Le cercle sacré est le récit passionnant de la vie d’Archie Fire Lame Deer, fils de Tahca Ushte, l’auteur du célèbre De mémoire indienne. Après une enfance sioux passée sur la réserve de Rosebud, dans le Dakota du Sud, Archie fut tour à tour militaire en Corée, figurant et cascadeur à Hollywood, cow-boy et chasseur de serpents à sonnette. Mais cette existence, parfois difficile, qui l’amena à réexaminer les valeurs et la philosophie de son peuple, s’est transformée en une quête initiatique dominée par l’extraordinaire figure de son père. Engagé sur la voie de la tradition et de la spiritualité, Archie est devenu homme-médecine. Ce livre dévoile le sens des cérémonies sacrées du peuple sioux et décrit avec précision la cosmologie des Lakotas. Il nous fait également partager les interrogations et la spiritualité de cet homme d’exception, imprégné de sa religion et de sa tradition, mais dont la réflexion s’ouvre à l’humanité tout entière. Le cercle sacré prend alors les dimensions de notre planète.
Révolution culturelle Africaine
Corrado Pirzio-Biroli est italien, diplomate de l’UE et fils de Fey von Hassell – fille du politicien allemand et combattant de la Résistance, Ulrich von Hassell -, et arrière-petits-fils d’Alfred von Tirpitz. En raison de l’implication de son grand-père dans le coup d’État contre le régime nazi et Adolf Hitler, le 29 juillet 1944, lui et son frère ont été séparés de force de sa mère et ont été de 1944 à 1945 des prisonniers spéciaux des SS.
Wolverine – La mort aux trousses
En résumé : Wolverine, 100% Marvel T1 – La mort aux trousses Wolverine est doté de sens particulièrement aiguisés ainsi que d’un facteur autoguérisseur qui cicatrise toutes ses blessures, mais ses griffes rétractibles constituent son arme la plus redoutable. Le Mot de l’éditeur : Wolverine, 100% Marvel T1 – La mort aux trousses. Enseveli sous une tonne de gravats, Mc Leish aurait pu y rester.Il a l’intention de se venger. Sa victime sera Wolverine. L’X Man semble être une proie facile pour ce tueur fou et déterminé.
Vendredi ou la vie sauvage
Robinson, parti faire fortune en Amérique du Sud échoue, au gré d’un naufrage, sur une île déserte, que nulle carte ne signale. Il s’aperçoit alors très vite qu’il ne doit s’en remettre qu’à lui-même et à son ingéniosité pour survivre, dans une nature pas toujours très accueillante. Comment parviendra-t-il à supporter sa solitude ? Arrivera-t-il à imposer ses règles d’homme civilisé à cette nature sauvage et à la domestiquer ou bien est-ce elle, finalement, qui aura le dernier mot ?
Les yeux bandés
« Pour moi, Klaus demeurait un jeune homme, en dépit du fait que les gens qui me connaissaient sous ce nom ne me prenaient jamais pour un garçon. Le fossé entre ce que j’étais bien obligée d’admettre devant les autres – à savoir : que j’étais une femme – et mes rêves intérieurs ne me dérangeait pas. En devenant Klaus la nuit, j’avais effectivement brouillé mon genre. Le costume, mon crâne tondu et mon visage nu modifiaient la perception que les gens avaient de moi, et à travers leurs yeux je changeais de personnalité. Jusqu’à ma façon de parler changeait quand j’étais Klaus. » Entre ombre et lumière, entre nuit et jour, dans la ville superlative, New York – elle-même personnage à part entière de ces récits -, Iris Vegan, la narratrice, fait l’expérience d’étranges rencontres et de singulières transformations de sa propre identité. Polyptyque à quatre volets, les Yeux bandés a marqué, lors de sa publication en 1993, l’entrée en littérature d’un talent subtil et incontestable, celui de Siri Hustvedt.
Le passage
Histoire d’une passion, de ses douleurs et de ses incertitudes, le récit incisif et subtil de ce moment où surgit l’imprévisible qui bouleverse la vie.
