- Home
- >
- Science-fiction
- >
- Tome 2 – Fièvre
Maggie Stiefvater
Tome 2 – Fièvre
Grace et Sam ne se quittent plus, mais leur avenir s’annonce fragile. Sam se débat avec son passé de loup qui lui colle à la peau. Grace, elle, se heurte à l’autorité de ses parents et souffre d’une étrange fièvre, qui pourrait bien mettre son amour, et sa vie, en péril. Survient alors Cole. Lui aussi doit affronter ses démons, et il menace encore plus l’équilibre précaire qui s’est instaurée à Mercy Falls. Quant à Isabel, elle ne se pardonne pas la mort de son frère, mordu par les loups. Irrésistiblement attirée par Cole, elle sait pourtant que lui ne rêve que de rejoindre la meute. Quand un monde s’écroule, seul l’amour subsiste. Pour toujours ?
Vous aimerez aussi
L’or bleu
Bruce, ayant toujours vécu au large d’Uranus et de Saturne, vient pour la première fois en vacances sur Terre. Lancé malgré lui dans une folle course-poursuite jusqu’à Capri avec Bérénice, une jeune et superbe actrice, Bruce découvrira-t-il la vérité cachée par ceux qui détiennent le bien suprême : l’eau ? Un roman sur la question très actuelle des ressources de l’eau sur Terre, écrit par un auteur majeur de la science-fiction.
Le langage des pierres
Au XVe siècle, dans un pays qui ressemble aux Iles Britanniques, Will, un jeune garçon de treize ans, est arraché à ses parents adoptifs par le mage Gwydion. Ce dernier, persuadé que l'adolescent est la réincarnation d'Arthur et qu'il a le pouvoir d'épargner au pays le bain de sang qui approche, veut en faire son apprenti. Il va l'initier au langage des pierres, aux pratiques magiques, aux jeux d'adresse, à ceux de la diplomatie, et lui inculquer les rudiments de la sagesse. Car le Royaume vit une époque troublée : les pierres magiques, autrefois symbole de paix et de protection contre les invasion, ont perdu leur pouvoir. Et un sorcier, tenaillé par la soif du mal, a parié sur le chaos et la guerre afin d'assurer sa prise de pouvoir sur le monde. Gwydion et Will parviendront-ils à sauver le Royaume du désastre annoncé ?
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Univers 12
Les animaux fabuleux, les bestioles galactiques et les créatures mutantes, c’est la science-fiction de papa. Mais la S-F d’aujourd’hui les utilise également. R.A. Lafferty nous décrit une foire aux animaux très spéciale. C’est un ours qui intéresse Robert F. Young, tandis que Philip K. Dick nous parle d’animaux musiciens dans la plus belle tradition de l’absurde. Pour ne pas être en reste, le dessinateur Lesueur imagine une ferme de l’avenir assez cauchemardesque. Il n’y a pas que des animaux dans ce numéro. Vous y rencontrerez également le Christ, une Lolita, Las Vegas revu par William Burroughs, et René Durand lui-même. Oui, il est à la fois l’auteur et le protagoniste de sa nouvelle.

