- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Tweede Kans
Danielle Steel
Tweede Kans
En Néerlandais – In Danielle Steels roman Tweede kans begint hoofdredacteur Fiona Monaghan halsoverkop een relatie met weduwnaar John Anderson. Fiona Monaghan is hoofdredacteur van het zeer invloedrijke modetijdschrift Chic in New York. Ze is dol op haar werk. Ze leidt een zeer hectisch leven en daarom is voor haar een huwelijk nooit een optie geweest. En dan ontmoet ze John Anderson, een weduwnaar. Het is alsof de bliksem inslaat, zo verliefd wordt ze. Een paar weken later trekt John bij Fiona in. Al snel begint hun relatie scheurtjes te vertonen. Maar in het leven is het nooit te laat om een tweede kans te krijgen…
Vous aimerez aussi
Achetons équitable
Alimentation, bien-être, loisirs, vêtements, accessoires de mode, décoration de la maison, tourisme solidaire… Le commerce équitable investit tous les domaines de la consommation. Mais comment faire le tri entre les démarches reconnues et les simples coups publicitaires ? Quels produits sont proposés ? À quel prix ? Où les acheter ?Pour vous guider dans vos achats, en fonction de vos envies, de vos coups de cœur et de vos convictions, Achetons équitable a sélectionné 100 marques ou importateurs qui ont mis en œuvre une démarche de commerce équitable, tout en alliant esthétique, qualité, modernité et design.Guide pratique, ce livre dresse également un panorama des visages du commerce équitable. À l'heure où la mondialisation et la pollution mettent chaque jour davantage en péril la survie de la planète et de ses habitants, le commerce équitable constitue une véritable solution alternative.Simple, concret, précis, Achetons équitable est un outil indispensable pour faire de chacun un consommateur responsable.
Promets-moi
Six ans. Six ans déjà que Myron Bolitar, ex-champion de basket, ex-agent sportif, ex- détective de choc, n'a pas touché une arme à feu. Six ans qu'il s'est tenu loin des petites frappes et des gangsters de tout poil. Mais cette existence tranquille est sur le point de basculer… Myron Bolitar a fait une promesse. Celle d'être là pour Aimée, la fille d'une amie. N'importe où, n'importe quand. Quelques jours plus tard, la jeune fille disparaît. Myron est la dernière personne à l'avoir vue… Fugue ? Enlèvement ? Myron mène l'enquête, pour prouver son innocence, mais aussi parce qu'il a promis aux parents d'Aimée de retrouver leur fille. Et une promesse est une promesse… Sueurs froides, frissons, un suspense diabolique par le maître de nos nuits blanches.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.