J’étais derrière toi
C’est dans la trentaine que la vie m’a sauté à la figure. J’ai alors cessé de me prendre pour le roi du monde et je suis devenu un adulte comme les autres, qui fait ce qu’il peut avec ce qu’il est. J’ai attendu la trentaine pour ne plus avoir à me demander à quoi cela pouvait bien ressembler, la souffrance et le souci, la trentaine pour me mettre, comme tout le monde, à la recherche du bonheur. Qu’est-ce qui s’est passé? Je n’ai pas connu la guerre, ni la perte d’un proche, ni de maladie grave, rien. Rien qu’une banale histoire de séparation et de rencontre.
Gros-Calin
« Je sais parfaitement que la plupart des jeunes femmes aujourd’hui refuseraient de vivre en appartement avec un python de deux mètres vingt qui n’aime rien tant que de s’enrouler affectueusement autour de vous, des pieds à la tête. Mais il se trouve que Mlle Dreyfus est une Noire de la Guyane française, comme son nom l’indique. J’ai lu tout ce qu’on peut lire sur la Guyane quand on est amoureux et j’ai appris qu’il y a cinquante-deux familles noires qui ont adopté ce nom, à cause de la gloire nationale et dur racisme aux armées en 1905. Comme ça, personne n’ose les toucher. » Lorsqu’on a besoin d’étreinte pour être comblé dans ses lacunes, autour des épaules surtout, et dans le creux des reins, et que vous prenez trop conscience des deux bras qui vous manquent, un python de deux mètres vingt fait merveille. Gros-Câlin est capable de m’étreindre ainsi pendant des heures et des heures. Gros-Câlin paraît au Mercure de France en 1974. Il met en scène un employé de bureau qui, à défaut de trouver l’amour chez ses contemporains, s’éprend d’un python. L’auteur de ce premier roman, fable émouvante sur la solitude de l’homme moderne, est un certain Emile Ajar. La version publiée à l’époque ne correspond pas tout à fait au projet initial de son auteur qui avait en effet accepté d’en modifier la fin. On apprendra plus tard que derrière Emile Ajar se cache le célèbre Romain Gary. Dans son ouvrage posthume, Vie et mort d’Emile Ajar, il explique l’importance que revêt, à ses yeux et au regard de son oeuvre, la fin initiale de Réalisant le souhait de l’auteur, cette nouvelle édition qui paraît aujourd’hui reprend le roman Gros-Câlin dans la version de 1974, et donne en supplément toute la fin » écologique « , retranscrite à partir du manuscrit original.
Le fils de soie
Le fil de soie, c’est le lien ténu mais indestructible qui relie Odile, créatrice célèbre de la haute couture parisienne, à son enfance provinciale, pauvre et sauvage. Le fil de soie, c’est encore ce qui tient ensemble les morceaux épars de la vie d’Odon, taillée en pièces par les aléas de l’Histoire et vouée aux incertitudes. Le fil de soie, c’est surtout l’image de la passion qui va nouer les existences de la star de la mode et de son jeune amant : brillante, légère, impalpable et à l’épreuve du temps. De ces fils, Odile et Odon vont tisser un cocon secret. Un pour deux. Peu à peu, à l’insu du monde, ils vont s’y enfermer et laisser les années accomplir la mue, opérer la métamorphose. Aux identités de hasard que la vie nous donne et parfois nous reprend, ils vont préférer le risque et la folie d’une identité que l’on invente, pour soi et pour l’autre, en effaçant toutes les frontières, en rendant invisibles toutes les coutures.
Extremement fort et incroyablement près
Oskar Schell est inventeur, entomologiste, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Il a neuf ans. Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu’elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York, à la rencontre d’inconnus qui lui révèleront l’histoire de sa famille. Après le choc de « Tout est illuminé », cet étonnant objet littéraire et typographique explore à nouveau, mais sur un autre registre, les chemins d’une mémoire à jamais perdue. Quand tout a été oublié, il ne reste plus qu’à inventer.
« Pyrotechnique, énigmatique et, avant tout, extrêmement émouvant. Un exploit hors du commun. » Salman Rushdie
Autoguide de la route – Permis B
Les compétences à acquérir dans le but de devenir un conducteur responsable ont récemment évolué pour favoriser la prise de conscience et la maîtrise des facteurs de risques sur la route. L’Autoguide Rousseau, ouvrage de préparation au code de la route mais aussi à la conduite, prend largement en compte cette évolution dans la formation. Il vous donne les clés pour mieux comprendre les règles et les procédures de conduite.
