- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- The Woman Who Saved the Children: A Biography of Eglantyne Jebb: Founder of Save the Children
Clare Mulley
The Woman Who Saved the Children: A Biography of Eglantyne Jebb: Founder of Save the Children
Since 1919 Save the Children has fought to uphold the human rights of children worldwide. Now promoted by the likes of Brad Pitt, George Clooney, and Julianne Moore the charity’s founder was a childless spinster whose most famous line, I don’t care for children’ makes hers a most unconventional story. Eglantyne’s short life was full of passion and pain, moving from illicit romance in Cambridge to espionage in Serbia. Her achievements in putting children’s universal human rights on the world agenda are a powerful testament to her eccentric charisma and humane vision. Clare Mulley joined Save the Children as a corporate fundraiser in the 1990s. Mother of three daughters, she currently lives in Essex, UK.
Vous aimerez aussi
OVNIS – Enquête sur un secret d’États
On les appelle phénomènes aérospatiaux non identifiés, soucoupes volantes, ufos ou plus simplement ovnis… Que savons-nous de ces singulières apparitions lumineuses, de ces étranges vaisseaux qui traversent notre espace aérien ? Hallucinations collectives ? Méprises météorologiques ? Manifestations d'un autre monde ? Les auteurs de ce document saisissant ont enquêté pendant plus d'un an sur le sujet, de manière journalistique, en toute objectivité. Ils ont rencontré des spécialistes de la question dans le monde entier : pilotes de ligne et de chasse, astrophysiciens, ingénieurs, représentant du ministère de la Défense britannique, astronomes, ufologues, responsables de l'agence spatiale… Cette « Enquête sur un secret d'États » se veut avant tout un ouvrage de vulgarisation, accessible et référencé, sur le sujet des ovnis, dans lequel histoires vécues et faits inventoriés côtoient rencontres, réflexions et hypothèses. Les auteurs apportent, surtout, des révélations. L'armée de l'air américaine, la CIA, la gendarmerie française, la Défense britannique et la marine russe ont ouvert une partie de leurs archives.
De Niro’s Game
Liban, début des années 1980. Campé dans un Beyrouth dévasté par les bombes, De Niro’s Game est une odyssée chaotique, écorchée et haletante, une plongée vertigineuse au cœur de la guerre civile et de ses folies. A Beyrouth-Ouest, Bassani et Georges, deux amis d’enfance, tuent leur ennui et leur mal de vivre à coups de petits boulots minables, de maigres larcins et de soirées trop arrosées. Les jours se suivent et avec eux les alertes, les morts, les immeubles en ruine. Les filles sont inaccessibles, muselées par les traditions et les couvre-feux. Entre deux visites aux copains de lycée engagés dans la milice, les deux jeunes gens s’imaginent coulant des jours meilleurs : Bassam rêve de fuir à l’étranger, et Georges, lui, se sent de plus en plus attiré par les discours belliqueux de la milice chrétienne. Dans un ultime défi, les deux amis décident de détourner la recette de la salle de jeu où Georges travaille. Mais l’argent seul suffira-t-il à les éloigner de la guerre et à sauver leur amitié ? Porté par une écriture sans concessions, le premier – roman de Rawi Hage annonce, au-delà de la puissance du récit, l’avènement d’une nouvelle voix.
Les Rugbymen – 9 – Si on gagne, c’est le gâteau sur la cerise !
A quelques jours du premier match de la saison, un gros problème se pose à nos Rugbymen : Sossatoulépla, le meilleur joueur de l’équipe adverse, n’est toujours pas là… Originaire d’Ovalialo, un petit îlot des Fidji au large de La Nouvelle-Zélande, il est tellement bien sous ses cocotiers qu’il en a oublié de rentrer en France. Pour tenter de sauver le match, les joueurs de Paillar partent à sa recherche dans ces îles lointaines et mystérieuses. De retour du Pacifique, la saison de rugby peut enfin battre son plein dans une succession de matchs et de 3e mi-temps bien arrosées…
L’Année Terrible
En décembre 1908, Jules Garçon, jeune écrivain originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais, termine, sous le pseudonyme de Georges le Tervanick, la transcription des souvenirs de Dominique Thelliez relatifs à son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870. Car il faut dire que son enfance, comme tant d’autres, a été bercée par les récits de cette guerre et, sans doute, par nombre de couplets revanchards ayant pour thème l’Alsace et la Lorraine. Jules Garçon entend donc témoigner à la fois des souffrances et du désarroi de toute une génération, celle de ses grands-parents, et de la modeste grandeur de deux hommes : Dominique Thelliez, « un vieux, brave troupier », et Léopold Foulon, son propre grand-oncle, « mobile » du Pas-de-Calais. Deux « obscurs », acteurs à peine, niais témoins actifs, attristés souvent, souvent malicieux, discrètement critiques, de cette campagne lamentable où les humbles, servirent de pions dans le jeu de dirigeants politiques et militaires d’une confondante incompétence.