- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- When the lion feeds
Wilbur Smith
When the lion feeds
En Anglais – ‘Something always dies when the lion feeds and yet there is meat for those that follow him.’ The lion is Sean, hero of this tremendous drama of the men who took possession of South Africa in the last quarter of the nineteenth century. Sean and his twin-brother Garrick grew up on their father’s farm in Natal. The first part of the book deals with his childhood and youth and his longing to become a successful farmer and hard-hitting fighter like his father. The tough life of cattle-farming is brusquely interrupted by the Zulu Wars, when Sean and his brother see fighting for the first time. Wilbur Smith vividly recreates the excitement of the war for the young men-their hope of winning their own cattle, the horror of the massacre at Isandhlwana, the heroism of the defence at Rorkes Drift. ‘Witwatersrand’ is the name of the second part of this book ……
Vous aimerez aussi
Elise ou la vraie vie
L’histoire se passe en France pendant la décennie de la guerre d’Algérie : Élise, jeune Bordelaise rêvant de « vraie vie », monte à Paris, trouve un travail dans une usine et y rencontre Arezki, un Algérien, dont elle s’éprend. Publié à une époque où monte la contestation, le roman a été remarqué par la justesse de sa description socioculturelle, notamment du monde ouvrier et des relations entre Français de métropole et d’Algérie. Situé pendant la guerre d’Algérie, il évoque leurs relations en France pendant une guerre non admise comme telle (les journaux, la radio, la télévision parlaient des « événements » d’Algérie), les tensions, la peur du FLN, les rafles. En combinant vie quotidienne et histoire d’amour, Claire Etcherelli révèle le climat de xénophobie dans la France de cette époque, visible dans tous les milieux. Le récit est en partie autobiographique, son auteur ayant été ouvrière.
Merlusse
Quelques malheureux élèves, qui n’ont personne chez qui passer les fêtes, restent, la veille de Noël, dans le grand lycée où ils sont pensionnaires. Et il leur arrive le pire qu’ils puissent imaginer : ils seront surveillés par Merlusse, le méchant répétiteur borgne à la grosse barbe noire. Mais la nuit de Noël n’est-elle pas celle de tous les miracles ? Avec Merlusse, moyen métrage de 1935, Pagnol choisit de s’adapter lui-même :il reprend l’infâme Truc, un récit publié en 1922 dans la revue Fortunio, et en tire le plus beau conte de Noël de l’histoire du cinéma. Le dialogue du film est une de ses grandes réussites, et ses adolescents parlent avec un naturel admirable. Quant au personnage de Merlusse, il offre à Henri Poupon, qu’on a souvent vu en père outragé, son rôle le plis nuancé. Un chef d’œuvre trop souvent sous-estimé.
Le templier de Jérusalem
Il y avait un siècle que, au cri de « Dieu le veult ! », ils étaient partis, hommes et femmes de toute condition, avec une ferveur inouïe, vers cette terre dont ils ne savaient rien, pour libérer le tombeau du Christ. Et ils avaient réussi. Autour de Jérusalem reconquise, ils avaient fondé un royaume, à l'image de ce qu'ils connaissaient, avec un roi et des barons, des prêtres et des évêques, et des fiefs, des châteaux, des églises – et toutes leurs querelles. Et ils avaient créé des Ordres, dont celui des Templiers.
Il y avait un siècle, et le royaume latin de Jérusalem, miné par ses divisions, menacé par Saladin, appelait à l'aide les princes et les seigneurs d'Occident. Seule, une nouvelle croisade pouvait sauver la Terre sainte. C'était le temps où Notre-Dame commençait à s'élever au cœur de Paris, le temps aussi où Henri Plantagenêt et Philippe Auguste, tout occupés à se faire la guerre, détournaient leurs regards du Saint-Sépulcre. C'est dans ce temps-là qu'un jeune seigneur du Rouergue, Guilhern d'Encausse, était fait chevalier et héritait du serment de son père: se croiser. Il quittait sa femme, ses enfants et ses pauvres terres d'entre Larzac et Cévennes, prenait le chemin de l'Orient.
Le lendemain, elle était souriante …
Simone Signoret ne sait pas écrire. Du moins le croit-elle. Elle raconte sa douloureuse expérience de l’écriture, celle de La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, dans un récit introspectif, sensible, tour à tour amer et exalté de sa vie de femme, d’actrice. Le personnage public s’efface, et derrière les anecdotes de tournage, les souvenirs de guerre, s’entend la voix unique d’une comédienne devenue écrivain. Simone Signoret, de son vrai nom Kaminker, est née en 1921. Figure mythique du cinéma, elle a notamment joué dans Casque d’or et Les Diaboliques. « Oscarisée », « Césarisée », « Awardisée », elle fut la vedette française la plus récompensée du XXe siècle. « C’était une reine. Elle a sorti la France de ses gonds, elle l’a faite internationale. » Marguerite Duras