Le journal d’Elsa Linux
Elle est gaulée comme une cafetière mais seule comme un panda. Elle attend le prince charmant mais ne croise que des pervers. Elle nous émeut, elle nous excite, elle nous fait rire. C’est Elsa. Elsa Linux. Elsa Linux exerce un métier branché et vit dans un deux pièces ruineux à Paris. En attendant le prince charmant, elle s’abandonne, avec une inaltérable bonne volonté, aux expériences érotiques les plus folles. Entre tous ses amants et amantes – le milliardaire sadomaso, le directeur de création sodomite, la media-planner lesbienne, l’anarchiste trop membré, le maniaque de l’électroménager et la directrice de clientèle partouzeuse -, Elsa Linux trouvera-t-elle son compagnon ou sa compagne de vie ? Ou est-elle condamnée ad vitam aeternam à bouffer des croquettes au caviar avec son basset artésien nommé Pasqua ?
Je veux vivre
Tessa vient d’avoir seize ans et se sait condamnée. Dans quelques semaines, elle mourra d’une leucémie. Partagée entre la révolte et l’angoisse, l’injustice et les aspirations propres à son âge, Tessa décide de tout connaître de la vie avant de mourir, y compris les transgressions, la célébrité… Aidée de sa meilleure amie, de ses parents qui acceptent tout, Tessa se lance alors dans une course contre la montre, contre la mort, pour vivre !
Pleurs et colères expose une façon nouvelle de comprendre la fonction des pleurs au cours du premier âge et de l’enfance. Ce livre révolutionnaire vous aidera à améliorer vos rapports avec les enfants, que vous soyez parent, substitut parental, enseignant ou professionnel de la santé, et à mieux comprendre pourquoi les bébés et les enfants pleurent. Vous y apprendrez comment répondre au mieux à leurs manifestations. Il vous permettra également :
– d’aider les bébés à dormir toute la nuit,
– d’aider les enfants à surmonter le stress et les traumas,
– de développer leur capacité d’attention et leur intelligence,
– d’améliorer leur estime d’eux-mêmes et leur équilibre émotionnel,
– de réduire leurs comportement violents.
Jeune maman et paresseuse
Les petits guides des paresseuses font peau neuve avec un nouveau format !
Apprendre à connaître et comprendre un enfant normal dans l’étendue de sa globalité et de sa complexité : tel est l’enjeu et l’originalité de ce livre. Parce que le pédiatre est quotidiennement confronté aux questions des parents sur le développement de leur enfant, il doit discerner derrière les mots simples les vraies questions inconscientes fondamentales. L’objectif de l’auteur est de montrer combien l’enfant ne peut se développer, « retirer ses enveloppes », qu’avec le concours de son environnement proche. Mais si l’attention est portée au développement et à ce qui est considéré comme « le normal », chaque chapitre aborde les signes qui doivent susciter un examen plus spécialisé en vue de donner une vision toujours plus préventive à l’aide apportée à l’enfant et à sa famille (sommeil, langage, troubles du comportement, scolarité, dépression, autisme, etc.) Cette quatrième édition est augmentée : un nouveau chapitre évoque les problématiques de l’enfant précoce ; le chapitre sur l’autisme a été complètement remanié et approfondi. Des conseils pour les enfants présentant une dyspraxie ou une dyslexie-dysorthographie ont été ajoutés en annexes.
Moscou. – Après les études historico-idéologiques, les digressions savantes sur la construction de la société socialiste, les analyses de kremlinologie, l’U.R.S.S. se révèle peu à peu dans sa quotidienneté. Hedrick Smith avait posé sur les Soviétiques le regard du journaliste américain ; Nina et Jean Kehayan avaient apporté le témoignage d’étrangers vivant au milieu des Russes (1) ; dans les Hommes doubles, Alexandre Dimov raconte la vie de tous les jours en U.R.S.S. telle qu’elle est vécue par un citoyen du pays. Né à Moscou alors que la guerre se termine, il s’est réfugié en France à la fin de l’année dernière après avoir exercé plusieurs métiers (ouvrier, chauffeur, employé de théâtre, journaliste à la télévision) et fréquenté des milieux très divers.
