1815. Louis XVIII rétabli sur le trône se heurte à une opposition dont l’Empereur, relégué à l’île d’Elbe, songe déjà à profiter. Dans Marseille livrée à la discorde civile, le moment est propice aux règlements de comptes politiques ou privés. C’est ainsi que le marin Edmond Dantès, à la veille de son mariage, se retrouve, sans savoir pourquoi, arrêté et conduit au château d’If… Paru en 1844-1846, Le Comte de Monte-Cristo connut un succès qui ne s’est pas démenti, ce qui en fait une des oeuvres les plus populaires de la littérature mondiale. L’abbé Faria, l’évasion inouïe, le trésor grâce auquel les bons seront récompensés et les traîtres punis le fabuleux destin d’Edmond Dantès possède la simplicité et la force des grands mythes. Conteur éblouissant, aussi à l’aise dans l’action que dans le dialogue, Dumas nous entraîne sans nous laisser reprendre souffle du cabinet de Louis XVIII à la Méditerranée des contrebandiers, des îles toscanes aux catacombes de Rome, puis aux salons parisiens où le mystérieux comte de Monte-Cristo se dispose à accomplir sa vengeance…
« Combien d’Edmond Dantès ont subi, subiront ou subissent une répression injuste et arbitraire en raison d’une dénonciation anonyme et mensongère ? »
Vanessa Codaccioni
Avec ce second volume, Edmond Dantès poursuit et accomplit son entreprise vengeresse. Une tonalité, plus sombre et tourmentée, affleure et tous les moyens pour se faire justice sont mis à exécution. Alexandre Dumas ausculte ainsi la justice privée, ses motivations, ses effets autant que ses zones d’ombre.
Prenant l’auteur au mot, la politiste Vanessa Codaccioni examine toute la gamme de l’auto-justice qui s’y dépeint, de la légitime défense à la mise en œuvre contemporaine d’une société de vigilance. Le Comte de Monte-Cristo apparaît dès lors comme un observatoire implacable des usages politiques de la peur.
La Petite Boulangerie du bout du monde
Quand son mariage et sa petite entreprise font naufrage, Polly quitte Plymouth et trouve refuge dans un petit port tranquille d’une île des Cornouailles.
Quoi de mieux qu’un village de quelques âmes battu par les vents pour réfléchir et repartir à zéro ?
Seule dans une boutique laissée à l’abandon, Polly se consacre à son plaisir favori : préparer du pain. Petit à petit, de rencontres farfelues – avec un bébé macareux blessé, un apiculteur dilettante, des marins gourmands – en petits bonheurs partagés, ce qui n’était qu’un break semble annoncer le début d’une nouvelle vie…
La Symphonie du hasard (Tome 1, 2 et 3)
TOME 1 – À New York, dans un bureau, une éditrice lit un manuscrit. Une œuvre qui la trouble et qui va la replonger dans son passé et celui de sa famille. Sur le papier, une famille comme tant d’autres au pays de l’Oncle Sam, un bonheur propret, une vie plutôt confortable. Et pourtant… Aux années soixante insouciantes vont succéder les années soixante-dix tumultueuses. Et faire exploser au passage toutes ces familles qui croyaient encore au rêve américain…
TOME 2 – Pas évident d’échapper à sa famille, a fortiori quand cette dernière est en conflit permanent, avec une fâcheuse tendance à se mettre dans des situations compliquées. Alice Burns, elle, a choisi une solution radicale : mettre un océan entre elle et les siens et poursuivre ses études en Irlande.
D’abord déstabilisée par l’accueil quelque peu revêche des Dublinois, elle se surprend à apprécier une existence simple, plus sereine. Et sa rencontre avec Ciaran pourrait même lui laisser entrevoir la possibilité d’une autre vie. Mais alors que résonnent les premiers échos des exactions de l’IRA, voici que resurgit une vieille connaissance, et avec elle un passé qu’Alice aurait préféré oublier à jamais…
Fresque à l’ampleur inédite, La Symphonie du hasard couvre vingt ans d’histoire américaine. Dans le bouillonnement social, culturel et politique des sixties -seventies, de New York à Dublin en passant par l’Amérique latine, un romanfleuve porté par un souffle puissant.
TOME 3 – Après la découverte d’Alice et de sa famille dans le Livre 1 et l’escapade irlandaise du Livre 2, Douglas Kennedy nous ramène aux États-Unis dans le Livre 3, entre New York et Boston, sur les traces d’une Alice dévastée, en quête désespérée d’une forme de sérénité.
Sous le choc du drame advenu à Dublin, Alice est rentrée aux États-Unis. En rupture avec sa mère, elle quitte la maison familiale et trouve refuge dans le minuscule appartement de son ami Duncan à New York. L’heure est à la résignation : elle accepte un poste d’enseignante dans une petite université progressiste du Vermont et multiplie les allers-retours à New York. Retrouver le goût des autres, simplement de la vie, c’est tout ce qu’elle cherche.
Mais comment trouver la paix dans une période où tout n’est que changement ? Il lui faudra un dernier choc, esthétique, naturel, fondamental, pour réaliser que la vie est une succession d’incertitudes, une symphonie du hasard qui vaut le risque d’y prendre part.
Cambodge année zéro
Où en est aujourd’hui, le Cambodge, après le 17 avril 1975, date de la victoire des révolutionnaires khmers ? Témoin oculaire de la prise de Phnom Penh, François Ponchaud nous en fait revivre les péripéties : entrée des révolutionnaires, exode forcé de toute la population. Il retrace la prise du pouvoir dans les provinces, la désertion des villes et des bourgades par un peuple livré de force au travail de production agricole. Par une analyse du discours officiel tenu par la radio, l’auteur décrypte les objectifs de la révolution, l’organisation de la nouvelle société, la formation idéologique du peuple, la création d’une nouvelle culture. Par sa radicalité même, cette révolution comporte des traits spécifiques que l’auteur situe dans le contexte historico-social qui l’a vue naître, ainsi que dans l’histoire personnelle de ses leaders actuels. Révolution fascinante et terrifiante… L’expérience cambodgienne est un défi qui interpelle tout homme.
