Jean Vercoutter
A la recherche de l’Egypte oubliée
Découvertes Gallimard / Archéologie – Un monde de pierres. Pierres des pyramides, pierres des temples, pierres des statues. Noyées dans le sable, enlisées, oubliées. Un monde de signes. Signes gravés, signes peints. Mystérieux, incompris. Un monde qui va reprendre vie sous le regard, le crayon, la truelle de voyageurs, d’aventuriers, de savants, d’archéologues. Un monde qui va enfin dévoiler ses secrets, en 1822, grâce à Jean-François Champollion.
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Un guide pratique et insolent. 100 pages de conseils, un test et un carnet d’adresses. 35 couturiers croquent l’élégance 88. Le témoignage de 15 hommes et de 15 femmes célèbres.
Les nuits de l’Ange bleu
Berlin à la fin des années vingt. On sort à peine du fossé bourbeux de l’inflation galopante et on ne peut encore imaginer que le gouffre du cauchemar à bottes est pour bientôt. Le présent est là, bien en chair, qui appelle toutes sortes de caresses. On se prend à rêver. La période semble propice à l’art … A l’art d’aimer aussi. On veut vivre. Il s’agit de jouir. Et c’est bien « Ouf, jouissons! » que se dit chaque jour Manfred von Klausenberg en jetant dans la recherche du plaisir le meilleur de lui-même.
Mes nuits sont plus belles que vos jours
Un homme, une femme, un hôtel, les draps d’un lit, la chaleur d’un mois de juillet, la lune et la mer: avec ces seuls éléments, Raphaële Billetdoux construit son roman qui a la rigueur d’une tragédie antique, où trois nuits sont toute une vie. Mes nuits sont plus belles que vos jours est le roman d’une rencontre. Toute rencontre est un risque ; à la première minute, aux premiers mots échangés, l’histoire, déjà est en marche. Chez Raphaële Billetdoux, violence et sensualité se confondent dans ce style qui est le sien, tout en couleurs et en éblouissements.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »