Yann Martel
Béatrice et Virgile
Henry, dont le premier roman a été un succès international, vient d’achever, au terme de cinq ans de travail, son second texte. Mais devant le refus de ses éditeurs de se lancer dans l’aventure, Henry décide qu’il n’écrira plus. Il répond néanmoins scrupuleusement au courrier de ses lecteurs. Il reçoit un jour une nouvelle de Flaubert accompagnée de l’extrait d’une pièce de théâtre, et d’un mot lui demandant son aide. Pour toute signature, un simple prénom : Henry, et une adresse. Il s’agit d’un vieux taxidermiste, étrange et manipulateur. Ce dernier lui révèle être l’auteur de la pièce dont les personnages ne sont autres qu’un singe, Virgile, et une ânesse, Béatrice…
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