Analyser et contrôler ses sentiments et ses émotions, et ceux des autres.Le QI d’une personne n’est pas suffisant pour définir son intelligence car il néglige une part essentielle du comportement humain : les réactions émotionnelles.Cette autre forme d’intelligence est la capacité à percevoir, maîtriser et exprimer ses sentiments et ses émotions ainsi que ceux d’autrui. Elle influe sur notre self-control, notre motivation, notre intégrité, mais aussi sur nos relations avec les autres : elle permet de mieux communiquer et analyser notre entourage social ou professionnel.Pour Daniel Goleman, l’intelligence émotionnelle est le meilleur prédicteur de succès et de réussite. En apprenant à accepter nos ressentis, nous développons nos compétences et nos aptitudes.
Auteur : Alain Jemain, actuellement journaliste à L’Usine nouvelle, a été grand reporter au nouvel Économiste, à Entreprise, et a fait ses premières armes à Combat. Livre : Mai 2002 : la société Air Liquide fête son 100e anniversaire. Elle incarne aujourd’hui l’une des grandes réussites de l’industrie française. Dans un livre très enlevé, l’auteur raconte cette passionnante épopée. Mais l’histoire de cette entreprise si prestigieuse ne se réduit pas à une simple collection de faits et de circonstances : elle tient aussi compte des liens privilégiés qu’entretient Air Liquide avec l’histoire économique, sociale, politique et scientifique du pays.
Ecoutez nos défaites
Il a mené des opérations pour les renseignements français de Bamako à Genève, de Beyrouth à Tanger. Il a vu des régimes tomber, des peuples se relever, des hommes mourir. Aujourd’hui, Assem Graïeb est fatigué. La mission qu’il accepte est peut-être la dernière : retrouver un ancien membre des commandos d’élite américains soupçonné de divers trafics. À Zurich, Assem croise Mariam, une archéologue irakienne qui tente de sauver des œuvres d’art dans la zone dévastée du Moyen-Orient. En une nuit , tous les deux partagent bien plus que quelques heures d’amour.
En contrepoint de cette rencontre, le récit fait retentir le chant de trois héros glorieux : le général Grant écrasant les confédérés, Hannibal marchant sur Rome, Hailé Sélassié se dressant contre l’envahisseur fasciste. Mais quand une bataille se gagne au prix de vies fauchées, de corps suppliciés, de terres éventrées, comment prétendre qu’il s’agit d’une victoire ?
Évocation tremblée d’un monde contemporain insondable, Écoutez nos défaites compose une épopée mélancolique et inquiète qui constate la folie des homme et célèbre l’émotion, l’art, la beauté – seuls remèdes à la tentation de la capitulation face au temps qui passe.
Le don d’Anna
Adam va mourir. Avec lui Anna perd son grand amour. Eux qui avaient mis tant d’années à se l’avouer
…Alors elle se souvient, elle repense à sa vie passée, et aux événements qui l’ont menée là : son enfance dans un Salvador en proie à la guerre civile, le massacre de sa mère et des habitants de son village par la junte, l’orphelinat, l’exil vers les États-Unis, le couvent…
Puis cette décision de soeur Josepha de la placer comme nourrice pour s’occuper des deux enfants d’Adam et Lillian Trevis, riche famille californienne. Comment imaginer qu’elle en deviendrait le véritable ange gardien ?
Lorsque Lilian quitte le domicile conjugal, Adam avoue à Anna les sentiments qu’il lui porte. Mais leur amour est mis à mal par les réactions de la famille. Anna se fixe un dernier but : réconcilier le père et le fils.
La femme de papier
Quatrième de couverture : Renvoyée à sa plume après une fulgurante et torride liaison, une femme écrit à son amant. « Le cœur tendre, le ventre désœuvré », elle effeuille l’album de leurs souvenirs, de leurs folies. Avec les vrais mots de l’impudeur, elle invite le lecteur éberlué à la suivre dans un voyage mouvementé au bout de la sensualité… De son compagnon, nous ne connaîtrons que deux couleurs : le jaune de ses yeux et le vert de son pull… Mais nous découvrirons vite ses caprices et ses fantasmes auxquels elle se soumet, tout en laissant parler son propre corps. Jamais une femme n’est allée aussi loin dans l’évocation de sa vie érotique. Cela donne un roman libertin, une histoire de corps qui viendra mourir dans les profondeurs du cœur !
La symphonie des monstres
« Veronika est de ces femmes qui résistent même dans les pires moments. On ne choisit pas d’être infirmière si on accepte la défaite… Sa solitude, elle l’a apprivoisée. Dompter la peur, c’est autre chose. »
En rentrant chez elle un soir, Veronika découvre la disparition de son fils âgé de neuf ans. Désemparées, elle et sa fille Lilya cherchent à comprendre où Valentyn a été emmené. Elles vont remuer ciel et terre pour retrouver la trace du petit garçon – l’une animée par sa témérité d’adolescente, l’autre par sa détermination de mère. Mais l’ennemi est partout, et Lilya et Veronika ne pourront se fier à personne… ou presque.
Ensemble, elles vont tenter de déjouer « la Symphonie des monstres », un projet bien plus terrifiant qu’une fiction.
Au cours d’une aventure peuplée de personnages inoubliables, une mère et sa fille vont réapprendre à se connaître et à s’aimer.
Porté par une écriture puissante, Marc Levy nous livre un roman magistral : une grande aventure humaine au cœur de l’Histoire tumultueuse qui s’écrit aujourd’hui sous nos yeux.
