- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Venus as a boy
Luke Sutherland
Venus as a boy
Drinking late one night in an East End club, a writer is approached by Pascal, the friend of a man named Desiree who claims he knows the writer from growing up in Orkney – and that he’s dying and wants him to write his story. The writer ignores him. But a month later, a package arrives containing, among discs, sunglasses and other trinkets, a photograph of the writer aged eight. So he listens to the discs and emerges amazed and shaken. He then transcribes this heartbreaking story which traces Desiree’s life as a bullied youth in South Ronaldsay to the streets of Soho where he reduces his grateful clients to tears with his astonishing gift of sex…
Vous aimerez aussi
La dernière tribu
Pourquoi le corps d'un homme, assassiné il y a deux mille ans au Tibet, se retrouve-t-il aujourd'hui dans un temple shintoïste de Kyoto ? Pourquoi tient-il dans sa main le fragment d'un manuscrit de Qumran ? Qui avait intérêt à ce qu'on le découvre là ? Chargé par les services spéciaux israéliens d'élucider le mystère, Ary Cohen se retrouve lancé dans la mission la plus périlleuse qui lui ait jamais été confiée. Thriller autant qu'aventure spirituelle, « La dernière tribu » explore les arcanes du judaïsme et du bouddhisme tibétain et japonais. Érudition, intelligence, invention: avec le talent d'une grande romancière et le sens de l'intrigue d'un maître du suspense, l'auteur de « Qumran » et du « Trésor du Temple » joue avec les textes sacrés, les religions, l'Histoire et le temps. ..
KGB Connexion
KGB connexion nous fait pénétrer au cœur de la Russie interdite des vingt dernières années. Explosif, ce document montre que les » accidents » qui changèrent le cours de l'histoire russo-soviétique ne doivent rien au hasard. Au contraire, programmés et exécutés avec brio par le KGB, ces événements ont servi les intérêts des services secrets et du Parti, tout en manipulant l'Occident. Preuves à l'appui, cet ouvrage riche en révélations dévoile aussi l'implantation des ex-Soviétiques, notamment russes, en Europe et en France : infiltration économique, scientifique, sportive, associative, culturelle, médiatique. Avec Vladimir Poutine, désinformation, propagande et intox sont plus actives que jamais. Au faîte de la puissance économique, ces » tsars du blanchiment » veulent désormais le pouvoir politique.
La dame à la cassette
Depuis qu’elle a été sacrée par les juges et les journalistes trésorière occulte du RPR, l’Élysée tremble. Et si elle venait à parler, à révéler tous les secrets noirs et or dont elle a été dépositaire pendant une douzaine d’années ?… Jusqu’ici, bravement, Louise-Yvonne Casetta, surnommée « la Cassette », est restée obstinément muette. Son silence lui a coûté cher. Mais elle n’est pas la seule à avoir payé pour les ténors de la politique. Les chefs d’entreprise aussi sont sur le banc des accusés, héros mortifiés de cette saga des boucs émissaires.Au-delà de cette enquête dans les ténèbres de la démocratie se pose la question : les partis, aujourd’hui richement dotés par les contribuables, ont-ils renoncé à leurs douteuses pratiques? N’est-ce pas toujours comme avant ? Mieux qu’avant ?
Rien de grave
« Tu t’attendais à quoi ? Je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J’ai lancé le cadre par terre, le verre s’est brisé mais comme c’était pas assez, j’ai bondi du lit et j’ai déchiré la photo, celle qu’il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu’on ne connaissait pas à notre mariage qu’on est partis avant la fin. Il a eu l’air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu’il n’aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c’est le contraire, rien ne me fait plus peur qu’une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver, qu’il me quitte. Comment j’aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n’existais pas. »