Collectif, Malcom Mc Leod
Trésors de l’Art Africain
Intéressante monographie présentée dans un format des plus attractifs, elle s’agrémente de nombreuses tout autant que superbes planches photographiques. »L’auteur mêle ici l’histoire à l’anecdote pour décrire masques, sculptures, ornements et bijoux, recueillis, pour la plupart, depuis une centaine d’années. Le texte permet d’appréhender les caractéristiques propres aux diverses civilisations, telles qu’elles se manifestent dans ces réalisations artistiques. » Table : Bakouba – Bénin – Batetela – Bas-Niger – Bakongo – Akan – Ifé – Baga – Bambara – Baga-nimba – Boura – Oba – Yorouba – Balouba – Zoulou – Bayaka – Makinde – Bobo – Bachokwe – Bwiiti – Basongye – Tiv – etc.
La couverture est dans un état très moyen mais l’intérieur est en très bon état. Peu courant.
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Marie Laurencin
Introduite, dès sa première participation au salon d’Automne en 1907, dans les milieux d’avant garde, autour de Picasso, Braque, Max Jacob, André Salmon, le Douanier Rousseau, puis une intime du Bateau Lavoir grâce à sa liaison avec Apollinaire, Marie Laurencin (1883-1956), assiste de très près à l’éclosion du cubisme. Ce milieu montmartrois, elle l’immortalisera à travers deux portraits de groupes dont le célèbre Apollinaire et ses amis (1912). Du cubisme elle retiendra la simplification des formes mais qu’elle adapte, avec un sens inné du portrait classique et une modernité soutenue, dans une palette en camaïeux de gris, bleus et ocres, cernés de noirs. Elle participera ainsi à la Maison cubiste, exposera aussi bien au salon qu’à l’Armory Show. Au lendemain de la Première Guerre, elle s’inscrit avec aisance dans le goût décoratif du temps, dans un genre maniériste et bientôt suave aux tons pastels, empreints de rêverie, privilégiant les sujets féminins et l’évocation de l’enfance. En même temps, elle s’affirme comme la portraitiste à la mode d’une société choisie où règnent la Baronne Gourgaud, la Comtesse Etienne de Beaumont ou Lady Cunard, entourées d’amis masculins dont Jean Cocteau (portrait de Coco Chanel, Nicole Groult) et comme décoratrice, en particulier pour les Ballets russes de Diaghilev (les Biches) et ceux de Roland Petit. Son art gagne encore en simplicité et en discrétion, réduit bientôt aux jeux des courbes et à l’alliance harmonieuse et douce des verts, des roses et des bleus. Cet itinéraire très personnel est reconstitué à travers 70 peintures et une vingtaine d’aquarelles dont la majeure partie en provenance du musée Marie Laurencin à Tokyo fondé en 1985 par Masahiro Tokano et dirigé par Hirohisa Takano-Yoshizaw. En coédition aec le musée Monet-Marmottan.
Bohèmes
C’était l’époque où Paris était la capitale du monde. Sur les trottoirs de Montmartre et de Montparnasse, entre le Bateau-Lavoir et la Closerie des Lilas, allaient les sublimes trublions qui inventaient l’art moderne et le langage du siècle : Jarry, son hibou et ses revolvers, Picasso, sympathisant anarchiste, Apollinaire, l’érotomane, Modigliani et ses femmes, Max Jacob et ses hommes, Aragon, le flambeur, Soutine, le solitaire, Man Ray, Braque, Matisse, Breton et les autres… Ils venaient de tous les pays. Ils étaient peintres, poètes, sculpteurs, musiciens. Fauves, cubistes, surréalistes, fêtards, amoureux – libres. Pendant trois décennies, ils menèrent le bal des plumes et des pinceaux. Leurs vies sont flamboyantes comme leurs œuvres. Et leurs œuvres, belles comme la vie. Ils demeurent à jamais les personnages de leurs propres légendes. Ils furent et restent les héros du temps des Bohèmes : un monde magnifique dont les reflets ne cesseront jamais de nous éclairer.
Erotique du cimetière
FRANÇAIS, 218pp, nombreuses photographies de sculptures funerarias.SOBRE l’auteur : André Chabot, les cimetières de spécialiste et l’art funéraire. Photographe, artiste, journaliste, urnes de créateurs et des pierres tombales. André Chabot est un artiste français né en 1941 à Saint- Etienne et présenté comme un nécropolitain walker. Son travail pour plus de 30 années consacrées à la mort. Le photographe, qui ramasse les tombes en noir et blanc, des mausolées, tombes, cénotaphes et les catacombes. Un grand voyageur, était un superbe tombes de mémoire photographiques, des cimetières dans le monde entier. Ses photographies de monuments, plus de 160 000 par jour, un fonds et sont cosmopolites en constant développement. Artiste crée des installations où le tombeau parle et porte le cercueil revisité ses fantasmes. Professeur émérite de lettres, écrivain, journaliste, André Chabot discute mort dans tous ses aspects. Conception et monuments urnes , installé trois de ses créations dans le cimetière du Père- Lachaise à Paris. Environ 600 pièces, dont plus de 90 expositions personnelles, marquent son cours en Allemagne, Belgique, Canada, Croatie, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas, Italie, République tchèque, Slovénie, Suisse Bosnie.
Petites histoires de mon ShowBiz
En plus de 40 ans d’émissions de radio et de télévision, Jean-Paul Rouland a rencontré la plupart de nos grandes stars : Lino Ventura, Yves Montand, Michel Simon, Sacha Guitry, Maurice Chevalier, Simone Signoret … sans compter les histoires qu’on lui a rapportées, toutes aussi savoureuses les unes que les autres. Avec son talent, Jean-Paul Rouland nous montre l’envers du décor et révèle des anecdotes inconnues du public. Après le succès des Petites histoires de l’histoire de France et des Mystères de l’histoire de France, ce formidable conteur nous plonge dans l’univers du show-business et nous fait connaître des personnalités attachantes comme Pierre Mondy, Antoine Blondin, Léon Zitrone, Raimu, Henri Salvador, Jean Richard ou Elvire Popesco.