Vous verrez…Vous m’aimerez
Vous verrez, vous l’aimerez. Comment une petite fille, bien acceptée chez elle mais rejetée à l’école, passant de la chaleur d’une famille unie à la tristesse des pensions » pleines de l’odeur grise des endroits sans mères « , serre les dents face aux enfants qui la tourmentent, criant en elle à leur intention : » Vous verrez ! Vous m’aimerez ! » Comment elle décide d’être un jour connue, c’est-à-dire » reconnue « , parce qu’elle se sent différente des autres et souffre de solitude. Et comment, devenue femme, son vœu – enfin – se trouve réalisé : elle sera écrivain. La petite fille s’appelait Janine Boissard. Cette histoire » vraie « , qui est celle de l’auteur de L’Esprit de famille, se lit comme un » suspense « . On y pleure, on y rit. Elle passionnera adultes et adolescents ; elle touchera tous ceux qui ont besoin d’espoir pour vivre. Ceux pour lesquels les blessures de l’enfance deviennent sources de lumière.
Perles et bijoux de fantaisie
De magnifiques photographies sur toutes les variétés de perles du monde entier. Des explications simples sur les techniques de base de la joaillerie. Des suggestions romantique, classiques ou d’avant-garde pour créer des bijoux d’été, des colliers exotiques, des pendants d’oreilles, des broches, des parures du soir et de fête.
Zen : Les essentiels du bien-être
Métro en grève, factures qui s’entassent, enfants rebelles, entretien d’embauche ou déménagement en perspective, sentiment de frustrations accumulées, d’énergie dispersée… Face à la quantité d’activités et d’informations qui emplit notre vie, à tous les petits tracas qui gâchent notre quotidien, il est difficile de ne pas céder au stress et à l’angoisse… La philosophie zen peut nous permettre de trouver l’unité intérieure et la sérénité. Les auteurs de ce livre s’en inspirent et proposent solutions, exercices et réflexions pour nous aider à retrouver le chemin qui mène à nous-mêmes.
Anciens combattants
Pour un coup d’essai, c’est un coup de maitre pour le président du Centre photographique de Ouagadougou (CPO), Warren Saré, qui à travers son œuvre « Anciens combattants », entend réhabiliter les anciens combattants et à pérenniser leur mémoire pour les générations actuelles et futures. Animé par un devoir de mémoire insatiable, seul et avec peu de moyens, Warren sillonne l’Afrique de l’Ouest et la France depuis plusieurs décennies à la recherche d’anciens tirailleurs sénégalais, burkinabè, maliens, togolais… Ce travail remet donc en la lumière les anciens combattants des ex-colonies françaises, figures oubliées et pourtant emblématiques de l’histoire et revient sur le destin partagé de l’Afrique et de l’Europe. Un qui redonnera certainement à tous, la juste représentation du rôle que les Africains ont joué pendant les deux guerres mondiales, Indochine et la guerre d’Algérie. Pour Warren, il est important de rendre les invisibles visibles en utilisant la photographie contre l’oubli de l’Histoire.
Trois contes
« Je me souviens d’avoir eu des battements de cœur, d’avoir ressenti un plaisir violent en contemplant un mur de l’Acropole, un mur tout nu (celui qui est à gauche quand on monte aux Propylées). Eh bien ! je me demande si un livre, indépendamment de ce qu’il dit, ne peut pas produire le même effet. Dans la précision des assemblages, la rareté des éléments, le poli de la surface, l’harmonie de l’ensemble, n’y a-t-il pas une vertu intrinsèque, une espèce de force divine, quelque chose d’éternel comme une principe ? »
Ce principe, évoqué par Flaubert à l’adresse de son amie George Sand, c’est celui des Trois contes qu’il publie en 1877, trois ans avant sa mort, et qui sont comme le testament littéraire où s’affirme son ultime conception de l’écriture. Récits éblouissants, limpides, et cependant énigmatiques. Un cœur simple, La Légende de saint Julien l’Hospitalier et Hérodias nous conduisent de l’Occident moderne à l’Orient des débuts de notre ère : entre mots et images, ils nous parlent du quotidien et du sacré, et de notre inexorable besoin d’éternité.
Amour et gloire
Elles sont quatre,venues des quatre coins de l’Amérique.Elles ont choisi de s’engager pour des raisons parfois inavouables,mais qu’importe! Une même volonté les anime : ne pas flancher! Car ce 19 juillet 1942,en arrivant à Fort Des Moines,Jill,Page,Bunny et Elisabeth savent qu’elles entrent dans l’Histoire.Elles appartiennent au premier contingent féminin recruté par l’armée!
Drôles,sentimentales,généreuses,ces jeunes femmes que tout sépare dans le civil se lient d’une amitié indéfectible,sur fond d’épreuves,d’amours et d’aventures,de l’Italie au Pacifique. Avant de partir rejoindre leurs unités,elles se sont juré de se retrouver autour d’une bouteille de champagne,à la fin de la guerre.Qui sera au rendez-vous?
Un autre nom pour l’amour
Honora est une infirmière-née: le courage et la patience, un oubli total d’elle-même et de sa beauté un peu austère. Est-ce pour cela qu’on lui a confié, en cet automne 1945, une tâche entre toutes difficile dans une île du Pacifique? Là, au pavillon X, sont regroupés des soldats que la guerre a si violemment traumatisés qu’ils ne peuvent encore être rendus à la vie quotidienne. Pour ces hommes hantés d’images atroces ou d’intolérables remords, Honora est tout: une mère, une sueur, la femme avec qui peut-être ils pourraient recommencer de croire à la vie… jusqu’à l’arrivée de Mike Wilson. Sa seule présence fait du pavillon X un enfer, sa seule présence pose à Honora la bouleversante question: l’amour, pour elle, est-ce un homme… ou tous ceux qui souffrent?
