Emile Zola
Au bonheur des dames
En face de la pauvre boutique du père Baudu se dresse dans toute son arrogance le Bonheur des Dames, nouveau temple de la consommation féminine, dirigé par l’ambitieux Octave Mouret qui est prêt à tout pour faire prospérer son affaire. C’est alors sous le regard fasciné de la jeune provinciale Denise, bien décidée à travailler au Bonheur, que va se jouer la bataille du commerce moderne. Dénonciation des excès du système capitaliste, le onzième volume de la série des Rougon-Macquart, où fourmillent les descriptions des expositions aguicheuses et des étalages à faire rêver le chaland, est aussi le grand roman zolien du désir et de la joie.
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Zadig
» Qu’il est dangereux de se mettre à la fenêtre et qu’il est difficile d’être heureux dans cette vie ! » Ainsi soupire Zadig, jeune Babylonien, devenu favori du roi et promis à une enviable destinée. Pour être tombé amoureux de la reine Astarté, le voilà obligé de fuir, rendu à la condition d’esclave, victime des brigands, des fanatiques religieux, en butte aux pires catastrophes… Mais à travers ce cheminement capricieux, la Providence veille et l’homme est à sa place. C’est aussi ce que découvre cet habitant de Sirius qui, à l’aide d’un rayon de soleil, parcourt la Voie lactée. Quelle surprise en effet pour Micromégas de voir que l’homme, si petit et si misérable qu’il soit, tient son rôle dans l’univers grâce à son esprit… Désinvoltes et primesautiers, deux contes qui charment et enchantent…
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Félix Grandet a été tonnelier. Grâce à un sens aigu des affaires et une avarice plus que prononcée, il a réussi à faire fortune en profitant des événements de cette époque instable. Autrefois maire de Saumur, il fait maintenant fructifier sa grande fortune tout en faisant croire à sa femme et à sa fille Eugénie qu’ils sont moyennement riches. Les habitants de Saumur, plus au courant de la fortune du père Grandet, voient en Eugénie Grandet le plus beau parti de la ville, et deux notables la courtisent ardemment. Celle-ci, d’une innocence réelle et d’une naïveté prononcée, ne se doute de rien. Jusqu’au jour où arrive son cousin Charles Grandet, fils du frère du père Grandet. Celui-ci est envoyé à Saumur par son père, riche négociant de Paris qui ayant fait faillite éloigne son fils avant de se suicider. C’est Grandet qui annonce son malheur au jeune homme. Plongé dans le désespoir, Charles trouvera dans sa cousine une âme tendre, les deux jeunes gens ne tarderont pas à s’éprendre secrètement l’un de l’autre.
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