Le collectionneur de Venise
Un jeune Vénitien, Angelo Torcellan Dabalà, découvre sur l’écran du cinéma de son quartier le visage d’une star, Giorgia Demeter. Il en tombe éperdument amoureux, comme seul peut l’être un enfant de douze ans. Cette passion va commander sa vie. Angelo quittera sa ville natale et traquera Giorgia à travers le monde. Pour posséder cette femme, il ira jusqu’à voler. Il créera même des marionnettes à leur image pour tenter de vivre à travers elles l’impossible accomplissement de son amour. Ces deux destinées dissemblables finiront par s’entremêler et se fondre dans un don de soi plus fort que la mort. Dans ce roman de la gloire et de la solitude, sur fond de théâtre et de cinéma, entre Venise, Bayreuth et les rives sauvages du Pacifique, on retrouve, magnifiée, la poignante sincérité qui, avec Vladimir ou le vol arrêté, a valu à Marina Vlady la reconnaissance d’un très large public.
Il y a quelques années, après avoir prophétisé le « choc de civilisations », Samuel Huntington interrogeait ses compatriotes : Qui sommes-nous ? Cette question essentielle se pose aujourd hui aux Européens sur leur propre sol. Ce que nous sommes, c’est ce que nous déciderons de continuer à être, dans la fidélité à nos héritages, à nos lignages, et à l’enthousiasme d’un avenir toujours possible. L’effort de reconquête suppose une relecture de notre histoire et une réappropriation de nos traditions européennes, conditions nécessaires pour éclairer et affirmer ce qui nous distingue des autres et ce que nous entendons préserver. Ce manifeste s’adresse à tous ceux qui refusent la fatalité du déclin de notre civilisation.
Les lignes de faite du moyen age
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Rubrique-à-brac – Tome 6
Chez Gotlib, l’humour est une affaire très sérieuse. Et si possible à traiter sous tous ses aspects… Les hilarantes Rubriques-à-brac, la bible de l’humour, en sont les exemples les plus démonstratifs, sans oublier Les Dingodossiers, Les Trucs-en-vrac, Les Cinemastock, etc. Attention : la lecture assidue de ces albums peut provoquer des crises de fous rires aiguës. On vous aura prévenu.
Les méduses ont-elles sommeil ?
Mon destin ne pouvait pas être aussi simple que le leur. Aussi plat. Aussi rien. Je voulais devenir quelqu’un. Paris m’attendait, je le savais, que Paris m’attendait. J’ai alors quitté le gouffre dans lequel Dieu et ma mère m’avaient implantée, et ai fait de mon quotidien ce dont je n’avais jamais rêvé : un désastre. Quand on vit à Trapellun anagramme de nulle part. on n’a rien d’autre à faire que tourner en rond, surtout quand on a été élue bouc émissaire de sa classe. A Paris, capitale de la réussite, tout est épanouissant, et il n’y a de morose que la pluie en automne. Maintenant qu’elle y réside, Hélène, dix-huit ans, mène une vie plus gaie, pleine de sens. Ca, elle en est sûre, et lorsqu’elle s’enlise dans le monde de la nuit, tragiquement bercée par la musique électronique et la poudre des rêves factices, Hélène en reste persuadée : sa vie est une merveille. Telle est l’histoire que raconte Louisiane C. Dor, jeune auteur à la plume aérienne, dans un récit aussi bref que sa vérité est impitoyable. Je me prépare pendant des heures pour les soirées. C’est moi qui serai la plus belle. C’est moi qui aurai le rouge à lèvres le plus rouge et le look le plus soigné. Dans trois heures, c’est aussi moi qui aurai les yeux les plus angoissants et la peau la plus moite. Mais à ce moment-là, je ne me regarderai plus dans le miroir. La beauté sera dans ma tête et l’horreur ne se lira que sur mon visage. Mes cheveux seront sens dessus dessous ; mes cernes et mes pupilles seront charbon. Mon rouge à lèvres se sera éparpillé tout autour de ma bouche à cause des grincements de dents et des mordillements de lèvres que provoque la MDMA. J’ai la peau qui brille de mille feux sous les boules à facettes.