Naissance de l’art en Afrique noire
122 pages – Cet ouvrage présente pour la première fois soixante-cinq sculptures en terre cuite des cultures Nok, Sokoto et Katsina du Nigeria. Ces objets, datés de 600 avant J.-C., à 300 après J.-C., sont les plus anciens témoignages des remarquables traditions de sculpture en Afrique subsaharienne.
Lot de 5 catalogues des Biennales de l’Art Africain Contemporain
Dak’Art est la toute première biennale d’art contemporain du continent africain. Elle est consacrée aux artistes africains et issus de la diaspora. Elle reste aujourd’hui la principale manifestation africaine dédiée à la création contemporaine. Initiée par le ministère de la culture et de la communication du Sénégal, la première manifestation organisée en 1990 était consacrée à la littérature. Dès 1992, la deuxième édition et les suivantes sont dédiées aux arts visuels.
Chaque catalogue inventorie tous les artistes présents (présentations et illustrations en couleur)
DAKAR 1992 : 65 pages, rare. 7.000 F CFA
DAK’ART 2004 (6ème édition) : 179 pages, en anglais et en français. 7.000 F CFA
DAK’ART 2010 (9ème édition) : 190 pages, en anglais et en français. 7.000 F CFA
DAK’ART 2012 (10ème édition) : 192 pages, en anglais et en français. 7.000 F CFA
DAK’ART 2014 (11ème édition) : Très grand format. 375 pages, en anglais et en français. 20.000 F CFA
Trésors de l’Art Africain
Intéressante monographie présentée dans un format des plus attractifs, elle s’agrémente de nombreuses tout autant que superbes planches photographiques. »L’auteur mêle ici l’histoire à l’anecdote pour décrire masques, sculptures, ornements et bijoux, recueillis, pour la plupart, depuis une centaine d’années. Le texte permet d’appréhender les caractéristiques propres aux diverses civilisations, telles qu’elles se manifestent dans ces réalisations artistiques. » Table : Bakouba – Bénin – Batetela – Bas-Niger – Bakongo – Akan – Ifé – Baga – Bambara – Baga-nimba – Boura – Oba – Yorouba – Balouba – Zoulou – Bayaka – Makinde – Bobo – Bachokwe – Bwiiti – Basongye – Tiv – etc.
La couverture est dans un état très moyen mais l’intérieur est en très bon état. Peu courant.
Fastueuse Afrique
Ce livre très grand format est dans un état moyen au niveau de la couverture. Les pages 302 intérieures sont intactes.
Les bijoux africains sont aussi riches et variés que le continent qui les a vu naître. Les apprécier, ce n’est pas seulement en admirer la beauté et la facture, c’est aussi connaître l’histoire de ceux qui les portent : parures, décorations corporelles, et bijoux forment en effet un langage qui exprime leurs croyances, leurs acquis et leurs aspirations, et qui est le reflet de la qualité de leur vie. Les peuples de l’Afrique sont aussi différents les uns des autres que les milieux naturels dans lesquels ils évoluent : forêt équatoriale, savane, désert ou prairies. Pourtant l’on voit partout, même parmi ceux qui perpétuent une incertaine existence nomade, des hommes et des femmes au corps parfois peint et marqué de cicatrices, à la chevelure relevée et ramassée sur la tête ou nattée dans un style recherché, et portant des objets à la fois de grande valeur et de grande beauté. Bien que l’impact visuel de leurs parures puisse rarement être mis en question, ce serait une erreur d’y voir de simples ornements. Car le bijou africain peut être une relique des temps anciens révélant une identité tribale, une richesse ou un statut social ; il peut également symboliser un pouvoir spirituel et jouer un rôle intrinsèque au cours de rites et les cérémonies ; enfin, il peut agir comme un talisman contre le mal ou la maladie, ou encore être utilisé comme un moyen de se gagner la faveur des dieux. Ce n’est qu’en observant ces parures dans le contexte leur usage quotidien que l’on comprend leur véritable valeur : les artisans africains créent pièces d’une égale beauté qu’elles soient en or, argent, en bronze, en pierres précieuses ou réalisées à partir d’éléments naturels (cornes de gazelle, coquilles d’oeuf d’autruche, os d’antilope). Toutefois, l’influence omniprésente du monde occidental met en péril la diversité et le caractère traditionnel des bijoux africains et de nombreuses pièces reproduites dans cet ouvrage ne se trouvent plus actuellement que dans des musées et les collections privées. Nous découvrons ici les peuples de toute l’Afrique et le rôle vital que jouent les bijoux dans leur vie quotidienne. Ce livre est un document unique et fascinant sur un continent en pleine mutation.
Dédié à l’art, les femmes et l’Afrique – Français/Anglais
La première partie de ce nouvel opus, IAM Sénégal est une plongée audacieuse et passionnante au cœur du Sénégal d’hier et d’aujourd’hui dans les domaines de l’art de la mode, et du design. Parmi notre sélection, retrouvez les parcours et les créations d’Aïssa Dione, N’Goné Fall, Kër Thiossane, Khadidiatou Sow, Ken Aïcha Sy, Ousmane Sow, Omou Sy, Soly Cissé, Fabrice Monteiro, Mata Nataal, Selly Raby Kane, Adama Paris, etc… Les images d’Ina Thiam, Elise Fitte Duval ou encore Malyka Diagana illustrent le travail de jeunes photographes engagées. Enfin et en exclusivité pour IAM, Antoine Tempé et MIS Wude conçoivent une série photo inédite.
