Collectif, Malcom Mc Leod
Trésors de l’Art Africain
Intéressante monographie présentée dans un format des plus attractifs, elle s’agrémente de nombreuses tout autant que superbes planches photographiques. »L’auteur mêle ici l’histoire à l’anecdote pour décrire masques, sculptures, ornements et bijoux, recueillis, pour la plupart, depuis une centaine d’années. Le texte permet d’appréhender les caractéristiques propres aux diverses civilisations, telles qu’elles se manifestent dans ces réalisations artistiques. » Table : Bakouba – Bénin – Batetela – Bas-Niger – Bakongo – Akan – Ifé – Baga – Bambara – Baga-nimba – Boura – Oba – Yorouba – Balouba – Zoulou – Bayaka – Makinde – Bobo – Bachokwe – Bwiiti – Basongye – Tiv – etc.
La couverture est dans un état très moyen mais l’intérieur est en très bon état. Peu courant.
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Bohèmes
C’était l’époque où Paris était la capitale du monde. Sur les trottoirs de Montmartre et de Montparnasse, entre le Bateau-Lavoir et la Closerie des Lilas, allaient les sublimes trublions qui inventaient l’art moderne et le langage du siècle : Jarry, son hibou et ses revolvers, Picasso, sympathisant anarchiste, Apollinaire, l’érotomane, Modigliani et ses femmes, Max Jacob et ses hommes, Aragon, le flambeur, Soutine, le solitaire, Man Ray, Braque, Matisse, Breton et les autres… Ils venaient de tous les pays. Ils étaient peintres, poètes, sculpteurs, musiciens. Fauves, cubistes, surréalistes, fêtards, amoureux – libres. Pendant trois décennies, ils menèrent le bal des plumes et des pinceaux. Leurs vies sont flamboyantes comme leurs œuvres. Et leurs œuvres, belles comme la vie. Ils demeurent à jamais les personnages de leurs propres légendes. Ils furent et restent les héros du temps des Bohèmes : un monde magnifique dont les reflets ne cesseront jamais de nous éclairer.
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Broderie en relief
Richesse des thèmes : floraux (fleurs et feuilles…), petits insectes (papillons, libellules, coccinelles…), oiseaux (plumes et ailes…). 20 motifs à broder. 12 applications décoratives : la broderie peut être montée sur une bague, décorer un cadre à photo ou un flacon de parfum. Un ouvrage pratique. L’introduction fait le point sur le matériel nécessaire et explique dans le détail des différents points de broderie utilisés dans l’ouvrage. Chaque motif est précisément expliqué à l’aide de gros plans, de schémas et de gabarits.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.