Week-end en enfer
Quelques minutes après être descendues de leur jet en provenance de Berne, Abbie Elliot et ses trois meilleures amies – Winnie, Serena et Bryah prennent possession de la suite présidentielle d’un luxueux palace de Monte-Carlo. Le temps d’un week-end, les quatre jeunes Américaines ont abandonné mari et enfants pour s’offrir du bon temps. Au programme : casino, restaurants, boîtes de nuit et champagne à gogo. Après une soirée bien arrosée, les quatre jeunes femmes décident de suivre leurs compagnons d’un soir sur un yacht. Quand elles se réveillent, le lendemain matin, elles sont arrêtées sans ménagement par un groupe d’intervention de la gendarmerie et emmenées de force dans un lieu tenu secret. Là, on les accuse du meurtre de deux de leurs compagnons de la veille.Début d’un très long cauchemar. D’autant que l’une des deux victimes est un personnage politique de tout premier plan.
L’autre Jérusalem
« L’histoire que je raconte dans ces pages est plus précisément celle des communautés ashkénazes de Russie, Ukraine, Pologne Lituanie, Galicie et Moldavie. Elle court de l’époque napoléonienne et jusqu’à ce que, vers 1970, s’achève l’intégration de la troisième génération de descendants des immigrants en Amérique du début du siècle. // Immigrés aux États-Unis leur sort changea du tout au tout. Dans une société en développement économique rapide où ils jouissaient des droits civiques et n’étaient victimes que de relativement peu de discriminations, ils libéralisèrent leur religion et firent tomber leurs propres préventions et interdits. Ils s’intégrèrent avec enthousiasme à la civilisation de ce pays, véritable Eldorado plus encore que nouvelle Jérusalem, et réussirent une ascension sociale et intellectuelle fulgurante. Les descendants de misérables immigrés obtinrent des dizaines de prix Nobel et formèrent, à l’aube des années 1970, le groupe ethnique le plus prospère des États-Unis. Le dernier chapitre de cet ouvrage donne l’explication de ce véritable miracle. »
Gorgonia est en danger ! Malvel s’est emparé du poignard magique qui protège les rebelles, et il a créé deux Bêtes monstrueuses pour le garder ! Heureusement, Tom, Elena et toi, vous êtes prêts à sauver le royaume. Feras-tu les bons choix, ceux qui empêcheront ta quête de devenir mortelle ? C’est à toi de décider !
Vous allez faire la connaissance de son grand-père, le troll Tedräm, dont les aventures se déroulent plusieurs générations avant celles de Lanfeust. Accompagné d’une jolie et jeune humaine sauvageonne élevée par les trolls. Teträm va défendre les siens contre les humains, qui tentent, grâce à leurs pouvoirs magiques, d’exterminer les trolls. Aventures fantastiques, humour débridé, cette nouvelle série va séduire les amoureux du monde de Troy, grâce au talent extraordinaire de Jean-Louis Mourier.
Artemis fowl – Tome 2 – Mission polaire
Holly Short est formelle : Artemis a aidé des gangs de gobelins à fomenter une révolte contre les fées. Sauf qu’il a d’autres chats à fouetter ! Il vient d’apprendre que son père, disparu depuis près de deux ans, est retenu prisonnier par la Mafiya russe. Et Artemis a beau disposer de moyens colossaux pour le libérer, sans une alliance avec les fées justement, sa mission de sauvetage est vouée à l’échec.
Troy est un monde fascinant, où la magie intervient dans le quotidien de tous. Chacun en effet possède un pouvoir, petit ou grand, plus ou moins utile. L’un a le don de figer l’eau en glace, l’autre, le pouvoir d’émettre des pets colorés… Lanfeust, lui, sait fondre le métal d’un seul regard. Dans son village, il est donc tout naturellement devenu apprenti chez le forgeron. Mais le contact d’une épée venue des lointaines baronnies révèle en lui une puissance exceptionnelle ; il ne dispose plus d’un don unique mais d’un pouvoir absolu et illimité. Accompagné du vieux sage Nicolède et de ses deux filles aux caractères si dissemblables, Lanfeust est emporté dans un tourbillon d’aventures au cours desquelles il croise les plus incongrues, les plus surprenantes et les plus dangereuses des créatures.