La seconde partie, IAM in the world, se penche sur les nouvelles vibrations de la mode africaine, sur le talent de jeunes designers ou encore sur ces projets innovants qui mettent la création d’Afrique au centre du débat. Parmi eux : Sindiso Khumalo, Sara Ouhaddou, Renee Rossouw, Audrey Forson, O’Milua, Rose Palhares, Gozel Green, Cécile Fakhoury et d’autres encore… IAM prend le pouls de l’Afrique contemporaine à travers une sélection d’événements et de manifestations, des biennales de Dakar et Marrakech en passant pas l’Armory Show de New-York, etc… Nous suivons l’échange inédit, autour de leur approche artistique des deux artistes sud-africains Mary Sibande et Wim Botha, porté par Eva Barois De Caevel.
IAM – Intense Art Magazine is the first artistic platform that celebrates women in the fields of visual arts, fashion, design and architecture in Africa, as well as the first artistic space focusing on women as an artistic subject. IAM – Intense Art Magazine is built on interactions; on people from different cultural, social and educational backgrounds coming together in one place to create intellectual bridges and further connections; and on a richness of exchanges and collaborations that stimulate opportunities for personal reflection, critical thinking and development. We pride ourselves on being a source of transmission among, and across, generations and continents in our goal to discover and explore the profusion of African contemporary creativity and to make the extraordinary achievements of women and artists visible and accessible at all time.
Dédié à l’art, les femmes et l’Afrique – Français/Anglais
Magasine grand-format de 176 pages
IAM – Intense Art Magazine, dédié à la scène artistique contemporaine au féminin d’Afrique et de sa diaspora. Elles sont artistes, stylistes, designers, pionnières ou figures de la nouvelle scène, IAM s’illumine de cette énergie créative “made in Africa”.
La voix de l’art du Nigeria ne porte pas, elle retentit. Du plus profond de l’âme de ses artistes et des professionnels qui les entourent, elle est une parole emplie de sens, d’engagement, de sincérité et de force.
Au sommaire : Les pionnières, les piliers, les médiatrices, la nouvelle scène, regards croisés, les lieux d’art, la mode et le design made in Nigeria et IAM dans le monde.
Tous les artistes contemporains sont là …
La Femme solaire est un ouvrage fondamental qui montre comment la femme, l’homme et le couple ont eu la possibilité d’évoluer au cours des âges et comment ils évoluent au cours d’une vie. La connaissance de cette véritable carte des comportements permet de ne pas rejouer les modèles du passé dans la souffrance et de trouver les clés d’un itinéraire. De la représentation de la Déesse-Mère à la femme battante des années 90, en passant par la femme soumise au pouvoir patriarcal, Paule Salomon nous entraîne dans une fascinante relecture de l’histoire, de la religion et des mythes. Pouvons-nous enfin entrevoir la fin de la guerre des sexes ? Pouvons-nous accélérer le changement en cours et commencer une nouvelle ère des rapports humains ? C’est le message optimiste et serein que nous livre Paule Salomon qui anime des séminaires de réflexion et de pratique sur cet éveil de la conscience.
La prochaine victime
Un médecin assassiné, puis une opération chirurgicale fatale à la suite d’un électrocardiogramme falsifié : autant de faits dramatiques qui prouvent au Dr Kate Chesney, anesthésiste expérimentée poursuivie en justice, qu’elle se trouve au centre d’une manipulation meurtrière. Certes, tout en apparence l’accable, mais cette erreur médicale grossière dont on l’accuse, Kate est certaine de ne pas l’avoir commise. De toute évidence, quelqu’un cherche à lui nuire. Mais qui ? Et dans quel but ? Deux questions auxquelles elle doit trouver une réponse avant que sa carrière ne soit irrémédiablement ruinée. Deux questions qui vont la conduire au cœur d’une série de crimes inexpliqués, l’obligeant à se méfier de tout et de tout le monde pour ne pas devenir la prochaine victime. Car, elle le sait, c’est son nom qui figure maintenant sur la liste du tueur.
La main droite d’Amon
En 1483 avant J.-C., sous la XVIIIe dynastie, Maakarê Hatchepsout règne sur l’Égypte. Le lieutenant Bak, chef de la police media, homme droit et intègre, veille à faire respecter la loi et l’ordre dans tout le pays et sur les frontières du désert. Aussi, lorsque les Medjai retrouvent, flottant sur l’onde calme,du Nil, le cadavre du lieutenant Pouemrê, un burin planté dans la gorge, Bak prend l’affaire en main. Qui a osé assassiner l’un des personnages les plus importants d’Égypte ? Un tesson de poterie représentant le souverain kouchite Amon-Psaro en train de se faire poignarder plonge le policier dans la perplexité…
Retour en Irlande
Petite ville d’Irlande proche de Dublin, Mountfern est en ébullition. Fernscourt, autrefois la demeure d’une famille protestante haïe des gens du pays et aujourd’hui en ruine, vient d ‘être rachetée par un étranger, un riche Américain ayant l’intention de la transformer en hôtel. Patrick O’Neill, un homme d’affaire, vient en Irlande pour y retrouver ses racines. Ce » retour » est pour lui une victoire, une revanche, presque une vengeance. En effet, son grand-père a autrefois été chassé de Mountfern par les propriétaires de Fernscourt. Aujourd’hui, Fernscourt est à lui, et c’est là qu’il veut s’installer pour toujours avec ses deux beaux enfants, Grace et Kerry. Mais ce retour que Patrick a souhaité toute sa vie n’est-il pas un rêve, une chimère ? Pendant quatre années, émaillées de joies et de peines, de drames parfois, Patrick va se battre contre le destin pour réaliser son rêve d’enfant. C’est la vie quotidienne dans une petite ville d’Irlande au début des années 60 qui est peinte ici avec finesse, humour et vérité, par l’un des tout premiers écrivains irlandais contemporains. » Un régal pour cette fin d’été… ou toute autre saison « , selon le » New York Times. »
