Alain Coutte
Washington – Les prédateurs
Alain Coutte fut à 18 ans l’un des plus jeunes pilotes professionnels au monde et compte à son actif plus de 3 000 heures de vol. Ayant passé plus de 17 ans de sa vie dans des groupes français de négoce et de commerce international de premier plan où il exerça des fonctions de dirigeant, il parle couramment plusieurs langues étrangères. Épris de justice, il se définit comme un homme libre de tout intérêt, de toute idée préconçue, de toute idéologie et de toute appartenance politique ou religieuse.
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C'est l'histoire de Thala, village kabyle, pendant la guerre avec d'un coté la présence de l'armée française et le long cortège des sévices que l'on connaît, de l'autre un village avec des habitants engagés dans la vie dure des champs et qui peu à peu se trouvent entrainés dans la lutte pour la libération du pays.
L’ère des camps
Le système concentrationnaire s'enracine à la structure du XXe siècle. Dénoncé par ses victimes quand elles lui échappent, il l'est aussi par ceux qui brandissent cette dénonciation somme une arme politique contre des régimes réprouvés – mais pas comme le mal absolu. Implacablement le camp s'inscrit dans une sorte de logique de la démence humaine. A chaque découverte, les camps nazis, les camps d'Algérie, les camps soviétiques, de Grèce, du Sud Vietnam… la bonne conscience des « autres » s'exclame : « Comment est-ce possible ? ». Sub specie aeternitatis, c'est au nazisme qu'appartient le triste privilège d'avoir créé le système concentrationnaire et le système d'extermination les plus monstrueusement déments. Mais, en regard de cette terrifiante spécificité » hors concours » du camp nazi, ne peut-on redouter que la conscience universelle ne s'émousse ?
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Les taxis de la marne
La première vertu de ce livre brûlant, c’est l’éloquence. Elle s’exhale d’un cœur en deuil, elle jaillit d’une âme indignée. Je dis bien d’une âme. L’homme de Dutourd a une âme. Il paraît que l’homme aurait une âme. Pas une conscience intellectuelle. Une âme. Qu’il y en aurait de grandes et de petites. On voit que Dutourd ne recule devant nulle nouveauté. N’en doutons plus : Les taxis de la Marne datent un tournant de la sensibilité française.