Le jeune Lief, âgé de seize ans, a entrepris une longue quête afin de retrouver les sept pierres précieuses de la Ceinture magique de Deltora. Lief, Barda et Jasmine ont entrepris une quête périlleuse pour réunir les sept pierres précieuses de la Ceinture magique de Deltora. Aprés avoir frôlé la mort à plusieurs reprises, les trois compagnons ont déjà rassemblé trois pierres. La quatrième est cachée au coeur d’une contrée désolée sur laquelle veille un monstreux gardien. Séparation, folie, ainsi que d’étranges et redoutables ennemis guettent les trois héros dans les dunes inhospitalières des Sables Mouvants. Un royaume à libérer. Quatre pierres précieuses à retrouver.
Kran – 5 – L’invasion des envahisseurs
Alors que Krän, Kunu et le Garou se baladent tranquillement en forêt, v’là-t-y pas qu’ils se font agresser par de méchants teutons genre « casques à pointe ». Ils s’en prennent tout de suite au Garou, mais Krän ne supporte pas qu’on joue avec lui… Après il est tout énervé et il fait du mauvais poil tout terne. Alors du coup, pétage de gueule et compagnie… Les teutons maintenant, soit ils sont morts, soit ils se sont cassés sans demander leur reste. Mais Kunu fouille dans le sac de l’un des guerriers, et vous ne devinerez jamais sur quoi il tombe ? Il espérait de la thune, eh ben non, même pas … En revanche, il découvre un plan, le plan de la grosse invasione secrète (à prononcer avec l’accent fridolin s.v.p.)… Vous concevez un instant que Krän le Barbare va répondre aux injonctions d’une immense brute lui hurlant « Papier Raus ! » à l’entrée de Torgnol ? Vous imaginez le délire ? Vous sentez comme ils vont morfler les mecs ?…
Kran – 4 – Le grand tournoi
Dans ce nouvel album, y a Kunu qui déconne grave. Attiré par l’argent facile, il s’associe avec un certain Tonio, tout autant escroc qu’agent d’assurances. Et vas-y que le Kunu vend des assurances incendie à tour de bras et à tous les habitants du village. Et bien entendu, même pas cinq minutes après, t’as un dragon qui fout le feu à toutes les baraques. En taule le Kunu, et en taule le Krän, même si pour une fois il a rien fait. Pour rembourser leurs dettes (à savoir la modique somme de cent-quatre-vingt-dix mille huit-cent-soixante-dix-neuf mille six-cent-trente-trois millions de pièces d’or), Tonio les inscrit de force au grand tournoi organisé par la ville de Fourbulus, qu’ils sont évidemment obligés de remporter. Et là, Krän estplutôt jouasse : Ca va enfin castagner ! Et castagner grave !
Orbital – 1 – Cicatrices
Caleb et Mézoké forment un binôme exemplaire : c’est la première fois dans l’histoire de la galaxie que leurs peuples respectifs accèdent à cet honneur. Les Sandjarr, le peuple de Mézoké, s’étaient tenus à l’écart des instances politiques intermondiales jusqu’à ce que les guerres humano-sandjarr éclatent. Les humains avaient été écartés jusqu’à présent des plus hautes instances. Leur binôme revêt donc une importance symbolique. À peine sortis de leurs séances d’entraînement, les voilà embarqués pour leur première mission. Ils partent pour Senestam où un groupe de parias humains tentent d’exploiter illégalement une mine détenue par les Jävlodes. Basée sur un contexte géopolitique très riche, une fantaisie incroyable dans l’invention extraterrestre, comme dans les meilleurs « Valérian », cette histoire se déroule en deux tomes, cette première aventure se concluant dans » Ruptures « . Caleb et Mézoké forment un duo de choc, mal assortis et pourtant très complémentaires ! Attention, les agents de l’ODI vont décoller…
Ça y est, j’ai récupéré le talisman du rat ! Enfin. Je l’avais récupéré. Je venais juste de découvrir son pouvoir quand j’ai dérapé sur un des fichus jouets de Jade. Résultat : une jambe cassée ! Quant au talisman, Super-Gnome le robot a eu la mauvaise idée de l’avaler ! Manquait plus que ça !
