Louise Penny
Un long retour
Dans sa retraite de Three Pines, l’ex-inspecteur-chef Armand Gamache croit avoir découvert la paix à laquelle il aspirait en quittant la tête de la section des homicides de la Sûreté du Québec. Toutefois, comment refuser son aide à son amie Clara lorsqu’elle lui demande de retrouver son mari, Peter Morrow ? Le couple avait décidé de se séparer pour un an, mais le temps a passé et Peter n’a pas donné de nouvelles.
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Les dieux ont soif
Histoire de l’ascension infernale d’Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, engagé dans la section de son quartier du Pont-Neuf, Les dieux ont soif décrit les années noires de la Terreur à Paris, entre les ans II et III. Farouchement jacobin, fidèle entre les fidèles de Marat et Robespierre, Évariste Gamelin finira par être nommé juré au tribunal révolutionnaire. La longue et implacable succession des procès quotidiens de plus en plus expéditifs (à partir de la loi de prairial en particulier) entraîne cet idéaliste dans une folie qui le coupera de ses proches et précipitera sa propre chute à la suite de son idole Robespierre, au lendemain du 9 Thermidor.
Le chaos et la nuit
Celestino Marcilla, Madrilène de famille bourgeoise, a milité à gauche pendant les années qui précédèrent la guerre civile, puis combattu avec une bravoure remarquée dans les milices, puis s'est réfugié en France au moment de la défaite de 1939. Alors une fille – son unique enfant – lui est née, Pascualita, et sa femme est morte. Celestino a emmené sa fille avec lui à Paris, qu'il n'a pas quitté depuis. En 1959, elle a vingt ans, et il en a soixante-sept. Celestino, à Paris, vit de ses rentes, qui lui donnent une certaine aisance. Il ne fait rien, que penser ou rêver politique, passant ses journées à lire et à annoter des journaux et des livres, à écrire des articles de politique ou de sociologie qui sont refusés partout, et un ouvrage qui n'avance pas – au côté de Pascualita, qui n'a qu'indifférence et dédain pour les préoccupations ou plutôt l'obsession de son père.
L’anneau d’améthyste
L’Anneau d’améthyste est un roman d’Anatole France publié en 1899. Il fait partie de l’Histoire Contemporaine, tétralogie dont il constitue le troisième volet. Ce roman poursuit l’histoire de M. Bergeret ainsi que la candidature de l’abbé Guitrel à l’évêché de Tourcoing, ces deux thèmes ayant été entamés dès le premier livre de la tétralogie, L’Orme du mail. Les personnages sont pour la plupart présents dès ce premier livre et l’auteur ne redonne pas d’explication par la suite sur leur histoire. Le roman se situe en pleine affaire Dreyfus.
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Jeune golden boy au talent exceptionnel, Ned Allen peut se targuer d'avoir réussi puisqu'il est responsable de la vente d'espaces publicitaires pour CompuWorld, un des magazines d'informatique les plus performants du marché. Avec Lizzie, sa femme, il profite de la vie trépidante de Manhattan, dépense sans compter et voit l'avenir en rose. Jusqu'au jour où CompuWorld est brusquement racheté par un concurrent et Ned licencié. Un coup de gueule… un coup de poing malheureux, et voilà sa réputation en miettes. Toutes les portes se ferment devant lui, le chômage dure, désespérant. Quand Lizzie le quitte, il croit toucher le fond. Au terme d'une inexorable descente aux enfers, Ned est prêt à tout accepter… même la proposition d'un homme d'affaires louche. Erreur. Lorsqu'il prend la mesure du guêpier dans lequel il s'est fourré, il est coincé. Mouillé malgré lui dans un meurtre, il lui faudra plus que du bagout pour sauver sa peau.