- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The pigeon project
Irving Wallace
The pigeon project
The secret. Every man and woman has dreamed of it. Now it’s within reach … and they’ll do anything to possess it. The screen goddess. The contessa. The wily priest. The American public relations man looking for a cause. And his lover who may die for it. They are all caught between life’s wildest dream … and death.
Vous aimerez aussi
Maurice Genevoix – Trente mille jours
Dans ce dernier livre écrit quelques mois avant sa mort, Maurice Genevoix raconte les Trente mille jours qui firent une vie d’homme à cheval sur deux siècles et une carrière de grand écrivain. Ces pages providentielles nous sont, d’une certaine manière, personnellement adressées. Ces mémoires rêveuses sont un peu — et toutes générations confondues — les nôtres.
La meurtrière
Que feriez-vous si vous appreniez que votre mère s’est rendue coupable d’un crime atroce et que, après avoir purgé sa peine, elle s’apprête à sortir de prison ? Philippa Palfrey, elle, n’hésite pas une seconde. Cette jeune fille aux goûts raffinés, éduquée dans la meilleure tradition britannique par ses parents adoptifs, ne craint pas d’affronter les préjugés de classe et les horreurs commises par sa mère, Mary Ducton – la meurtrière -, pour la protéger d’un monde que dix années de prison lui ont fait oublier.Mais quelqu’un d’autre est au rendez-vous : c’est le père de la victime assassinée par Mary Ducton. Depuis dix ans, lui aussi attend son heure, guettant le moment où la meurtrière sera relâchée, pour procéder lui-même à l’exécution que la justice s’est refusée à accomplir.La traque commence. Sur les bords de la Tamise, sous les arbres en fleurs de St. James’ Park et dans les rues de Londres, un petit homme vêtu de gris suit sa proie à la trace. Il a tout son temps. Et il est certain de ne pas échouer…
Le cœur qui cogne
Douze ans après la mort du fils aîné, parents, enfants et petits-enfants Dauzan se retrouvent au Rivier, la maison familiale qui fut le théâtre de leur bonheur… avant. Au jeu des tendresses que chacun veut croire possibles encore, tous se heurtent, s’évitent, se rejoignent avec tant d’espoir mais aussi tant de maladresse que, parfois, le cœur cogne à faire très mal. Le Cœur qui cogne est un roman tendu, émouvant. chaque phrase, chaque mot est à sa manière un indicible et farouche appel au secours. on y retrouvera toute la violence contenue, la passion et la sensibilité des romans d’Yves Navarre. La tendresse, ici, est un hasard à double tranchant.
Les otages du président
« … Dans cette valise, il y a une bombe atomique de dix kilotonnes. Prête à exploser ! » s’écria un intendant. Le président de la République française laissa son discours en suspens. Il s’appuya lourdement sur la table, sa main droite agrippant le micro devant lui. Ses yeux, brillant d’un éclat fixe, firent le tour de la salle de conférences et s’arrêtèrent sur une place vide, celle du secrétaire général du parti communiste soviétique. A sa droite, le président des États-Unis stupéfait ; « Vous ne voulez pas croire au terrosrisme nucléaire. eh bien. Nous y voilà pourtant ».