- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Thumper’s little sisters
Walt Disney
Thumper’s little sisters
En Anglais – A Walt Disney beginning reader. (Fun-to-read library)
Vous aimerez aussi
L’étudiant étranger
Invité par une prestigieuse université de Virginie, un jeune Français découvre émerveillé la vie dorée des college boys, leurs équipes sportives, leur campus dans une vallée paradisiaque. C’est le temps d’une Amérique sage, celle d’avant l’explosion des moeurs et le fracas des années soixante. Très vite, le jeune homme comprend qu’il reste un « étudiant étranger ». Il va franchir des lignes, transgresser des tabous, sans même s’en rendre compte : d’abord en faisant l’amour avec une jeune institutrice noire, April. Ensuite en tombant amoureux d’une héritière de Boston, Elisabeth, personnage fantasque et corrosif… Sur un ton limpide de sincérité, ce récit de formation ressuscite, avec humour et nostalgie, les jours fragiles de l’adolescence, quand « tout était la première fois ».
Les fosses carolines
Ceci est un roman. Un roman d’aventures. Il se situe en des temps lointains. C’est donc un roman historique. Ce n’est pourtant pas ce que l’amateur averti appellerait un « peplum » ou un « ben-hur ». Ce n’est pas non plus un récit à châteaux forts, tournois, gentes dames et gracieux sires… Ça se situe entre les deux. Dans le grand trou noir, oui,c’est ça. Les temps du Grand Chambard. Les temps du Grand Brassage. Les temps où s’exterminent et se mêlent les masses humaines précipitées de partout des steppes d’Asie, des forêts du Nord, des déserts d’Afrique…Les temps où se fit l’Europe des Bâtards. Notre Europe. Nous sommes tous des bâtards. Tant mieux pour l’Europe. On s’y bat férocement. On y baise furieusement. On y aime à en mourir d’amour. Voilà. C’est un roman. Un roman d’aventures.
L’un est l’autre
– Certains voient dans l’opposition entre hommes et femmes l’essence même de leurs relations : naturelle serait la confiscation de tous les pouvoirs au profit des hommes, naturelle aussi la division sexuelle des tâches. – C’est cette conception que dénonce Élisabeth Badinter dans ce livre, celle qui confond un moment de l’histoire — la prédominance du patriarcat — avec une constante de notre nature. – Mais, homme ou femme, sommes-nous réellement prêts à remettre en question le modèle millénaire de la complémentarité au profit de celui de l’identité ?
Ave Caesar
Il était une fois un homme, une femme… Ayant vécu ensemble, ils ont beaucoup parlé et pensent se connaître. Un jour, ils décident de « s’écrire », de se raconter l’un à l’autre leur enfance, leurs amours, leurs échecs. Ils croyaient se lancer dans une entreprise facile mais les mots qui se heurtent dans leurs lettres alternées remettent leur vie en question. Ils s’interrogent, mais, s’exposant totalement au jeu de la vérité, le duo devient duel. L’aventure épistolaire frôle le drame. Est-ce l’apothéose saignante d’une rupture qui s’annonce ? Ils ne se sépareront pas. Au contraire, ils se rapprocheront l’un de l’autre parce que, poussé, contredit, aidé par une femme, un homme acceptera d’accoucher du petit César qui vit en lui, ni plus ni moins fragile et solide que tous les autres hommes. Cette parole d’homme qui jaillit pour la première fois, les femmes l’espèrent depuis toujours et beaucoup d’hommes, aujourd’hui, tentent de l’exprimer. Elle est dans ce livre et prouve qu’on ne meurt pas d’elle. Elle aide à respirer les hommes comme les femmes.