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Charlier , Hubinon
Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
LA GUERRE DES PIRATES : Voguer au large des Caraïbes est devenu trop risqué pour Barbe-Rouge. Sur les conseils d’Eric, il change de cap et se retrouve, à bord du Faucon Noir à Pondichéry, capitale des Établissements Français de l’Inde. Le début d’aventures périlleuses qui vont successivement le mener à la recherche de navires disparus, à enlever la fiancée du Grand Moghol et à affronter une flibustière qui à bord du Sans-Pitié, a décidé de mettre un terme à ses exploits…
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Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES SORCIERS DU CIEL – Dans les camps de concentration, les S.S. les appelaient « Sorciers du Ciel », ou « Chiens du Ciel », ou « Clowns du Ciel ». Ils étaient prêtres, religieux, pasteurs. De Mauthausen à Buchenwald, d’Oranienburg à Auschwitz, dans chaque kommando de travail ou d’extermination, ils ont subi le sort commun. Sur les sept mille « Sorciers du Ciel » déportés, cinq mille ont disparu dans les fours crématoires et les charniers. Les survivants, pour la plupart, devront leur salut à une intervention du Vatican qui permettra, dans le dernier trimestre de 1944, le rassemblement des ecclésiastiques à Dachau, Mais si Dieu était « toléré » dans un block de Dachau, il était « interdit » partout ailleurs sur le « territoire pénitentiaire » du Nouvel Empire.
LE TRAIN DE LA MORT – Témoignage d’un lecteur : « » » Difficile pour un tel ouvrage de déterminer les étoiles ; il s’agit ici de témoignages vrais,autobiographiques et biographiques. C’est l’histoire du train de la honte, du train qui a vu toutes les atrocités qui ont découlées de la chaleur, de la soif, de la déshydratation, de la suffocation, de la peur, de la haine,du délire, de la folie passagère, de la violence, du sang, de l’urine, de la merde … de la mort et de la décomposition des corps. Comment des hommes ont-ils pu survivre dans de telles conditions? Une fois enfermé dans les wagons, c’est l’humiliation et la sauvagerie à l’état brut. Pourquoi a-t-il fallu de telles conditions de mort? « » »
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