- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- US national sécurity and foreign direct investment
Edward M. Graham, David M. Marchick
US national sécurity and foreign direct investment
Although a vital part of the US economy, foreign direct investment (FDI) in the United States periodically raises public and congressional alarms—as witnessed during Dubai Ports World’s recent bid to acquire US port operations and Chinese firm CNOOC’s attempt to buy US energy firm Unocal. Drawing fire from Congress are the Exon-Florio provisions of US law, which enable the president to block a foreign acquisition that threatens national security. This important new book finds that many proposed reforms risk harming the US economy without enhancing national security. The authors propose ways to strengthen the current interagency review of deals, including an improved process for reporting to Congress.
Vous aimerez aussi
Fier d’être français
Il faut bien que quelqu’un monte sur le ring et dise: « Je suis fier d’être français. » Qu’il réponde à ceux qui condamnent la France pour ce qu’elle fut, ce qu’elle est, ce qu’elle sera: une criminelle devenue vieillerie décadente. Or nos princes, qui devraient la défendre, au lieu de pratiquer la boxe à la française, s’inspirent des lutteurs de sumo! Comment ne pas chanceler dans ces conditions? Et les procureurs de frapper fort. Ils exigent que la France reconnaisse qu’elle les opprime, qu’elle les torture, qu’elle les massacre. Seule coupable! Pas de héros dans ce pays! Renversons les statues, déchirons les légendes. Célébrons Trafalgar et Waterloo, et renions Austerlitz! Ils veulent que la France s’agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance, reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure, se laisse couvrir d’insultes, de crachats, heureuse qu’on ne la « nique » qu’en chanson et qu’on ne la brûle que symboliquement chaque nuit! Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix, de monter sur le ring… et de boxer à la française!
Mignonne, allons voir …
» Qui est Ségolène Royal ? Elle ressemble parfois à une Fée bleue effleurant de sa baguette magique les mannequins de bois d’un pays exténué. Parle-t-elle un langage secrètement religieux à une France orpheline de ses croyances ? Est-elle un virus qui s’attaque simultanément à trois familles désorientées – les marxistes, les libertaires, les socialistes ? Manifeste-t-elle, après François Mitterrand, l’inconscient de droite de la gauche ? Peut-être un jour se retournera-t-on sur le moment Ségolène, en se demandant comment pareil engouement a frappé les esprits à la manière d’une insolation. Mais tout symptôme énonce une vérité. Allons voir de plus près ce que cette rose nous dit. »
Savoir manger – Le guide des aliments 2006-2007
De la peau de poulet dans les nuggets que nos enfants adorent ; des boissons à l’eau minérale composées en partie… d’eau du robinet ; des édulcorants de synthèse contestés utilisés dans la fabrication de certains sodas lights ; des tranches de jambon 30 % moins chères mais avec… 30 % de viande en moins ! Voilà quelques effrayants constats du guide des aliments 2006-2007, édition remise à jour et considérablement augmentée du Savoir manger, best-seller qualifié par la presse de «Bible des aliments». Cette fois, les auteurs ont étudié en plus des produits des hypers et des supermarchés, ceux des magasins de hard discount, ainsi que les premiers prix des grandes chaînes de distribution. Pour que chacun puisse apprendre à naviguer dans la jungle alimentaire. Et pour que tout le monde prenne conscience, grâce à ce voyage au coeur des rayons, des pièges que l’on nous tend.
Arménie 1915 – Un génocide exemplaire
Quand ce livre parut pour la première fois en 1975, c'était aussi la première fois que le génocide subi par le peuple arménien en 1915 était relaté en français. Ce fait historique a pourtant encore bien du mal à trouver sa place dans l'histoire du XXe siècle, même si depuis quelques années un mouvement puissant l'a fait reconnaître de tous… à l'exception des auteurs du crime ! La République turque continue toujours en effet de nier la responsabilité de ses prédécesseurs jeunes turcs, au point d'avoir maintenu comme délit dans son code pénal – même révisé récemment pour faciliter son adhésion à l'Union européenne – le seul fait de nommer le génocide arménien. Aussi n'est-il pas indifférent que l'Année de l'Arménie en France ait accordé son label à la réédition d'un ouvrage précurseur sur ce génocide que la loi française a reconnu comme tel en 2001. C'était aussi l'occasion de revenir, par une réflexion historique et politique inédite, sur tous les développements de la question arménienne en France depuis les années soixante jusqu'à aujourd'hui.