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Bickley, Methold
Twentieth century english
Critical introductions to a range of literary topics and genres. Looking back on 20th century British drama from its’ historical, social and political perspective enables the reader to set each play in a broader context. Contents include a selection of play extracts from well-known authors including Harold Brighouse, John Osborne, Harold Pinter, Tom Stoppard and Timberlake Wertenbaker.
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La vie de Disraeli
Le nom de Benjamin Disraëli est inséparable d’une période faste de l’histoire d’Angleterre qui commence par l’avènement en 1837 d’une reine de dix-huit ans, Victoria, et s’achève en 1901 à la mort de la souveraine. Au cours de ce long règne, Disraëli aura été deux fois premier ministre (en 1868, puis de 1874 à 1880) et aura dirigé l’un des deux grands partis politiques du pays, le parti tory (conservateur), l’autre étant le parti libéral mené par. son rival Gladstone. Si. à partir de 1876 la reine peut ajouter à ses titres celui, féerique, d’impératrice des lndes. c’est à Disraëli qu’elle le doit. Pourtant nul n’avait plus de chemin à parcourir pour venir au pouvoir que Benjamin Disraëli, né en 1804 d’une famille d’origine italienne et juive installée à Londres depuis deux générations. Surmontant tous les handicaps, ce jeune dandy prodigieusement doué, qui se console de ses échecs en écrivant des romans à succès, qui aime la poésie et les histoires chevaleresques, devient un orateur célèbre, un des géants de la politique anglaise, un ami de l’austère reine Victoria.
Tribunal Russel – Tome I – Le jugement de Stockholm
Le Russell Tribunal, également connu sous le nom de Tribunal international des crimes de guerre et Tribunal Russell-Sartre, était un tribunal d’opinion fondé par Bertrand Russell et Jean-Paul Sartre pour dénoncer la politique des États-Unis dans le contexte de la guerre du Viêt Nam. Il a été fondé en novembre 1966 à la suite de la publication du livre de Russell, « War Crimes in Vietnam ».
Les otages
« Trois terroristes ont pris neuf personnes en otage, sept hommes et deux femmes, et les ont parquées dans un bureau. En vérité, ce livre, que j’ai écrit à l’écoute angoissée de notre époque, est une fable, une allégorie ou, si l’on veut, un mystère. D’où viennent ces trois terroristes implacables? Qui sont-ils ? Que veulent-ils? Je ne le sais pas. Mon unique certitude c’est qu’ils sont là, prêts à tuer, et que j’ai écrit ce livre sous leurs regards et la menace de leurs armes. Et, à la fin, qui – dans ce monde et dans l’autre – est terroriste et qui est otage ? Qui terrorise et qui est terrorisé ? Qui nous séquestre dans le royaume de la terreur ? Comment s’en évader – et pour aller où ? Je me le demande dans ce livre clos. Je vous le demande ». Jean Cau.
L’arrangement
Il a fallu que sa voiture se déporte et se jette contre un camion pour qu’Eddy Anderson, meurtri mais indemne, prenne le temps de s’interroger sur sa façon de vivre. Cet accident n’a-t-il pas été, au fond, une tentative de suicide ? Mais quelles raisons aurait-il de se tuer ? Aucune apparemment, puisqu’il est nanti d’une belle situation (dans une agence de publicité), marié à une femme charmante (Florence) et possesseur d’une maison avec piscine et pelouse (dans le quartier chic de Los Angeles). A ce bilan officiel de prospérité s’ajoutent les conquêtes sur lesquelles Florence a le bon goût de fermer les yeux. En somme, un arrangement agréable dont soudain Eddy ne parvient plus à se contenter. Est-ce parce qu’il a dû rompre avec Gwen Hunt qui est si bien son type ou parce que ces masques l’étouffent ? Dans un sursaut d’énergie, il décide de repartir à zéro sans épouse ni fortune ni emploi, mais aussi sans masque et sans contrainte.

