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Riall W. Nolan
The treasure at Loatani point
En anglais : Max Donovan is an ex-Vietnaù pilot with a smart mouth and brains to match. He’s tough and he’s fast and he makes his living supplying just about anything- as long as it’s not too illegal
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L’Amour et le pouvoir
110 avant J.-C.: la République est à son apogée et, pourtant, elle est déjà minée par l’argent, la cupidité et les luttes de factions. Deux hommes vont se lever. Deux hommes d’exception, avec, chacun, l’ambition de devenir le «Premier parmi les Romains», distinction accordée à de très rares occasions depuis les origines de la République. Aucun des deux, cependant, ne dispose à priori des moyens pour parvenir à ses fins. Marius a contre lui ses origines: c’est un notable enrichi et il n’appartient donc pas à l’une ou l’autre des grandes lignées patriciennes dont les représentants dominent le Sénat et gouvernent la cité depuis la chute de la monarchie. À l’opposé, Sylla est de naissance aristocratique, mais il a contre lui d’être un homme désargenté qui a décider d’oublier sa condition dans la recherche effrénée des plaisirs. De tous les plaisirs.
La dénonciation
17 juin 1940, les Allemands investissent La Charité et passent la Loire. A la ferme d’en bas, Julia attend le retour de Léon, son mari, et de Pierre son frère, tous deux partis au front un an auparavant. Léon revient le premier et participe à nouveau au travail de la ferme. Pierre arrive peu après. Aussitôt la haine qui les oppose depuis plusieurs années se réveille. Tout les sépare : leur origine, leur caractère et surtout leurs idées. Pierre lutte contre l’occupant, Léon se prend à l’admirer. Toute conciliation devient vite impossible et Léon entraîne Julia et ses enfants à La Charité-sur-Loire où il a pris un café en gérance. Julia s’adapte joyeusement à cette vie nouvelle. Très vite, « La Chope » devient le lieu de rendez-vous des maréchalistes et collabos de tous poils. Dans le même temps la haine de Léon à l’égard de Pierre prend de plus en plus d’ampleur…
La maison de Claudine
Publié en 1922, ce livre raconte, par une suite de courtes scènes, la jeunesse de l’auteur à la campagne, dépeignant sa mère, son père et quelques-uns de ses animaux de compagnie. Ce roman est le récit autobiographique de l’enfance heureuse que vécut Colette. Malgré le titre La Maison de Claudine, hommage aux romans populaires Claudine qui lancèrent la carrière de son auteur, ce roman ne s’inscrit pas dans cette série ; le seul lien est que la maison du titre, et la ville de Saint-Sauveur en Puisaye évoqués dans le livre ont servi de modèle au Montigny de Claudine dans les romans.
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1640 pages – La Comtesse de Chamy succède immédiatement à Ange Pitou : il débute le 6 octobre 1789 pour s’achever, le 21 janvier 1793, avec l’exécution du roi. L’aventure collective relègue à l’arrière-plan les destins individuels et les personnages ne subsistent plus que comme symboles d’une idée ou d’un groupe social : Billot incarne le peuple, Chamy, l’aristocrate loyal, Gilbert, le constitutionnel, Pitou, la générosité. Au cours des événements qui ponctuent la chute de la royauté (fuite à Varennes, retour aux Tuileries, 10-Août, procès du roi), les héros ne réapparaissent que pour terminer leur carrière romanesque par la mort ou l’exil. Après les excès des passions antagonistes, Le Chevalier de Maison-Rouge incarne la tentative de réconciliation. Un républicain convaincu, Maurice Lindey, s’éprend d’une royaliste, Geneviève Dixmer, dont le mari et le frère (celui-ci est en réalité le chevalier de Maison-Rouge qui se cache sous un faux nom) ont entrepris de délivrer la reine du Temple. Maurice, révolutionnaire mais humain, Geneviève, royaliste mais amoureuse, vivent un amour impossible : la cruauté de Dixmer et de celle de son double républicain, Simon, les conduira à la mort sur l’échafaud, après que la reine elle-même aura eu la tête tranchée. Le roman semble illustrer cette phrase de Michelet : « Cette affaire […] fut un solennel champ de bataille où se rencontrèrent et se combattirent deux principes et deux esprits : l’un, le principe original et naturel qui avait fait la révolution, la justice, l’équitable humanité – l’autre, le principe d’expédients, d’intérêt, qui s’appela le salut public, et qui a perdu la France. »