- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Vivre, vraiment
Maud Fontenoy
Vivre, vraiment
Nous avons en nous les solutions à tous nos problèmes. J’ai appris au fil des années que si, bien souvent, le bonheur dépend de causes extérieures, la paix intérieure est quant à elle un état qui s’acquiert avec l’expérience et la patience. Croyez-moi, même dans la plus grande des souffrances, on peut parvenir à trouver un certain apaisement.
J’ai fait le choix d’être artisan de ma vie et de ne jamais baisser les bras. Mon existence n’a pas été préservée de la souffrance, de la maladie ou des déceptions. Mes blessures m’ont endurcie, sans aucun doute, mais elles m’ont surtout permis d’être plus attentive aux micro-bonheurs de l’existence qui passent si souvent inaperçus. Et si le bonheur était en réalité dans les détails ?
Maud Fontenoy
Vous aimerez aussi
Jus de grenade fermenté
La nutrithérapie complète son arsenal, au-delà des aliments-santé et des compléments alimentaires, avec l’émergence d’ « aliments-plus » naturellement très concentrés en principes actifs particulièrement intéressants pour la santé, que ce soit pour l’optimisation de la forme quotidienne, la prévention ou l’accompagnement des traitements de certaines maladies. Ce livre fait le point sur le dossier scientifique de la grenade, de son jus et de sa forme totum fermenté, l’Elixir de de Grenade
Libres ensemble
Plus que jamais s’affirme la nécessité d’une des fonctions centrales de la vie commune : apprendre le respect mutuel. Car il ne s’agit pas seulement de vivre ensemble, mais d’être libres ensemble. En effet, l’individualisme peut mener à l’atomisation de la société – chacun se repliant sur soi – si la vie commune, vécue sous le mode de la contrainte, empêche l’épanouissement personnel. Il s’agit donc de résoudre cette tension entre être soi-même et vivre ensemble, entre l’individuel et le collectif. S’appuyant sur huit enquêtes inédites menées auprès de jeunes adultes vivant en couple, de personnes âgées, d’enfants et d’adolescents, Libres ensemble montre comment les personnes en couple, en famille, en collectivité mènent une « double vie » faite de temps personnel et de temps partagé. Chacun se retrouve ainsi à la fois « seul » et « avec ».
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.