Paul n’aurait jamais dû être si dissipé à l’école ! Pour le punir, ses parents décident de l’envoyer dans l’internat le plus strict du pays. II paraît que là-bas un terrible professeur, Mme Maargh, fait subir aux derniers de la classe un châtiment très spécial… Et si Paul n’arrivait pas à faire remonter sa moyenne ?
Tous les héros fuient Horrorland et se retrouvent dans un nouveau parc : Panic Park ! Une des Horreurs d’Horrorland envoie des mails à Lizzy et Luc Morris, leur signalant que quatorze enfants sont en danger. Les Morris n’hésitent pas une seconde : ils partent au secours des victimes. Une fois à Horrorland, ils déconseillent fortement à ceux qui sont encore en vie de se rendre à « Panik Park », un autre parc encore plus dangereux. Sauf que certains y sont déjà ! Lizzy et Luc décident donc de traverser le miroir pour rejoindre les malheureux. Ils se retrouvent dans un parc désuet, avec une grande roue vieillotte, des bateaux en forme de cygnes, et des manèges démodés. Lorsqu’un des enfants en danger, Robby Schwartz, découvre un journal daté de 1974, ils commencent à se poser des questions. Surtout qu’ils apprennent que le parc a été fermé suite à des disparitions inquiétantes et des meurtres inexpliqués, et complètement détruit. Et s’ils avaient remonté le temps ?
Laura adore les animaux. Les observer, les soigner, c’est sa passion. Alors elle passe beaucoup de temps dans la forêt voisine. Pourtant, depuis peu, des événements étranges s’y produisent. Les oiseaux se cachent, les chauves-souris sortent en en plein jour et attaquent sans raison. Et puis il y a ces gémissements terribles. Inhumains qui résonnent dans les bois. Que se passe-t-il ? Laura veut comprendre. A tout prix. Mais elle risque de le regretter amèrement.
En l’an 1519 de l’ère chrétienne, l’empire aztèque du terrible Moctezuma II vacille sous l’assault des envahisseurs venus de l’Est. Des milliers d’êtres humains sont massacrés. La population, terrorisée fuit le carnage. On annonce déjà la fin du monde. Votre famille, de pauvres paysans de Tlaxcala, s’est ralliée aux envahisseurs dans l’espoir de renverser la tyrannie aztèque. Mais vous-même avez été capturé et, à présent, vos jours sont comptés. Moctezuma II a en effet décrété que seul un sacrifice humain pouvait arrêter la brutale invasion et c’est vous qui avez été désigné comme victime ! Si vous réussissez à vous évader, échapperez-vous aux prêtres qui vous traqueront dans les ruines de la cité terrifiante et parviendrez-vous à retrouver votre famille?
Le Horla et six contes fantastiques
Un être invisible hante un personnage qui ne peut lui échapper. Une jeune morte réapparait dans un château gardé par un étrange jardinier. Une main s’anime et tue l’homme qui la gardait chez lui comme un trophée. Voici le sujet de trois des sept nouvelles de ce recueil, sept nouvelles fascinantes où le lecteur, confronté à des faits insolites et captivé par l’art du conteur, sent parfois vaciller sa raison.
Les misérables – Tome 1 – Jean Valjean
Une planche pour dormir, la chiourme, les coups, les boulets au pied, dix-neuf ans de cet implacable bagne ont fait du forçat Jean Valjean un homme meurtri, brisé. Tout ça pour avoir cassé un carreau et pris un pain. Pourtant, lorsqu’il est enfin libéré en 1815, l’espoir renaît lorsque l’ancien bagnard croise sur sa route Fantine et Cosette.
