soupçonnait pas. Prise dans la » rafle » de novembre 2000, elle se retrouve à Fleury-Mérogis. C'est dans sa cellule qu'elle a entrepris la rédaction de ce récit. Il nous initie aux trafics quotidiens, aux secrets des » petits chèques « , aux entourloupes d'un microcosme méconnu, mais aussi à ses espoirs toujours renaissants, ses défis sans cesse relevés, sa puissance de travail, sa générosité, son humour, et ses fêtes luxuriantes.
Clandestin
Elle devait avoir hâte de rentrer, et pourtant, elle avait bien voulu l’aider, lui l’inconnu, qui n’avait pas de toit. Lui le nomade, qui était de passage, le migrant comme ils disent. » Le nouveau roman d’Éliette Abécassis joue un drame en lieu clos – un quai de gare – et respecte l’unité de temps tragique d’une nuit pour que deux êtres, a priori aussi différents qu’incompatibles – lui l’immigré clandestin, elle la chef de mission auprès du préfet – se reconnaissent jumeaux dans la course amoureuse. Clandestin est un roman sans prétention, c’est-à-dire que c’est un roman réussi car il se lit avec naturel, sans difficulté, sans que l’on cherche à vouloir reconnaître de prime abord ce qu’a voulu dire l’auteur.