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Philip Neumann
Un jeu dont vous être le héros – La Source de Mort
A partir de 12 ans – Pour vous être laissé entraîner à jouer aux dés dans une taverne mal famée du port de Tuzak, vous avez été jeté en prison ! Et pour retrouver la liberté, une seule solution : pénétrer dans l’inextricable forêt peuplée de redoutables monstres qui couvre une partie de l’île de Maraskan, afin de percer le mystère de La Source de Mort…
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Dès 9 ans – Lief, Barda et Jasmine ont entrepris une quête périlleuse pour réunir les sept pierres précieuses de la Ceinture de Deltora. A présent, cinq gemmes ont été rassemblées. La sixième est dissimulée dans l’antre sous-marin du féroce et hideux Glus. Épuisés, traqués par les serviteurs du Seigneur des Ténèbres, les trois compagnons vont avoir besoin de toutes leurs forces et de tout leur courage pour affronter le Labyrinthe de la Bête… Un royaume à libérer. Deux pierres précieuses à retrouver. Entrez dans la quête ! Emily Rodda est le pseudonyme de Jennifer Rowe. Auteur prolifique, elle a publié de nombreux livres pour les adultes et la jeunesse, en particulier la très célèbre série « Raven Hill Mysteries » qui lui a assuré un lectorat de plus en plus important et a reçu plusieurs fois le prestigieux prix Children’s Book Council of Australia Book of the Year Award.
Le rire du Cyclope
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du Tout-Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à l’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire… La journaliste Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Quant à son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, il est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête… Où l’on retrouve Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, déjà croisés dans Le Père de nos pères et L’Ultime Secret. Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…