Rachel Cohn, David Levithan
Une nuit à New York
Il y a trois semaines, deux jours et vingt-trois heures qu’elle m’a dit c’est fini. Et la voilà déjà avec un autre. Ils s’approchent du comptoir. Il faut que j’agisse. Je me tourne vers une fille que je ne connais même pas, et je lâche : Tu veux bien être ma copine pendant les cinq prochaines minutes ? Nick et Norah n’ont rien en commun. Sauf un premier baiser, censé durer cinq minutes. Et qui va se prolonger toute une nuit. Une seule nuit ?
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Après la mort brutale de ses parents, Martin Hopkins part vivre dans la région du Yorkshire, chez la sinistre Mme Crow. Qu’attend donc de lui cette inquiétante personne ? De mystérieuses cérémonies nocturnes se tiennent dans l’enceinte d’une usine nucléaire désaffectée, à proximité du village. Avec, pour seul indice, l’inscription » Les Portes du diable » griffonné à la hâte sur le mur. Martin et son unique ami, le journaliste Richard Cole, vont tenter de déjouer le terrible complot qui menace la paix du monde.
Le médecin malgré lui
Sganarelle, le faiseur de fagots, est dans de beaux draps : voici que par une ruse vengeresse, sa femme le fait passer pour médecin. Le vieux Géronte, qui l'a fait mander pour guérir sa fille, semble perplexe face aux explications de ce docteur peu orthodoxe :
« Géronte – On ne peut pas mieux raisonner, sans doute. Il n'y a qu'une seule chose qui m'a choqué : c'est l'endroit du foie et du cœur. Il me semble que vous les placez autrement qu'ils ne sont; que le cœur est du côté gauche, et le foie du côté droit. Sganarelle – Oui, cela était autrefois ainsi; mais nous avons changé tout cela, et nous faisons maintenant la médecine d'une méthode toute nouvelle. » Les cocasseries perpétuelles de Sganarelle et son charabia scientifique suffisent à tromper la crédulité de la patiente et de son entourage, pour notre plus grand bonheur. Et, pour comble de l'ironie, le faux médecin a affaire à une fausse malade…
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Marivaux renouvelle la comédie d’intrigue, car il ne se contente pas d’opposer aux sentiments des obstacles extérieurs ; il peint ceux qu’ils trouvent dans les cœurs eux-mêmes, la lutte contre soi, le trouble qui en naît et le cheminement vers l’aveu. Aussi le caractère d’Araminte fait-il l’intérêt de la pièce autant que le rôle de Dubois, le meneur de jeu.
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