- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The Stone Leopard
Colin Forbes
The Stone Leopard
An assassination attempt on the President of the Republic; rumours circulating of an impending coup d’etat and a dying man whispering a codename – The Leopard. Prefect of the Paris police, Marc Grelle guesses there’s a connection that could tear France apart.
Vous aimerez aussi
Vies des douze césars
La Vie des douze Césars (en latin De uita duodecim Caesarum libri) est une œuvre de Suétone, auteur latin du haut empire. Il s’agit des biographies des douze premiers imperatores de Rome ayant porté le nom et le titre de César, de Jules César à Domitien. Chaque biographie ne suit pas un schéma chronologique, mais est organisée en une succession de rubriques : origine familiale, naissance et carrière avant l’avènement, son avènement et les présages annonciateurs de son avènement, magistratures exercées, campagnes militaires, œuvre législative et judiciaire, générosités envers le peuple, description physique et caractère, mort et présages annonciateurs de sa mort, etc.. On souligne généralement la richesse et parfois la qualité des informations de Suétone, qui a eu accès à des archives impériales en raison de ses fonctions. La succession des biographies donne une histoire continue de l’Empire romain, de la fin de la République à la fin de la dynastie flavienne.
Les clients d’Avrenos
Quels sont les secrets qui unissent Nouchi, l’entraîneuse de dix-huit ans originaire de Vienne, et Bernard de Jonsac, ce Français d’une quarantaine d’années que tout le monde croit diplomate ? Quels mystères se cachent derrière leur errance aux parfums d’insouciance ? Partis d’Ankara, ils arrivent à Istanbul. Les nuits moites du Bosphore cachent des personnages qui se guettent, se haïssent, sympathisent parfois… Rien ne change dans ce décor où la torpeur gouverne. Et pourtant… Une femme est retrouvée comme morte, Nouchi fascine, et Bernard de Jonsac ferme les yeux sur ce qu’il ne veut pas comprendre.
Le chambrion – Ponson du terrail
le Chambrion est un paysan qui a fait implicitement vœu de solitude et de célibat. S’il a un peu de bien, il le cultive ; s’il n’en a pas, il va en journée, soit comme laboureur, vigneron ou batteur en grange, soit comme bûcheron. Le Chambrion vit seul dans une petite maison presque toujours éloignée de toute autre habitation, et la plupart du temps placée sous bois. Il fait son ménage, sa cuisine, rapetasse ses vêtements, et l’hiver, quand la neige lui défend toute autre besogne, il ne dédaigne pas de se filer un brin de laine pour se faire des bas. Presque toujours, le Chambrion est un être sur lequel plane quelque mystérieuse histoire ou pèse quelque souvenir pénible. L’un est enfant de l’hospice, l’autre a eu des parents qui avaient une mauvaise réputation. Il en est qu’on accuse d’un brin de sorcellerie. D’autres passent pour avoir des remèdes contre le charbon, la rage et la picote. Si, le dimanche, ils se risquent dans le cabaret du village, on les accueille avec un étonnement mêlé de crainte. Au bal, le Chambrion ne trouve pas souvent une fille qui consente à danser avec lui. Il n’y a que peu d’exemples qu’un Chambrion ait fini par se marier. Du reste, il est généralement bon ouvrier, honnête, serviable et hospitalier. »
La ménopause effacée
La ménopause ne peut pas être considérée comme un simple événement chronologique. Se cantonner à cette définition simpliste ne serait pas une attitude objective, et conduirait à une dangereuse désinvolture : l’ignorance des phénomènes qui l’accompagnent, des complications et des dégénérescences qui la suivent. La réalité et l’universalité des troubles qu’elle occasionne, leurs conséquences physiques, fonctionnelles, physiologiques et sociales, la décompensation de pathologies pré-existantes, jusque-là bien contenues, les conséquences dangereuses à long terme des perturbations trophiques ou métaboliques et les pathologies invalidantes qu’elles entraînent, sont autant de faits objectifs qui n’autorisent ni la légèreté, ni la négligence, ni l’ignorance. Ce n’est pas en ignorant, en niant ou en minimisant les faits déplaisants ou insupportables qu’on les supprime. Le désintérêt, la méconnaissance que rencontrent les femmes à ce sujet, la solitude où elles restent, ou sont rejetées, ne sont pas de bons moyens de les aider, ni d’effacer leurs problèmes.