Dom Juan
Tu as déjà entendu l’expression « Dom Juan » pour qualifier un grand séducteur ? Figure-toi que cela vient tout simplement de la célèbre pièce de théâtre de Molière du même nom, qui met en scène ce fameux libertin. Eh oui, Dom Juan ou le Festin de Pierre est un incontournable des cours de littérature : qui sait, tu pourrais même tomber dessus au bac ! Alors pour t’aider à maîtriser cette comédie sur le bout des doigts, on t’a préparé une super fiche de lecture avec un résumé. C’est parti !
Lucile aime Valère et en est aimée. Mais son père veut la marier à un autre. La jeune femme joue la malade, espérant trouver un docteur complaisant qui lui conseille de s’installer au grand air ; là, son amant pourra la rejoindre. C’est Sganarelle, serviteur de Valère, qui devient médecin malgré lui. Un homme croit son épouse volage et lui ferme sa porte. Rusée, la jeune femme parvient à inverser la situation. Mari cocufié, valet fripon, médecin pédant… Voici deux courtes pièces qui mettent en scène les plus grands rôles du théâtre de Molière.
Le mariage de Figaro
La Folle Journée, ou le Mariage de Figaro est une comédie en cinq actes de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais écrite à 46 ans en 1778, lue à la Comédie-Française en 1781, donnée en privé le 23 septembre 1783 dans la maison de campagne du comte de Vaudreil à Gennevilliers (dite château de Gennevilliers)1, mais dont la première représentation officielle publique n’eut lieu que le 27 avril 1784 au théâtre François (aujourd’hui théâtre de l’Odéon), après plusieurs années de censure2 : ce fut un triomphe, un événement, et l’occasion de polémiques. 68 représentations suivirent en huit mois.
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu’Une joumée d’Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu’il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu’est l’Archipel du Goulag ; pourtant, c’est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu’on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Succession ouverte
Un homme vient de mourir, le vieux Seigneur. Avec lui meurt toute une époque. L’un de ses fils, Driss Ferdi, s’était jadis révolté contre lui, avait fui sa famille, son pays, brûlant de mordre à même la civilisation occidentale, de s’en nourrir, d’élargir son horizon humain. Or le jour où il s’aperçoit que la transplantation ne lui a apporté qu’angoisse, solitude, déséquilibre, il reçoit un télégramme de Casablanca lui apprenant la mort de son père. Il prend l’avion, regagne son pays natal. Par-delà la mort, le dialogue avec le père continue, la succession est ouverte.
La cuisine à la bière
Tout sur la fabrication de la bière. La partie historique raconte son usage au fil des temps dans les différents pays.
La première épouse
C’est moins le récit d’une séparation que celui d’un deuil car être quittée par son mari qu’elle connaît depuis trente ans est pour la narratrice pire qu’un simple divorce.
Elle se sent véritablement en deuil d’un vivant sans avoir droit aux consolations d’usage mais elle perd aussi du même coup une famille, des amis et, dans une certaine mesure, ses propres enfants. Bien sûr, elle savait son mari volage mais se croyait inattaquable dans son rôle de première épouse. Ce qu’elle découvre au-delà de l’effondrement dans la douleur c’est l’étendue et l’ancienneté d’une trahison. C’est aussi que même dans la grande bourgeoisie on n’évite pas forcément la violence (elle se retrouvera à l’hôpital) ni le grotesque d’un vaudeville procédurier. L’auteur de L’Allée du roi, ces mémoires imaginaires de Madame de Maintenon, donne ici un livre bouleversant de sincérité et d’autant plus touchant qu’au-delà de la nécessité du deuil, au-delà même de la vengeance contre le mari infidèle, c’est aussi le récit d’un nouvel apprentissage de la vie.
La curée
A la fin d’une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola qui déteste son époque, c’est le coeur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s’arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire, est l’un des plus violents. Zola ne pardonne pas ces fortunes rapides qui inondent les allées du Bois d’attelages élégants, de toilettes de Worms et de bijoux éclatants. Aristide Saccard a réussi. Mais tout s’est dénaturé autour de lui : son épouse, Renée, la femme qui se conduit en homme, si belle et désoeuvrée, son fils, Maxime, l’amant efféminé de sa belle-mère. On accusa Zola d’obscénité. Il répliqua « Une société n’est forte que lorsqu’elle met la vérité sous la grande lumière du soleil. »