- Home
- >
- Gastronomie
- >
- Work et Vapeur
Jean-François Moruzzi
Work et Vapeur
Envie de faire voyager vos papilles ? Plus de 100 recettes et variantes pour savourer toutes les saveurs de la cuisine chinoise : Salade de vermicelles pimentée, Dés de dinde sauce ananas, Boulettes aux nouilles chinoises, Dés de boeuf aux vermicelles chinois..
Vous aimerez aussi
Bérénice
Bérénice, au centre de l’œuvre de son auteur, en 1670, est une pièce singulière dans la production de Racine : c’est une tragédie où il n’y a pas de sang. Elle paraît peut-être d’autant plus douloureuse. Se séparer est pire ici que mourir. C’est le sort des trois personnages de la pièce : Bérénice, reine qui aime l’empereur Titus et qui devait l’épouser, Antiochus, qui voue un amour sans espoir à Bérénice. Il s’agit seulement de prononcer un mot, si dur, si tendre : adieu.
Le bourgeois gentilhomme
Monsieur Jourdain est un bourgeois fortuné mais sot. Son plus cher désir est de devenir gentilhomme. Pour cela, il cherche par tous les moyens à acquérir les bonnes manières de la haute société, et courtise une marquise. il veut également que sa fille épouse un noble, alors que celle-ci aime un homme honorable qui n'est pas gentilhomme. Le père tyrannique arrivera-t-il à se faire obéir ? Le bourgeois parviendra-t-il à tout acheter, même le cœur d'une femme ? La ruse des valets aura-t-elle raison de l'entêtement du maître de maison ?
Les portes du diable
Après la mort brutale de ses parents, Martin Hopkins part vivre dans la région du Yorkshire, chez la sinistre Mme Crow. Qu’attend donc de lui cette inquiétante personne ? De mystérieuses cérémonies nocturnes se tiennent dans l’enceinte d’une usine nucléaire désaffectée, à proximité du village. Avec, pour seul indice, l’inscription » Les Portes du diable » griffonné à la hâte sur le mur. Martin et son unique ami, le journaliste Richard Cole, vont tenter de déjouer le terrible complot qui menace la paix du monde.
Le mariage de Figaro
Chef-d’œuvre du théâtre français et universel, la pièce est en effet considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et plus particulièrement de l’aristocratie, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française, donc comme une œuvre politique et satire de la société inégalitaire et de la justice vénale d’Ancien Régime. Louis XVI la qualifia « d’exécrable, qui se joue de tout ce qui est respectable » et dont « la représentation ne pourrait qu’être une inconséquence fâcheuse, sauf si la Bastille était détruite ». On attribue au grand révolutionnaire Danton le verdict « Figaro a tué la noblesse ! », et à Napoléon la sentence : « C’est déjà la Révolution en action ! ».