- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The pigeon project
Irving Wallace
The pigeon project
The secret. Every man and woman has dreamed of it. Now it’s within reach … and they’ll do anything to possess it. The screen goddess. The contessa. The wily priest. The American public relations man looking for a cause. And his lover who may die for it. They are all caught between life’s wildest dream … and death.
Vous aimerez aussi
Le roi fantôme
Conserver Staboraugh Cassie est devenu un luxe que Sir Richard. et Lady Mary ne peuvent plus se permettre. Ils se voient dans l’obligation de. vendre. Un acheteur s’est présenté, un Américain qui se propose de transformer le château en musée. La solution est digne du passé de cette demeure qui accueillit pendant cinq siècles les rois d’Angleterre avant d’être cinq autres siècles durant la résidence des Sedgeley. Ce que n’avaient compris ai Sir Richard ni Lady Mary, c’est que John Blayne veut transporter leur château pierre par pierre aux Etats-Unis. Rompre les pourparlers en criant au sacrilège -est leur première réaction, mais comment trouver l’argent si nécessaire ? A moins de dénicher un trésor par quelque miracle – un miracle que Lady Mary va implora des hôtes invisibles de ta maison. Est-elle folle ou les fantômes existent-ils ? De curieux incidents se produisent à la suite desquels john Blayne a bonne envie de laisser tomber l’affaire.
La meurtrière
Que feriez-vous si vous appreniez que votre mère s’est rendue coupable d’un crime atroce et que, après avoir purgé sa peine, elle s’apprête à sortir de prison ? Philippa Palfrey, elle, n’hésite pas une seconde. Cette jeune fille aux goûts raffinés, éduquée dans la meilleure tradition britannique par ses parents adoptifs, ne craint pas d’affronter les préjugés de classe et les horreurs commises par sa mère, Mary Ducton – la meurtrière -, pour la protéger d’un monde que dix années de prison lui ont fait oublier.Mais quelqu’un d’autre est au rendez-vous : c’est le père de la victime assassinée par Mary Ducton. Depuis dix ans, lui aussi attend son heure, guettant le moment où la meurtrière sera relâchée, pour procéder lui-même à l’exécution que la justice s’est refusée à accomplir.La traque commence. Sur les bords de la Tamise, sous les arbres en fleurs de St. James’ Park et dans les rues de Londres, un petit homme vêtu de gris suit sa proie à la trace. Il a tout son temps. Et il est certain de ne pas échouer…
Bank
Serrant de près l’actualité, ce nouveau grand roman est aussi révélateur que la plus méticuleuse des enquêtes. Il nous raconte l’histoire fascinante d’une grande banque, de l’argent qu’elle contrôle et de ces hommes avides qui le manient, qui le convoitent et qui se battent pour le pouvoir qu’il représente. Des hommes de tous les niveaux, il faut le préciser, depuis les caïds du conseil d’administration, qui hantent les coulisses du monde politique aussi tranquillement que celles du monde des affaires, brassant quotidiennement des sommes qui font rêver, jusqu’à ce jeune cadre, Miles Eastin, préoccupé par quelques milliers de dollars, et que nous suivrons des caisses de la banque jusqu’aux bas-fonds du crime… Des hommes et des femmes comme on en trouve partout : les irréprochables et ceux qu’on peut acheter, les puritains et les libertins, les ambitieux et les idéalistes…. mais tous liés par cette entreprise énorme et toute-puissante qu’est une banque moderne. Avec sa force habituelle, et la connaissance profonde qu’il a acquise, ici et là, des milieux de la banque et de l’argent, Arthur Hailey ne cache rien, dans cette histoire mouvementée, des vérités les plus terribles, les plus étonnantes -qu’il s’agisse de l’inflation, des cartes de crédit, de la corruption, ou de la « santé » des affaires les plus prestigieuses
La Nomenklatura – Les privilégiés en URSS
La Nomenklatura, ce mot inconnu jusqu’ici, sauf de quelques spécialistes, mérite de devenir aussi célèbre que le terme de Goulag. II désigne la classe des nouveaux privilégiés, cette aristocratie rouge qui dispose d’un pouvoir sans précédent dans l’Histoire, puisqu’elle est l’État lui-même. Elle s’est attribué d immenses et d’inaliénables privilèges (datchas et logements luxueux. limousines, chauffeurs, restaurants, boutiques, cliniques, centres de repos spéciaux et presque gratuits). Le récit évoqué à la fin de son livre par Voslensky dune journée dans la vie de Denis Ivanovitch, chef de secteur au Comité central du Parti communiste. nous donne tout autant envie de rire que de pleurer. Que ce livre nous dérange, qu’il nous interpelle dans toute sa vérité, qu’il nous oblige à pousser jusqu’au bout notre réflexion. Voilà qui n est pas banal et mérite que l’on y consacre quelque temps.