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Rosie Thomas
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One Love. One Chance. Once Sacrifice. For Sam McGrath a brief encounter with a young woman, on a turbulent flight, changes his life. On impulse, crazily attracted to her, her vows to follow her – all the way to Nepal. Finch Buchanan is flying out as doctor to an expedition. But when she reaches the Himalayas she will be reunited with a man she has never been able to forget. Al Hood has made a promise to his daughter. Once he has conquered this last peak, he will leave the mountains behind forever.
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La collection Brading
La délicieuse Miss Silver est comme d’habitude occuper à tricoter quand Lewis Brading vient lui rendre visite. L’homme est propriétaire d’une célèbre collection de bijoux, gardée dans une annexe qui semble inviolable. Mais Brading a tout de même peur, entre autres de son employé, un ancien faussaire. Maud Silver commence par lui refuser son aide… Mais elle est très vite rongée de remords quand la presse annonce le meurtre de Brading. Cette fois, la célèbre détective privée ne pourra résister à l’envie de faire la lumière sur cet assassinat. Inédit en France, ce roman permet au lecteur de plonger dans le curieux monde des collectionneurs.
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« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
Photo d’adieu
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Le miraculé
Portrait intimiste de Jacques Chirac écrit par deux journalistes de l’hebdomadaire Marianne qui ont enquêté durant trois ans et qui ont recueilli de nombreux témoignages. Tente de percer les mystères entourant la personnalité du président et de l’homme politique, souvent raillé, mais qui en définitive a reconquis une partie de l’opinion publique.