- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Venus as a boy
Luke Sutherland
Venus as a boy
Drinking late one night in an East End club, a writer is approached by Pascal, the friend of a man named Desiree who claims he knows the writer from growing up in Orkney – and that he’s dying and wants him to write his story. The writer ignores him. But a month later, a package arrives containing, among discs, sunglasses and other trinkets, a photograph of the writer aged eight. So he listens to the discs and emerges amazed and shaken. He then transcribes this heartbreaking story which traces Desiree’s life as a bullied youth in South Ronaldsay to the streets of Soho where he reduces his grateful clients to tears with his astonishing gift of sex…
Vous aimerez aussi
La Coke saoudienne – Au cœur d’une affaire d’État
Deux tonnes de cocaïne colombienne qui débarquent en 1999 dans un Boeing 727 sur l’aéroport du Bourget par l’intermédiaire d’un haut dignitaire saoudien que le gouvernement français, si l’on se permet un méchant jeu de mot, blanchira, on a du mal à y croire… C’est pourtant la thèse avancée ici, preuves à l’appui, par Fabrice Monti, 31 ans, un ancien du ministère de l’Intérieur devenu journaliste d’investigation. Si les révélations que fait ce livre s’avèrent exactes, nous avons affaire à un document explosif qui pose deux questions extrêmement embarrassantes : l’argent de cette drogue aurait-il servi au financement de réseaux islamistes ? et surtout, comment l’État négocie-t-il des scandales de ce genre, à quels fins et en contrepartie de quoi ?
Les mystères d’Osiris – Le grand secret
La Nubie est pacifiée et l’ « arbre de vie » a retrouvé sa vivacité. Iker, nommé Prince et gardien du Sceau Royal, est parti pour Abydos où il a été élevé au rang de prêtre du Dieu de la Renaissance. Isis est à ses côtés. Ensemble ils honorent la divinité bienfaitrice. Osiris semble à nouveau veiller sur le destin de l’Egypte. Mais la paix sera de courte durée. L’Annonciateur, caché au sein du Temple d’Abydos, porte un coup fatal. Sobek le Protecteur est gravement blessé et, surtout, Iker est assassiné. Dans le même temps, l’apôtre de Seth saccage la momie d’Osiris. Impossible alors de ramener à la vie le descendant de pharaon. Une ultime solution s’offre à Isis et Sésostris ouvrir le Livre de Thot et partir à la recherche des reliques d’Osiris.
La mort de Don Juan
« J’ai voulu m’identifier à Byron parce qu’il était l’auteur d’un Don Juan qui me hantait. Il a quitté cette terre écorché, vilipendé, rejeté par les êtres qu’il avait cru aimer, abandonné des femmes qu’il avait trop souvent trompées. Il est mort épuisé, sans même avoir passé le cap de la quarantaine. Moi, j’ai quinze ans de plus. Quinze ans de trop, quinze ans à me perdre, à consommer à l’excès, les femmes, les rôles, les émotions, à pousser les feux de ma vanité. » Personne n’a oublié les bouleversantes Lettres à l’absente et Elle n’était pas d’ici. Patrick Poivre d’Arvor retrouve avec ce roman hanté par l’ombre de Byron sa veine la plus intime. Portrait d’un séducteur condamné à aimer les femmes à perpétuité, La mort de Don Juan est une oeuvre singulière et passionnée, à la fois personnelle et fictive.
Rien de grave
« Tu t’attendais à quoi ? Je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J’ai lancé le cadre par terre, le verre s’est brisé mais comme c’était pas assez, j’ai bondi du lit et j’ai déchiré la photo, celle qu’il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu’on ne connaissait pas à notre mariage qu’on est partis avant la fin. Il a eu l’air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu’il n’aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c’est le contraire, rien ne me fait plus peur qu’une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver, qu’il me quitte. Comment j’aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n’existais pas. »