La princesse de la nuit
« Il y avait du sang sur la lune… » Le fils de l’Empereur d’Occident, Tamino, s’est juré de délivrer la princesse Pamina, fille de la Reine de la Nuit et prisonnière du magicien Sarastro. Très vite, l’amour entre eux est réciproque, mais bien des épreuves attendent les deux jeunes gens avant que ne leur soit révélé le chemin de la Sagesse et la la Lumière…
Quinze ans
Le « petit garçon » a grandi. Lycéen à Paris, il a quinze ans. C’est l’âge de la solitude, des rêves, de l’attente. Un inconnu, Alexandre, entre alors dans sa vie. Le charme slave, la grâce, l’élégance font de lui un être à part. Le narrateur réussit à devenir son ami intime et gagne le droit d’aller prendre le thé avec lui au sortir du lycée, chez la vieille et curieuse « Madame Ku ». Alexandre a une sueur. Et peut-être le merveilleux jeune homme n’est-il qu’une pâle copie de cette Anna, beauté fantasque et secrète, dont l’innocent narrateur va tomber totalement amoureux… Cette histoire tendre et cruelle se passe au début des années cinquante. Elle est à la fois le roman d’un premier amour, et la chronique exacte d’une époque où les jeunes n’avaient pas de droits, pas de moyens, où la guerre froide allait aboutir à la guerre de Corée – quand le verbe aimer avait tout son sens, quand l’air de cithare du Troisième homme résonnait dans un univers sans télé, sans pilule, sans vitesse… On se prend à envier ces adolescents dont les tumultes sentimentaux se déroulent entre le square Lamartine et la place du Trocadéro, qu’ils traversent parfois pour aller au Palais de Chaillot, écouter, sans comprendre la chance qui leur est donnée, le grand, l’unique Wilhelm Kempff. Humour, nostalgie, émotion et violence des premières expériences, on retrouve, dans ces dialogues, scènes et portraits, le ton de sincérité de l’auteur de L’étudiant étranger.
Iba Ndiaye, L’œuvre de modernité
Au terme de cinquante années de pure peinture et de dessin obstiné, Iba Ndiaye, Maître ubiquitaire du trait et de la couleur au Sénégal, s’est éteint à Paris, à l’âge de 80 ans, au moment même où s’achève à Dakar sa grande rétrospective : « L’uvre de Modernité« . Il a commencé sa carrière dans les années cinquante, après avoir étudié à l’École d’Architecture de Montpellier puis à l’École Nationale des Beaux-Arts à Paris et travaillé à l’atelier du grand sculpteur russe Ossip Zadkine qui guidera son regard vers la statuaire africaine.
… Ndiaye naît en 1928, l’année où le Bal Nègre de la rue Blomet défraie la chronique, alors que Paul Morand publie son « Paris – Tombouctou » et où Senghor entre en khâgne au lycée Louis-le-Grand. Au sortir de cette’vogue nègre’ de l’entre-deux-guerres et sa kyrielle de clichés : tribal, primitif, exotique, naïf ou instinctif
-, ainsi que d’autres artistes comme Aimé Césaire ou Wifredo Lam, Iba Ndiaye va, lui, s’emparer du dessin comme outil d’investigation des univers esthétiques qu’il s’approprie pour bâtir un vocabulaire visuel mondialisé par les aléas de l’Histoire coloniale, un langage métis, subtil et ombrageux, dressé contre une notion abâtardie d’un art dit’primitif’. …
Marie Casse-croûte
A huit ans, Chinh était vendue à un riche Chinois, amateur de petites filles. Un début dans la vie presque banal dans l’Indochine des années 30. A vingt-cinq ans, Chinh, plus connue sous son nom de guerre, Marie Casse-Croûte, est devenue riche. Sa plus grande fierté, c’est le « Goujon qui Têt », son bistrot-bordel des environs de Saigon où sont admis les seuls hommes qui comptent pour elle : les militaires français. Pour eux, Marie Casse-Croûte sera putain et agent double. Elle n’hésitera pas à plonger dans le cauchemar de Diên-Biên-Phu avec ses filles, pour être à leurs côtés. Autour de cette femme inoubliable se rencontrent, se côtoient et se mêlent des révolutionnaires, des militaires, des agents, des politiques… Les acteurs de la dramatique aventure de la guerre d’Indochine, que l’auteur a vécue. Marie Casse-Croûte. Un roman flamboyant, passionnant, plein de force, de lucidité et d’humanité.
Hannah – L’impératrice
L’Impératrice, c’est cette petite juive polonaise dont Paul-Loup Sulitzer a raconté, dans Hannah, le début d’une aventure qui a déjà fasciné des millions de lecteurs. L’Impératrice, c’est l’histoire d’une fortune, celle de la femme la plus extraordinaire de son temps, et celle d’un amour désespéré. Le destin d’Hannah, l’Impératrice, est une irrésistible ascension qui traverse tout le XXe siècle. C’est un voyage époustouflant, qui nous emmène du bourbier de la Guerre de 14 au Wall Street des années 20, du Hollywood naissant à l’Union Soviétique de Staline. Hannah va réussir à construire un empire qui couvre la terre entière. Passionnée, elle entraîne avec elle des personnages inoubliables : le Cocher Mendel Visoker, ce géant sorti de la steppe qui la protège et l’aime en silence ; la fidèle confidente Lizzie, dont l’amitié ne lui fera jamais défaut ; le mystérieux Maryan Kaden, l’un des premiers à lancer la grande épopée du cinéma américain. Mais l’histoire d’Hannah, c’est surtout celle de son amour déchiré, bouleversant, avec celui qu’elle aime depuis l’enfance – le beau Taddeuz, poète génial, qu’elle tente désespérément d’arracher à la volonté d’autodestruction qui le ronge.
