- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Tweede Kans
Danielle Steel
Tweede Kans
En Néerlandais – In Danielle Steels roman Tweede kans begint hoofdredacteur Fiona Monaghan halsoverkop een relatie met weduwnaar John Anderson. Fiona Monaghan is hoofdredacteur van het zeer invloedrijke modetijdschrift Chic in New York. Ze is dol op haar werk. Ze leidt een zeer hectisch leven en daarom is voor haar een huwelijk nooit een optie geweest. En dan ontmoet ze John Anderson, een weduwnaar. Het is alsof de bliksem inslaat, zo verliefd wordt ze. Een paar weken later trekt John bij Fiona in. Al snel begint hun relatie scheurtjes te vertonen. Maar in het leven is het nooit te laat om een tweede kans te krijgen…
Vous aimerez aussi
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.
Boris Vian et moi
Elsa a vingt ans, des parents trotskistes et un grand amour en déclin. Le jour où on la charge de ranger la bibliothèque de Boris Vian, l’auteur fétiche de Louis, elle croit tenir une chance de le reconquérir, quitte à tomber amoureuse du mort, au détriment du vivant.
Ségolène Royal – La dame aux deux visages
Côté pile, un visage d’ange et une image de rénovatrice. Côté face, une travailleuse acharnée aux méthodes de tueuse, une conception conservatrice de la famille, du travail et de l’éducation. Ségolène Royal a bien deux visages. Les auteurs, qui ont recueilli à Paris comme à Poitiers de nombreux témoignages inédits et rencontré ses proches, racontent la femme politique, appréciée pour son énergie et son volontarisme, qui séduit le grand public autant qu’elle agace les éléphants du PS. Mais aussi l’élue de Poitou-Charentes, que nombre d’anciens collaborateurs dépeignent comme autoritaire, cassante et manipulatrice. L’envolée de Ségolène Royal est due à une stratégie médiatique très calculée. Mais aussi à un événement qui a bousculé le jeu à gauche : sa victoire en 2004 aux élections régionales. Aymeric Mantoux et Benoist Simmat analysent le personnage et évaluent les atouts dont elle dispose, dressant un portrait sans concession de la première Française en mesure de devenir présidente de la République.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot “racaille” est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.