300 devinettes sur l’Europe
La mozzarella est-elle : une danse portugaise, une soupe espagnole, un fromage italien ? (Un fromage italien) Sur un rocher de Copenhague, on peut voir la sculpture d’un personnage d’Andersen. Lequel ? (La petite sirène) 300 devinettes sur l’Europe, un livre jeu instructif et amusant.
BILINGUE (ANGLAIS/FRANCAIS) – 158 pages – Illustrations en couleur. 44 artistes répertoriés.
Mourtala Diop est à la fois un collectionneur et un marchand … mais il est surtout un voyageur qui traverse les océans et les mers avec ses bagages qui sont les réalisations artistiques de peuples éloignés. Il sert à la fois d’ambassadeur culturel et de lien entre les groupes et leurs réalisations…. (Arman)
Histoires et messages de l’au-dela
Trente années durant, Conan Doyle a tenté de capter lavoix des morts. Il y parvint enfin : ce fut cette Nouvelle Révélation dont, les quinze dernières années de son existence terrestre, il se fit le missionnaire. Toute une part de son oeuvre témoigne de cette expérience bouleversante, une part plus secrète, peut-être, mais fascinante.
Rêve caché
Ils ont grandi ensemble sur la même île. Ils pensent se connaître parfaitement. Pourtant, ils ont tout à découvrir. C’est l’hiver sur Chatham Island. Au propre et au figuré. Entre les filles de la bande, l’atmosphère est quasiment glaciale. Un peu comme si elles n’avaient plus rien à se dire, plus rien en commun… Des intérêts différents, peut-être ? La vérité, c’est que Zoé, Nina, Aisha et Claire ont chacune un secret et, pour la première fois depuis qu’elles se connaissent, elles ne le partagent pas. Or s’il est une chose que l’amitié supporte mal, ce sont les cachotteries…
Malveillance
Lorsque, seule au monde, Grace, une jeune fille d’une vingtaine d’années, arrive à Chicago, personne ne connaît les terribles épreuves qu’elle a traversées. Grace ne recherche que le calme et l’oubli. Ayant trouvé un emploi de secrétaire, elle consacre tout son temps libre à une association caritative. Sa beauté attire bien des regards mais elle y est totalement insensible, jusqu’au jour où un jeune photographe réussit à la séduire. Hélas, Marcus n’est pas celui qu’elle croit. Profondément blessée, Grace quitte Chicago pour New York, où elle trouve du travail dans un cabinet d’avocats, tout en poursuivant son bénévolat dans une association venant en aide aux femmes et enfants maltraités. Elle mène une vie sans histoires, jusqu’à cette nuit fatidique où elle est sauvagement agressée. Ce nouveau drame aura pourtant une conséquence heureuse : elle va découvrir l’amour. Le bonheur la libère enfin des fantômes de son lourd et douloureux passé. Apaisée et transfigurée, Grace se partage sans compter entre son époux, leurs enfants et l’association qu’elle a fondée. Lorsque son mari se lance dans la politique, Grace le soutient à fond et il est facilement élu député. Mais, en politique, tous les coups sont permis, surtout les plus bas, surtout les plus laids. Le passé de Grace va brutalement resurgir et tout balayer sur son passage. Elle et sa famille vont être emportées dans une épouvantable tempête, faite de mensonges, de médisances et de scandales. Leur couple résistera-t-il à tant d’attaques ? Supportera-t-elle d’être à nouveau la cible des médias et des journaux à sensation ? Comment réagiront leurs enfants face à tant de malveillance ? Le passé ne meurt jamais et celui de Grace, particulièrement pénible, sera-t-il, encore une fois, le plus fort ?
Tableaux d’Arabie
Les sites grandioses, les espaces boisés et la délicate fraîcheur des sommets font du Asir une région enchanteresse. «C’est peut-être là que se trouvait le jardin d’Eden», écrivait l’agent politique Philby, chargé par le fondateur du Royaume d’Arabie Saoudite, Abdul Aziz, de dresser dans les années trente la carte des confins méridionaux du Asir. Le relief de cette région conditionne différents styles de vie : le long de la mer Rouge s’étire la plaine côtière de la Tihama, chaude et humide. Elle accueille des populations vivant de l’agriculture et de la pêche, dont les huttes de paille au toit conique serré dans un joli réseau de cordages rappellent les influences de la proche Afrique. Des tribus occupent les hautes terres de la Sarat, aménagées en terrasses. C’est dans cette région accidentée que s’inscrit un patrimoine architectural unique : au Nord se dressent des maisons en pierre sèche, dont les murs sont décorés d’éclats de quartz artistiquement agencés. Plus au sud, la terre à bâtir vient se superposer à la pierre. Dans cette zone de fortes précipitations, des larmoirs protègent les murs de terre contre l’érosion pluviale. Au-delà, la terre reprend ses droits. Aux grisailles de l’Arabie pétrée, certaines maisons opposent leurs façades multicolores. Ces fresques extérieures exécutées par les femmes ne sont qu’une première parure, c’est à l’intérieur qu’on découvre un authentique art populaire.
Déco Nature
De superbes photographies illustrent plus de 20 projets originaux, conçus par des créateurs contemporains et qui s’adapteront à tous vos besoins. Du tissu au verre, du vieux bois au carton, sans oublier le plastique et le métal, cet ouvrage ouvre une voie inhabituelle à la décoration. Satisfaire sa conscience écologique et ses besoins pratiques tout en laissant libre cours à son inventivité, c’est ce que Déco Nature propose à tout passionné de travail manuel.
La dame du roi : Bertrade de Montfort
Henri Kubnick débute dans la chanson en 1941 en écrivant les paroles de Si tu revois Paris chantées par Alibert sur une musique de Vincent Scotto. En 1944 débute une fructueuse collaboration de plusieurs années avec Henri Bourtayre (Feu follet, Une fleur sur l’oreille, Chanson grise, chanson rose). Un des plus gros succès d’Henri Kubnick est Le Porte-bonheur (musique de Louis Gasté), interprété par Jacques Hélian. Citons aussi, interprétées par Jacques Hélian et Ginette Garcin, Le p’tit cousin (1946) et Les jeunes filles de bonne famille (1947), toutes deux en collaboration avec Guy Lafarge. En ce qui concerne la radio, Henri Kubnick a débuté au Poste Parisien avec l’émission Les incollables, mais est surtout connu pour avoir créé en 1958 Le jeu des 1 000 francs qu’il a lui-même animé pendant deux ans avant Maurice Gardett, Albert Raisner, Roger Lanzac, Pierre Le Rouzic, Lucien Jeunesse, Louis Bozon, Nicolas Stoufflet et qui bat des records de longévité sur France Inter avec 60 années d’existence. À sa création, le jeu s’appelle 100 000 francs par jour, la devise en cours est l’ancien franc.
Beaumarchais ou les fredaines de Figaro
Bernard Faÿ, né le 3 avril 1893 à Paris et mort le 31 décembre 1978 à Tours, est un historien et essayiste français. Professeur au Collège de France, il se rallie dès 1940 au maréchal Pétain et est administrateur général de la Bibliothèque nationale sous le régime de Vichy. Condamné en 1945 à l’emprisonnement à perpétuité et à l’indignité nationale pour collaboration avec l’occupant allemand, il est gracié en 1959 par le président René Coty.
In Memoriam
« Maintenant qu’elle était morte, il me fallait affronter la vacuité de mon esprit : j’avais vécu l’inoubliable et je passerais le restant de mes jours à ressasser ce deuil. Si Thomas n’avait pas dispersé les cendres de Sola dans la mer, j’aurais été assez fou pour les conserver, disputant à mon frère la propriété des reliques. J’avais des rêveries morbides, j’enviais ceux qui invoquaient les mânes des trépassés pour avoir avec eux un colloque qui ouvrait les portes de l’invisible. Mais pour ma sauvegarde, je m’ingéniais à découvrir des explications rationnelles. Les peut-être que j’avançais étaient des prémisses qui ne bouleversaient pas la donne. L’équation demeurait identique : j’avais perdu Sola, et moi qui aurais dû être une vigie aux aguets, je n’avais pas prévu la tempête.»
Protée
Protée est une oeuvre de fiction, une fiction qui, demain, pourrait devenir une terrible réalité. Comment devrions-nous réagir face à la violence qui s’est installée dans notre vie quotidienne ? Telle est la question que pose Morris West dans ce nouveau roman. Nous sommes menacés par les révolutionnaires, les tyrannies, parfois même par des hommes de bonne volonté qui n’hésitent pas à employer les moyens forts pour maintenir l’ordre dans les rues. Comme le dit l’un des personnages de Protée : « Même l’amour est une arme entre leurs mains ». Aucun de nous n’échappe à cette menace. John Spada, le héros de Morris West, grand homme d’affaires internationales, nourrit l’amour des opprimés veut les aider, les sauver. Il se heurtera dans une lutte mortelle à toutes les puissances en place : dictateurs, services secrets, maffia. L’histoire, qui commence en Italie, se poursuit à travers l’Allemagne, la Hollande, les États-Unis et l’Argentine et s’achève devant l’assemblée générale des Nations-Unies.
Un assassin modèle
Quatre femmes sont retrouvées égorgées selon le même rituel. Un seul point commun relie les victimes entre elles : toutes étaient d’anciens modèles du célèbre peintre Stephen Palton. Les indices retrouvés sur les lieux du crime sont autant de preuves accablantes de la culpabilité de l’artiste. A l’évidence, les quatre femmes ont été les cibles de la folie subite du peintre… Une affaire simple en apparence, mais une piste un peu trop flagrante pour le très distingué lord Kilvanock, brillant criminologue écossais, passé maître dans l’art de démasquer les criminels les plus pervers…
Dictionnaire universel
Le DICTIONNAIRE UNIVERSEL FRANCOPHONE intègre les principaux enrichissements de la langue française dus à sa longue utilisation dans le monde entier. Il comprend: Les noms communs 45 000 mots de la langue comprenant 116 000 définitions, dont 10 000 proviennent de l’univers francophone. Les noms propres : 13 000 noms propres, dont 3000 ajoutés pour décrire complètement l’univers francophone. Un atlas en couleurs. 49 monographies consacrées aux États et aux gouvernements de la Francophonie (cartes et photographies en couleurs). Une grammaire comprenant la conjugaison des verbes.
La méthode Montignac – Spécial femme
Avec sa méthode, Michel Montignac s’est imposé comme le fondateur d’une nouvelle approche des régimes : pour perdre du poids, il suffit de changer ses habitudes alimentaires. Il s’adresse ici tout particulièrement aux femmes. Chez elles, la nutrition doit être adaptée aux grandes étapes de leur vie adolescence, maternité, ménopause, troisième âge. Grâce à ces conseils et à de nouveaux choix alimentaires, les femmes peuvent, elles aussi, retrouver facilement le poids idéal en suivant la méthode Montignac.
Français – Allemand
Un ouvrage incontournable : efficace, pratique et convivial. 110 000 mots, expressions et traductions ; le vocabulaire indispensable et le plus actuel (biométrique, liseuse, tablette numérique, ampoule basse consommation, etc.) et les faux amis ; la prononciation de tous les mots ; de nombreux exemples pour trouver plus facilement le sens recherché ; les faux amis des notes culturelles sur la culture et la vie de tous les jours en Allemagne et en France ; une grammaire de l’allemand ; un guide de conversation et 1 000 phrases audio à télécharger pour améliorer sa prononciation ; des tableaux d’unités et de mesures.